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"L'homme est tenu de bénir D. pour le mal, de bon gré et de tout cœur, de la même manière qu'il le fait pour le bien, car le mal, pour les fidèles de D., est source de réjouissance et de bonheur, en cela qu'ils acceptent avec amour ce qu'Il a décrété à leur égard.
Car en acceptant ainsi le décret Divin, ces hommes réalisent une part de leur service Divin, ce qui est pour eux une source de joie"

[Choul'han Aroukh - Ora'h 'Haïm - chap.222,3]

[notre plus grande récompense pour une mitsva doit être la conscience que cela apporte de la satisfaction à notre papa Hachem, du fait que nous réalisons Sa volonté]

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-> "Quiconque place sa confiance en D. sortira renforcée de ses tourments, et ce même s'il les méritait ...
De plus, même si les épreuves dominent l'homme au point qu'il plie devant elles, il devra néanmoins rester confiant en D., car Il le prendra assurément en pitié par égard pour ses épreuves, pour sa soumission et sa confiance en Lui."
[rabbénou Yona - dans son commentaire sur Michlé]

-> Le Rambam dit "Le but de toutes les mitsvot est de nous permettre de croire en Hachem", car obéir à un ordre revient forcément à admettre que quelqu'un l'a énoncé.

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+ "Hélas! Comme elle (Jérusalem) est assise solitaire" (Eikha 1,1)

En hébreu, c'est : אֵיכָה יָשְׁבָה בָדָד (eikha yachva badad).

-> Le Sfat Emet enseigne que le mot : "badad" (solitaire) est l'acronyme de : "bé'hol déra'ha daéhou" ( = Dans toutes tes voies, songe à Lui - Michlei 3,6).
En effet, un juif doit voir Hachem dans toutes ses voies : même dans notre exil solitaire, amer et tordu (même dans nos moments difficiles).

La émouna après la venue du machia’h

+ La émouna après la venue du machia'h :

-> "La émouna étant une mitsva de la Torah, elle perdurera [toujours] en tant que telle.
Et si, même à l'époque du machia'h, il nous faudra encore "croire", c'est la preuve que nous ne comprendrons pas tout et que nous serons encore tenus d'entretenir une émouna dépassant la raison.

Si l'on y réfléchit bien, on s'apercevra qu'il ne peut en être autrement. En effet, la émouna signifie croire en une chose que notre intellect ne peut percevoir, puisque nul ne peut "comprendre" une chose qui dépasse son entendement.
Il est donc impossible que l'on parvienne un jour à saisir ces notions qui échappent à nos capacités intellectuelles.

De ce fait, le Beit haLévi (fin de la paracha Bo) écrit que celui qui n'accepte de croire qu'en ce qui est prouvé et démontré n'accomplit absolument pas la mitsva de émoua."

[rabbi Its'hak Zéev Soloveitchik (le rav de Brisk) - rapporté par le rav Raphaël Shapira - (Chaaré Torah)]

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-> Tout ce que notre entendement perçoit intellectuellement relève du domaine du savoir, et non de la émouna.
Le devoir de "croire" commence quant à lui à l'endroit où l'intelligence humaine atteint ses limites
[rav 'Haïm Soloveitchik]

-> Son fils, le rav de Birsk, explique :
L'intellect humain ne peut saisir que les notions limitées dans l'espace et le temps. Tout ce qui échappe à ces 2 concepts n'est pas perceptible par notre intellect.
Or, l'essence Divine se place bien au-dessus! Elle n'est limitée ni dans l'espace ni dans le temps.

L'entendement humain n'ayant pas accès à ces dimensions, débute alors le devoir d'émouna.

Rabbi Yo'hanan et rabbi El'azar disent tous les deux :
"La Torah fut donnée en 40 jours [à Moché] et l'âme est créé le 40e jour [de la conception - Rachi].
Celui qui garde [observe] la Torah méritera que son âme soit gardée. Et celui qui ne garde pas la Torah ne méritera pas que son âme soit gardée."

