Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

"Selon nos Sages, il est plus important de se marier et d'avoir des enfants que de construire le Temple.
[...]

La mitsva relative au mariage est si importante que nos Sages n'hésitent pas à autoriser quelqu'un à vendre un rouleau de la Torah dans ce but.
[...]

Tant qu'un homme reste sans épouse, la Présence Divine l'abandonne.
Un célibataire doit implorer D. de le sauver du mal, car toutes sortes d'esprits maléfiques s'attachent à lui.
Quiconque ne s'est jamais marié, il eut mieux valu qu'il ne vienne pas au monde.
Lorsqu'il quitte ce monde, il est puni pour ne pas avoir laissé de descendance.
[...]

Dans le monde futur, les provisions principales dont dispose l'homme pour le sauver, sont les bons enfants dont il est le père.
[...]

Tout comme le commandement nous enjoint de "croître et de multiplier", il nous ordonne également de "croître et de multiplier" notre étude de la Torah ...
Un homme doit ressentir les mêmes souffrances lorsqu'il perd un enfant ou oublie une étude."

[Méam Loez - Béréchit 1,28 : "Croissez et multipliez et remplissez la terre"]

"Tout comme le commandement nous enjoint de "croître et de multiplier", il nous ordonne également de "croître et de multiplier" notre étude de la Torah ...
Un homme doit ressentir les mêmes souffrances lorsqu'il perd un enfant ou oublie une étude."

[Méam Loez - Béréchit 1,28 : "Croissez et multipliez et remplissez la terre"]

"De même que le nez rejette les saletés et absorbe les bonnes odeurs, ainsi les tsadikim fuient la faute, qui a une mauvaise odeur, et s'attachent aux paroles de Torah, dont l'odeur est délicieuse."

[midrach haGadol]

+ Le corps se compose de 248 membres et de 365 vaisseaux sanguins.

L'âme a exactement le même nombre de membres et de vaisseaux, mais ils sont d'ordre spirituel et non physique.
Chaque partie de l'âme a son pendant dans le corps et y est étroitement liée, comme l'arbre l'est avec ses racines ....
Dès qu'une personne pèche avec un organe, son équivalent dans l'âme en souffre.
[...]

Par exemple, s'il regarde l'épouse d'un autre, il aveugle les yeux de l'âme ...
Les yeux physiques n'ont pas le pouvoir de voir.
Le sens de la vue dépend totalement des yeux de l'âme qui lui sont liés. Ce sens est extrêmement sensible et le péché l'aveugle aisément
Lorsque l’œil spirituel ne peut voir la page d'un livre sacré, l'individu ne peut en comprendre la lecture.
[...]

De même, quiconque pèche par sa bouche, frappe la bouche de son âme et la rend muette.

[Méam Loez - Béréchit 2,7]

"Lorsque des non-juifs viennent en aide à ceux dans le besoin et que les juifs n'agissent pas de même, les forces [du mal] deviennent très puissantes et en profitent pour provoquer des ravages dans le monde avec une intensité redoublée.

Elles disent aux juifs : "Pourquoi devez-vous être pires que les autres nations? Puisque vous n'éprouvez aucune pitié et laissez les pauvres mourir de faim, nous n'aurons aucune pitié de vous".

Tous les biens et les bontés accordés par les cieux sont pris par ces anges [du mal] qui les distribuent aux non-juifs."

[Méam Loez - Béréchit 1,31]

"Si les anges ne prenaient pas une forme humaine, le monde ne pourrait supporter leur rayonnement.

Si c'est vrai pour les anges, cela l'est encore bien plus des mots inscrits dans la Torah, pour laquelle les cieux et la Terre furent créées.
Lors du don de la Torah au mont Sinaï, il était par conséquent nécessaire que ses secrets et l'insondable prennent l'apparence d'histoires.
Si la Torah avait été présentée sous sa forme spirituelle véritable, le monde n'aurait jamais pu la recevoir, elle serait restée inaccessible à l'entendement humain.
[...]

Il ne faut pas perdre de vue que les histoires [de la Torah] servent d'ornements voilant des mystères beaucoup plus profonds ...
Si la Torah avait été chronologique, les hommes auraient été capables d'effectuer toutes sortes de miracles, y compris la résurrection des morts.
L'ordre véritable de la Torah est par conséquent connu de D. seul."

