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"Pourquoi allons-nous au cimetière?
Afin que les mort prient (et intercèdent) en notre faveur dans le Ciel"
[guémara Taanit 16a]

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-> "Les morts ne connaissent rien des souffrances des vivants sur cette terre" (guémara Béra'hot 18a-18b)

Tossefot (guémara Sota 34b) enseigne : Les morts ne sont pas informés, mais si les vivants prient pour qu'ils intercèdent en notre faveur [auprès d'Hachem], alors ils en seront informés.

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-> Si les vivants viennent sur les tombes des morts à un moment d’épreuve pour dire qu’ils ne voient pas d’où viendra le salut si l’on n’a pas pitié d’eux du Ciel, les morts en souffrent alors certainement davantage, participant aux souffrances des vivants.
Et le salut vient par leur souffrance, car Hachem a pitié de nous à cause de leurs mérites.
[Maharam Shick]

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-> Le Maharal enseigne que le cimetière est le lieu de repos des tsadikim, et ainsi c’est un lieu pur et saint et la prière y est mieux entendue.
Celui qui prie sur les tombes des tsadikim ne doit pas s’adresser aux morts, mais demander à Hachem d’avoir pitié de lui par le mérite des tsadikim qui reposent ici.

"Quand un tsadik disparaît, ce n'est que pour sa génération qu'il a disparu"
[guémara Méguila 15a]

-> La guémara poursuit par une comparaison : lorsqu'un homme perd une pierre précieuse, où qu'elle se trouve, elle conserve son nom de pierre précieuse ; elle n'est perdue que pour son propriétaire.

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-> La guémara (Béra'hot 19b) nous enseigne que "même après leur mort, les tsadikim sont considérés comme vivants".

-> Le Zohar (III - 70b) affirme que sans les prières des tsadikim, le monde ne pourrait pas perdurer un seul instant. Les tsadikim protègent le monde, plus encore après leur mort que pendant leur vie terrestre.

-> Lorsque Kalev est venu à Hévron : "Il alla se prosterner sur les tombes des Patriarches. Il dit : Pères du monde, priez pour moi afin que je sois sauvé du mauvais conseil des autres explorateurs." (guémara Sota 34b).

-> Le midrach (Berechit rabba 49,7) rapporte que notre Matriarche Ra'hel fut enterrée sur la route à Bet Lé'hem afin que ses enfants (les juifs à travers l'histoire) en exil puissent prier sur sa tombe et qu’elle puisse prier pour eux [à Hachem].
Par exemple, le Méam Lo’ez (Berechit 37,36),décrit que Yossef vendu par ses frères, versa de chaudes larmes sur la tombe de sa mère [lors de son chemin vers l'Egypte].

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[on ne prie pas directement le tsadikim, mais que par son mérite, qu'il puisse être notre intermédiaire auprès de Hachem, pour qu'Il accepte nos prières.
Les tsadikim sont des très très proches de D., et ils ont cette capacité de demander facilement des bénédictions avec largesse, pour nous..

Par ailleurs, le fait d'être dans un cimetière (on est tous mortels, de bref passage dans ce monde!) et de se rendre compte d'à quel point ce tsadik a pu réussir à remplir positivement sa vie (malgré toutes ses difficultés), cela génère en nous des pensées de téchouva et d'humilité, qui donnent également de la force à nos prières. ]

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Il est une raison importante pour laquelle les tadikim sont comparés aux étoiles.
Nos Sages enseignent que les tsadikim ne meurent pas : même après leur mort, on les considère vivants.
Ils continuent à vivre parce que leur âme se trouve sous le Trône de Gloire Divin (kissé haKavod).
C'est en cela qu'ils ressemblent aux étoiles. Bien que les étoiles soient invisibles de jour, elles continuent à exister là où elles sont. Si nous ne pouvons les voir, c'est à cause de la clarté du Ciel.
Il en est de même des tsadikim : ils continuent à exister après leur mort mais nous ne pouvons les voir à cause de nos péchés. Pourtant, ils demeurent à leur place.

De même qu'il est impossible de voir la lumière des étoiles le jour, il est impossible de se rendre compte de la grandeur des saints en ce monde. Elle n'est visible qu'après leur mort.
Ainsi que nos Sages (guémara 'Houlin 7b) l'enseignent : "Les tsadikim sont plus grands après leur mort qu'ils ne l'étaient dans cette vie".
[Méam Loez - Chémot 1,5]

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"Les tsadikim sont plus grands après leur mort que durant leur vie"
[guémara 'Houlin 7b]

=> On peut s'interroger : pourquoi y a-t-il en apparence autant de mauvaises choses qui se passent dans le monde, alors que nous avons des millions de juifs au Ciel qui prient pour nous?
Qu'en est-il des millions de morts dans d'atroces souffrances, des milliers d'énormes tsadikim, ... qui prient pour nous avec davantage de forces que de leur vivant!

-> Le Maguid de Mézéritch est apparu après sa mort au Noam Elimélé'h, et il lui a dit :
"Lorsque j'étais toujours en vie dans ce monde, je voyais les choses avec un regard humain. Tout apparaissait tellement angoissant et douloureux, et c'est pour cela que je pouvais prier pour devancer les décrets.

