Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

Parfois les "hauts et les bas" sont uniquement des "hauts".
Car tout l'objectif d'aller en "bas" est afin de nous permettre de grandir plus fortement, et de recommencer de nouveau, de se ressourcer mentalement, de restaurer sa vitalité et de renouveler sa vie.

[rabbi Na'hman de Breslev]

[nous ne désirons pas tomber, mais si Hachem fait que cela arrive, alors nous ne devons pas se morfondre, désespérer, mais au contraire y voir un occasion donner par D. pour nous permettre de parvenir à un niveau encore bien plus élevé qu'auparavant.]

Avoir de la crainte d'Hachem sans joie, ce n'est en rien de la crainte mais de la mélancolie (déprime).

[Baal Chem Tov]

Nous ne pouvons pas vraiment aimer l'argent, car l'argent ne peut pas nous aimer en retour.
Il vient et va d'une poche à l'autre.
Les gens convoitent simplement l'argent, et c'est pour cela qu'ils ne sont jamais satisfaits.

[le rabbi de Apt]

Ce que Léa a obtenu en pleurant ; Ra'hél l'a obtenu en souriant.

[rabbi Na'houm de Tchernobyl]

Un juif qui ne dance pas de joie sur le fait d'être juif manque de gratitude envers Hachem.

[rabbi 'Hanoch Henich Alexander]

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-> Il est facile d'apprécier la valeur des pierres précieuses et des perles.
Mais il est difficile de pouvoir appréhender rien qu'un peu, ce que cela signifie d'être juif [tellement c'est une chose grande au-delà de toute perception].
[rabbi Yé'hiel Méïr Lifschitz]

Parfois, trop d'humilité peut provoquer que l'homme s'éloigne du service d'Hachem. Car, dans sa modestie à outrance, il ne croit pas que l'être humain, par sa prière et sa Torah, génère un flux de vitalité dans tous les mondes, au point que même les anges se nourrissent de son service d'Hachem.
Si seulement l'homme avait foi en tout cela, combien aurait-il servi Hachem avec joie et vigilance!

[Baal Chem Tov]

Etre heureux de ce que l’on a

+ Etre heureux de ce que l'on a :

-> On sait que la principale cause de tristesse est le sentiment qu'il manque quelque chose à une personne.
Ce sentiment de manque provient uniquement du fait que la personne n'a pas encore atteint l'état de kol ("tout"), la bénédiction de Yaakov, qui a dit : "car j'ai tout" (ki yech li kol - Vayichla'h 33,11). [il était toujours content de son sort]
Lorsqu'une personne n'a pas pris conscience qu'elle a tout ce dont elle a besoin, elle a constamment le sentiment qu'il lui manque quelque chose et ne se sent jamais complète ; cela la rend triste et la prive de sérénité, car une personne ne peut pas se sentir tranquille lorsqu'il lui manque quelque chose.

Cependant, lorsqu'on atteint cet état de kol (plénitude - j'ai tout), on se sent toujours satisfait, car même s'il y a quelque chose qu'on n'a pas, que ce soit quelque chose lié à son corps ou à ses possessions, on ne ressent aucun manque, grâce à son attribut de kol.
Cette idée est exprimée dans le verset qui dit : "tu ne manqueras de rien" (lo té'héssar kol - Ekev 8,9).
On est alors envahi par une grande joie, et c'est là la véritable sérénité. C'est pourquoi toute personne intelligente, à son propre niveau, doit s'efforcer d'atteindre cet état de kol, en se contentant de ce qu'elle a et en étant joyeuse de sa part, tant sur le plan matériel que spirituel.

La bénédiction du kol s'applique à tous les niveaux, et même s'il existe des manifestations très élevées de cet attribut, chaque personne doit au moins atteindre l'état de satisfaction (kol) au niveau où elle se trouve actuellement, en accomplissant la directive de nos Sages (Pirké Avot 4,1) d'être heureuse avec sa part [qu'Hachem lui octroie dans les moindres détails].
[le Ahavat Shalom - Béréchit]

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[la tendance est de toujours conditionner notre bonheur au fait d'avoir quelque chose, et du coup on est continuellement dans l'attente et jamais vraiment dans la joie. ]

-> Dans la vie, on ne choisit pas les événements, mais on choisit la façon de les vivre.

-> La Torah dit : celui qui serait à chaque instant heureux est sûr de ne jamais être maudit.

[rav Yossef 'Haïm Sitruk]

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-> La vrai victoire dans la vie, c'est celle qu'on a remporté sur soi.
-> Un juif ne doit pas se demander ce qu'il attend de la vie, mais ce que la vie attend de lui.
[rav Yossef 'Haïm Sitruk]

Hachem accepte toujours notre téchouva, et cela nous rapproche de Lui : qu'est-ce qui peut être plus joyeux que cela?

[Tanya - Iguéret haTéchouva - chap.11-12]

La confiance en mon créateur : c'est cela mon trésor!
La confiance est un trésor qui permet à quelqu'un d'être satisfait de son sort.

[le Steïpler - rabbi Yaakov Israël Kanievski]