[Méam Loez - Introduction Séfer Béréchit (tome n°1)]

"Celui qui a eu le mérite d'avoir une part dans la Torah, mérite d'avoir le monde entier à sa disposition, tandis que celui qui ne s'est pas impliqué dans la Torah n'est pas autorisé à jouir de ce monde, serait-ce uniquement pour y poser ses pieds, sauf s'il soutient ceux qui étudient la Torah."

[Ohr ha'Haïm haKadoch - Béréchit 1,1
en effet, Rachi rapporte que le monde a été créé pour la Torah et Israël]

-> "Heureux es-tu Israël" : après avoir énuméré toutes les bénédictions, Moché leur dit : "Que puis-je encore ajouter? En conclusion, tout vous appartient"
[Rachi - Vézot haBéra'ha 33,29]

-> Qu'est-ce qu'est-ce qu'un "plaisir authentique"?
"Se délecter de Hachem et jouir de la splendeur de la Présence Divine"
(Ramh'al - Messailat Yécharim)

=> D'après rabbi Yéhouda Leib 'Hasman (Ohr Yahel), il en résulte que toute jouissance peut s'évaluer selon une très longue échelle de délectation, dont le pied repose sur terre et dont la tête atteint les Cieux.

[A Shavouot, nous fêtons le fait de recevoir la Torah Divine, et à Sim'hat Torah nous célébrons tous les infinis, incomparables plaisirs qu'elle peut nous procurer!]

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-> "Un grand bonheur attend ceux qui chérissent Ta Torah"
[Téhilim 119,165 - shalom rav léoavé Toraté'ha]

"Ne laisse pas tes pensées être influencées par les thèses que soutiennent les sots des nations et bon nombre de rustres d'Israël, selon lesquelles Hachem décrète pour chaque homme, dès sa naissance, s'il sera un tsadik ou un racha.
Il n'en est rien : au contraire, chaque être humain peut devenir un tsadik comme Moché rabbénou, ou bien un racha comme Yéroboam."

[Rambam - Hilkhot Téchouva 5,2]

"Voici la bénédiction que Moché, l'homme de D., a donnée aux bnei Israël avant sa mort" (Vézot haBéra'ha 33,1)

-> Moché n'a mérité d'être appelé "homme de D." que lorsqu'il a béni les bnei Israël. (Yalkout)

-> Le rabbi Avraham de Slonim explique : Comment Moché a-t-il mérité le niveau "d'homme de D."?

Parce qu'il était "avec les bnei Israël".
Certes, il était un "homme de D.", constamment attaché à la Présence Divine et se promenant dans les mondes supérieurs, et pourtant il a su descendre des hautes Célestes, et se promener "avec les bnei Israël", c'est-à-dire s'intéresser à la situation et aux besoins matériels de chacun.

C'est là-dessus qu'il est dit : "Tu aimeras ton prochain comme toi-même, Je suis Hachem" = si un juif aime l'autre, alors Hachem dit : "Je suis le 3e!".

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-> b'h, également à ce sujet : https://todahm.com/2015/10/25/3964-2

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+ "Voici la bénédiction que Moché, l'homme de D., a donnée aux bnei Israël avant sa mort"
=> Pourquoi Moché a-t-il attendu le dernier moment, juste avant sa mort, pour bénir le peuple? Pourquoi ne les a-t-il pas bénis avant?

En réalité, la force d'une bénédiction dépend de la grandeur et du niveau spirituel de celui qui la donne. Or, Moché ne cessait de s'élever de niveau à chaque instant. Ainsi, Moché ne voulait pas bénir le peuple plus tôt, car il savait qu'il allait encore s'élever et donc que sa bénédiction aura donc encore plus de force dans le futur.
Mais le jour de sa mort, quand il va se séparer du peuple et qu'il ne pourra donc plus les bénir plus tard, c'était donc le jour où il a atteint le plus haut niveau ici-bas. C'était ce moment que Moché a choisi pour bénir le peuple, car alors sa bénédiction pourra avoir le maximum de sa force, puisque c'était à ce moment que Moché a atteint le sommet de sa grandeur.
[Létit'ha El'yione]