[guémara Ména'hot 99b]

"Son oeuvre est parfaite, car toutes Ses voies sont justice. D. de fidélité et sans iniquité, Il est juste et droit" (Moché rabbénou – Haazinou 32,4)

-> "L'homme ne voit qu'une partie des événements et c'est pourquoi il a du mal à les comprendre.
S'il voyait les œuvres de D. du début à la fin, il constaterait que tout est juste.

Notre verset exprime cette idée :
- "Son oeuvre est parfaite" = Ne voyez pas les choses telles qu'elles sont! Il peut vous sembler que le monde est désordonné, mais ce que vous voyez n'est qu'une petite partie de l'oeuvre de Hachem.
Si vous pouviez en contempler l'ensemble, vous sauriez que tout est juste et équitable

- "D. de fidélité" = ses pensées [Divines] n'étant pas semblables aux vôtres [Humaines], cette idée n'est pas perceptible par les sens mais seulement accessible par la foi en Ses paroles, en Sa promesse de récompense et punition.
Grâce à cette foi, vous parviendrez à comprendre qu'il n'est aucune iniquité devant D."

[le Méam Loez]

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+ "Son oeuvre est parfait"

-> Le rabbi Chimon de Yéroslav a vécu très longtemps, et ses élèves lui ont demandé à quoi il attribuait sa longévité.
Leur rabbi leur a répondu : "J'ai toujours accepté avec amour et je n'ai pas protesté contre ce que faisait Hachem.
Car il est clair comme le soleil que tout ce que fait Hachem est justifié et bon, mais quand l'homme se plaint et pose des questions, on le fait monter au Ciel (lui reprenant alors la vie!) et on lui montre : "Regarde, tout est bon et juste ..."
Moi, je ne me plains pas, c'est pourquoi on ne me fait pas monter pour discuter de la justice de Hachem (me laissant en vie dans ce monde!).

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+ "Son oeuvre est parfait"

-> On raconte sur le 'Hazon Ich, qu'un jour quelqu'un est venu le trouver pour poser des questions sur la Providence Divine, en rapport avec la Shoa.
Le 'Hazon Ich lui fit remarquer : "Celui qui ne connaît pas la couture et voit un tailleur qui coupe et déchire un tissu pense qu'il abîme le tissu, alors qu'en réalité, il prépare simplement un vêtement neuf."

-> Selon le rabbi Chlomo Kluger, on ne pourra jamais comprendre pourquoi Hachem a agit de telle ou de telle façon à moins qu'Il ne "découse" toute la Création, c'est-à-dire qu'il défasse tout, pour montrer la Création du début jusqu'à la fin, et qu'Il explique chaque acte séparément : avec son but, sa raison d'être, et quelles sont ses conséquences.

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+ "Toutes Ses voies sont justice"

-> Rabbi Israël Salanter enseigne :
"Quand les autorités veulent punir un homme de sa faute, on le juge uniquement lui-même, et même si sa famille et ses proches sont appelés à souffrir du verdict, cela n'empêche pas de le condamner sévèrement.
Mais il n'en va pas de même de Hachem, qui avant de punir le pécheur regarde ses proches, et si quelqu'un risque d'en pâtir, alors Il examine si celui-ci a mérité cette souffrance.
En effet : "toutes ses voies sont justes" = que ce soit en ce qui concerne celui dont on parle ou ses proches, c'est un "D. de vérité, sans iniquité" = car chacun ne recevra que le châtiment qu'il a mérité, et pas plus."

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+ "Toutes ses voies sont justes, un D. de confiance en qui il n'y a pas d'injustice"

-> Le rav Yaakov Neiman (Darké Moussar) enseigne :
Pour croire en D. qui a créé le Ciel et la terre, il n'y a pas besoin d'une sagesse extraordinaire, car c'est une chose que l'intelligence la plus ordinaire peut comprendre.
Le grand test de la foi est justement quand on voit des choses apparemment étonnantes, alors que les questions et les doutes s'agitent dans l'âme.
Si à ce moment-là, l'homme fait abstraction de tous ses doutes et croit fermement dans le Créateur du monde, il est arrivé au niveau de foi exigé.
En effet, la véritable exigence envers l'homme est de croire qu'il n'y a pas d'injustice, alors que se révèle aux yeux ce qui apparaît comme une terrible injustice, incompréhensible.
[...]
Il n'est pas dans la possibilité d'un être de chair et de sang de comprendre les voies de Hachem, qui dépassent notre entendement. [rester à sa place d'humain, et avoir D. à Sa place de notre Créateur, de l'Unique]
Nous devons seulement croire que : "toutes Ses voies sont justes, un D. de confiance en qui il n'y a pas d'injustice."

-> Le rav Neiman cite la 10e et dernière épreuve que surmonta Avraham et qui fut la plus difficile : elle consistait à sacrifier son fils et allait à l'encontre de toute logique (c'était l'extrême opposé des valeurs qu'il a pu transmettre publiquement). Mais dans cette épreuve, Avraham, fidèle serviteur de Hachem, fit abstraction de toute logique et de toute objection, et crut en Hachem.

+ Les Tables de la Loi étaient faites en saphir, une pierre extrêmement dure qu'il est impossible de briser, et pourtant celles-ci étaient si souples qu'elles se déroulaient comme une feuille de parchemin.

=> Pourquoi les Tables de la Loi avaient-elles cette souplesse?

Pour nous enseigner ceci : bien que l'homme ait un mauvais penchant dur comme la pierre qui l'empêche d'accomplir ce qui est écrit sur les Tables, il ne doit pas désespérer.
Il parviendra à accomplir les mitsvot, car de même que les Tables de saphir pouvaient se rouler comme une feuille de parchemin, D. peut aider l'homme à affaiblir et dominer son penchant.

[Méam Loez - Ki Tavo 27,1]

"Lorsque 2 frères se haïssent, ils manquent de respect à leurs parents car ils leur causent énormément de peine, même après leur mort."

[Méam Loez - Ki Tavo 27,16]

"Les juifs ont prêté serment qu'ils n'abandonneraient jamais D. pour une quelconque divinité, et D. a prêté serment qu'Il n'abandonnerait jamais les juifs en faveur d'un autre peuple"

[guémara Guitin 57b]

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-> "Aujourd'hui, tu as déclaré fidélité à Hachem, faisant de Lui ton D. et [t'engageant à] marcher dans Ses voies, à garder Ses statuts, Ses commandements et Ses lois, et à obéir à Sa voix.
A Son tour, Hachem t'a déclaré Sa fidélité aujourd'hui, faisant de toi Son peuple privilégié (am ségoula) comme Il te l'a promis afin que tu observes tous Ses commandements." (Ki Tavo 26,17-18)

-> Le Yessod véChorech haAvoda fait remarquer que ces 2 versets sont le pendant l'un de l'autre : de même qu'au 1er verset, les Bné Israël reçurent le joug Divin avec amour et acceptèrent les mitsvot, de même au second verset, par amour pour eux, Hachem les choisit parmi toutes les nations pour être le peuple élu.

Cependant, pourquoi le joug des mitsvot ("que tu observes tous Ses commandements") est-il de nouveau mentionné dans la dernière partie du second verset?

Le Yessod véChorech haAvoda affirme que c'est par affection pour nous que Hachem nous a donné les mitsvot, et c'est ce que Moché dit aux Bné Israël : Ne croyez pas que les mitsvot soient un fardeau!
Bien au contraire, Hachem nous a offert un cadeau qui n'a pas de limites : les mitsvot sont la preuve de Son amour pour nous, et leur accomplissement ne peut être que bénéfique.
C'est là le sens de ce verset : "Hachem t'a distingué ... afin que tu sois Son peuple de prédilection", et c'est pour cela qu'Il t'a demandé d'accomplir Ses mitsvot.

=> Il conclut ainsi qu'il nous incombe de remercier le Maître du monde, et de nous réjouir qu'Il nous ait choisis pour être Son peuple.
[Selon le Zohar, la conscience que nous sommes juif doit nous procurer la plus grande des joies possible, au point où aucune mauvaise nouvelle apparente de ce monde ne puisse affecter cette joie. Un juif ne peut ainsi qu'être heureux toute sa vie!]

Quelques avantages des mitsvot

+ Quelques avantages des mitsvot (Introduction du Méam Loez (tome n°17) - Dévarim) :

1°/ Celui qui réalise les mitsvot fait résider la Présence Divine (ché'hina) sur terre.
La bénédiction régnera sur toutes choses, et ceci réjouira le monde entier.
Même les réchaïm seront bénis par le mérite des tsadikim qui observent les mitsvot.

En Haut, il existe un lieu particulier où résident des anges armés qui protègent Israël des nations du monde. Lorsque les non-juifs promulguent de mauvais décrets contre le peuple juif, ces anges les punissent.
Ils protègent Israël par le mérite de son empressement à accomplir les mitsvot.

Si les juifs sont négligents dans l'observance des mitsvot, D. nous en préserve, d'autres anges sont prêts à voler à l'aide des nations du monde lorsqu'elles émettent des décrets préjudiciables contre Israël.
Ils brisent le pouvoir du mazal d'Israël afin que les nations puissent les vaincre. Ils détruisent également la force des anges qui veulent faire du bien à Israël.
La Présence Divine quitte alors le peuple juif et la terre est maudite de toutes les façons possibles.
Une force de destruction règne alors dans ce monde et cause de graves dommages. Alors, l'univers ne connaît plus de joie.

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2°/ Même lorsque D. émet un mauvais décret, le tsadik est capable de l'annuler grâce aux mitsvot qu'il accomplit.

3°/ Aucune mauvaise nouvelle n'est annoncé d'en-Haut, car il est écrit : "Celui qui observe les mitsvot ne connaîtra pas de mal" (Kohélét 8,5).
En d'autres termes, celui qui accomplit les misvot et attend avec impatience le moment de les réaliser ne connaîtra rien de mal.
D'en-Haut, il ne lui sera annoncé que de bonnes nouvelles.

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4°/ L'homme qui observe les mitsvot aura une longue vie.

Il ressemble à un homme qui se noie et auquel un ami lance une corde.
"Saisis cette corde et ne crains rien!" lui crie-t-il. Celui qui accomplit les mitsvot ressemble à un homme qui s'accroche à une corde. Il n'a pas à craindre la mort.

Il est écrit : "Vous qui êtes attachés à Hachem votre D., vous êtes tous vivants aujourd'hui" (Dévarim 4,4).
Si vous êtes attachés à Hachem votre D. et que vous observez Ses mitsvot, vous vivrez longtemps.
[...]
D. aime tant les juifs qu'Il les entoure de bonnes actions. Partout où nous allons, nous trouvons des mitsvot à accomplir.

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5°/ Si un juif observe une mitsva dans un but désintéressé et sans motifs ultérieurs, la Présence Divine se reflète sur son visage et les gens acceptent ses paroles.

De plus, quiconque le regarde est empli de crainte. Même les animaux le craindront et ne s'approcheront pas de lui.
Lorsque Daniel a été jeté dans la fosse aux lions, les bêtes ne se sont pas approchés de lui pour lui nuire.

Cependant, si un homme est plongé dans la faute, l'image Divine disparaît de son visage. Comme la Présence Divine l'a quitté, personne ne le craint.
Lorsqu'il fait des remontrances, ses paroles ne sont pas écoutées.
Même les bêtes sauvages ne le craignent pas : à leur yeux, il est semblable à un animal et elles pourraient le tuer et le dévorer comme l'un des leurs.

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6°/ Le mérite des mitsvot protège l'homme de tout mal.

Même si un décret néfaste a été émis contre lui en Haut, une mitsva qu'il a accompli peut le soutenir, sur le moment et dans le futur.
Les mitsvot sont donc comparables à un bouclier : comme un bouclier protège l'home des flèches pendant le combat, les mitsvot qu'un homme a accomplis le protègent des malheurs décrétés en Haut.

Cette personne ressemble à un arbre possédant peu de branches mais de nombreuses racines.
Si touts les vents du monde soufflent, ils n'arriveront pas à l'arracher car les racines qui plongent dans les profondeurs du sol sont très solides.
De même, l'homme qui observe les mitsvot n'a pas à craindre les [mauvais] décrets célestes.
[...]

En plus de cela, D. ne le laissera pas en venir à la faute.

Imaginons une personne qui avance dans un lieu obscur et qui redoute de se blesser sur des épines et des ronces.
Si elle tient une lampe, elle peut marcher sans crainte là où elle désire.
Les mitsvot ressemblent à une lampe, comme il est écrit : "La mitsva est une lampe et la Torah est lumière" (Michlé 6,13).
Les mitsvot illuminent la voie de l'homme afin qu'il n'en vienne pas à fauter.
[...]

L'homme qui accomplit les mitsvot à la perfection, par amour et non par crainte de la punition, mais simplement parce que D. les a ordonnées et qu'il ne faut pas désobéir à Ses ordres, possède une valeur très grande. Le mérite des mitsvot le protégera pendant 2 000 générations, car il est écrit : "[D.] accomplit des actes de bonté pendant 2 000 générations pour ceux qui L'aiment et qui accomplissement Ses mitsvot" (Dévarim 7,9).

Cependant, pour ceux qui accomplissent les mitsvot par crainte [d'être punis], D. n'agit avec bonté que pendant 1 000 générations.

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7°/ L'homme qui observe les mitsvot est si cher à D. qu'Il dit de lui : "Le monde entier n'a été créé que pour cet homme".

Le seul but de la Création était de créer un homme juste qui observe les mitsvot ... Les anges eux-mêmes n'ont été créés que pour prodiguer le bien à cet homme. Par conséquent, les hommes justes sont plus importants que les anges.

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8°/ Chaque fois qu'un homme accomplit une mitsva, un ange est créé.
Cet ange prend sa défense et dit : "J'appartiens à cet homme qui m'a créé en observant tel et tel mitsva".
Hachem garde cet ange en face de Lui et le regarde afin de faire du bien à l'homme.
[...]
Cependant, le contraire est vrai aussi. Chaque fois qu'un homme commet une faute, un mauvais ange est créé.
Il se présente devant D. et dit : "J'appartiens à tel homme. J'ai été créé par telle faute qu'il a commise".
D. tient cet ange et le regarde afin de se souvenir de cet homme et de le détuire.
[d'où l'importance de rapidement faire téchouva sur nos fautes]

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9°/ Il faut savoir qu'avant de venir dans ce monde-ci, l'âme se trouve, certes au Gan Eden, mais elle ne peut ni voir ni goûter l'éclat de la Présence Divine qui est extrêmement intense.

Cependant, après être descendue en ce monde, chaque bonne action que l'homme a accomplie devient un vêtement pour son âme.
Grâce à cet habit, l'âme est capable de percevoir l'éclat de la Présence Divine.
Si un homme contemplait le soleil, il deviendrait aveugle, mais s'il le regarde en protégeant ses yeux d'un tissu, cela lui devient possible.
[ainsi, nous devons aborder chaque mitsva comme une opportunité de pouvoir davantage percevoir Hachem dans l'éternité du monde à venir.]

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-> b'h,lire également : https://todahm.com/2020/07/20/14162/

"N'attendez pas que quelqu'un d'autre prie pour vous.
Priez pour vous-même, et sachez que la prière aide toujours.
Il n'y a pas de prière vaine, inutile! Cela n'existe tout simplement pas dans la réalité."

[le Steïpler]

"Durant leur vie, nos ancêtres ne se sont jamais séparés de la yéchiva.
Quand ils séjournaient en Egypte, une yéchiva les accompagnait. Dans le désert, ils en ont aussi établi une.
Même dans sa vieillesse, Avraham étudiait dans une yéchiva, et il en a été de même pour Its'hak et Yaakov."

[guémara Yoma 28b]