Mais maintenant que je suis dans le monde de Vérité, je peux voir que tout n'est que bonté.
Je peux constater à quel point Hachem est impliqué dans le monde, à quel point ce qui est négatif en apparence, n'est en réalité qu'un composant des plans Divins menant à notre bien ultime.

Ainsi, puisque depuis le monde de Vérité [où je suis pour l'éternité], je ne vois que des bontés de D., comment veux-tu que [je prie] pour annuler [ce qui est perçu à tord comme des décrets négatifs sur terre]? En effet, je retirais alors de la bonté aux juifs!"

[Ohel Elimélé'h]

"D'après nos Sages, c'est par le mérite des 3 prières quotidiennes que la guéoula se produira.
C'est donc notre manque de vigilance et de concentration dans ces 3 prières qui est la cause du retard de cette guéoula, de la reconstruction du Temple et du rassemblement de tous les exilés.

[Ben Ich 'Haï - guémara Béra'hot 3a]

"Les juifs n'ont quitté l'Egypte qu'en raison de leurs prières"

[midrach Chémot rabba 38]

-> Les juifs ont été libérés après 210 années de présence en Egypte, alors que la durée initiale était de 400 ans.
Il existe de nombreuses explications de nos sages (le nombre accru de juifs, la dureté de la souffrance, le travail jour et nuit, le début des 400 ans, ...), mais le Arvé Na'hal (Pessa'h 2) donne une réponse capitale. Le décret initial contenait un clause stipulant que si les juifs priaient alors ils seraient délivrés plus tôt.
[D'ailleurs, c'est pour cela que nous nous rappelons autant de la sortie d'Egypte (zékher litsiat mitsraïm). En effet, de même que l'exil égyptien a pris immédiatement fin, de même notre exil prendra automatiquement fin si nous prions, pleurons pour cela de tout notre cœur. Tel est la puissance de notre prière!!]

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+ Personne n'a trop peu de valeur pour que sa prière soit écoutée :

-> "S'il existait une personne qui ne mériterait pas que Hachem accepte ses prières, néanmoins par le biais de la force de ses supplications et des larmes de ses yeux, du fait qu'elle pleure et implore constamment, alors bien qu'elle ne possède pas de mérites et de bonnes actions, Hachem va accepter sa prière et accomplir son désir."
[Séfer 'Hassidim - 130]

-> Hachem dit à Moché : "Lorsque Je vois des gens, même s'ils n'ont aucune Torah et bonnes actions, ni eux, ni leurs ancêtres, alors uniquement parce qu'ils se lèvent, me remercient, me bénissent, me louent, et élèvent leurs supplications devant Moi, alors Je suis contraint [d'accomplir leurs demandes]."
[Tana déBé Eliyahou Zouta - 86]

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-> L'homme le plus saint : le Cohen Gadol, le jour le plus saint : Yom Kippour, dans le lieu le plus saint : le saint des saints, devait prier pour que Hachem n'accepte pas la prière des voyageurs demandant un arrêt de la pluie.
En effet, ils n'en veulent pas, car cela ralentit et peut entraîner un fort retard de leur déplacement.

Or, une prière venant des profondeurs du cœur, même d'une personne simple, a un impact phénoménale, au point qu'il est nécessaire d'avoir le Cohen Gadol, le jour de Kippour, dans le saint des Saints, qui intervienne pour ne pas que la collectivité d'Israël ne manque d'eau.

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-> Le rav Michel Twerski dit qu'au moment de commencer notre Amida, on doit s'imaginer un énorme stade rempli d'anges dans les tribunes qui louent Hachem, et nous au centre du terrain.
Tout à coup, Hachem ordonne à cette multitude d'anges de se taire, expliquant que Son enfant veut Lui parler.
Hachem et tous les anges focalisent alors leur attention sur lui, et Hachem dit : "[Mon enfant] Je suis tout à toi. Qu'as-tu à me dire?"

C'est l'intention du verset que l'on dit en ouverture : "Hachem, chéfataï tifta'h (Hachem, s'il Te plait ouvre mes lèvres)" = nous sommes tellement tremblant devant la grandeur de cette occasion de parler à papa Hachem, l'infiniment énorme, que nous Lui demandons de l'aide pour que les mots puissent sortir de notre bouche.

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-> Lorsqu'une personne pense aux mots [de prière] qu'elle prononce, et au fait qu'elle a le privilège de se tenir devant Hachem, lui demandant pour ses besoins, et qu'elle prend conscience de tout ce que Hachem fait pour elle, alors c'est impossible de ne pas être heureux.
[Pélé Yoets - Yalzou 'Hassidim - Chorech haTéfila 18]

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-> "Les prières que nous adressons à Hachem, L'implorant de nous venir en aide, sont extrêmement précieuses à Ses yeux."
[rav Yaakov Neuman - Darké Neuman]

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-> "Moché, très affligé, dit à Hachem : "N'accueille pas leur hommage!"" (Kora'h 16,15)

Rachi : Selon l'approche littérale = "L'encens qu'ils vont T'offrir demain, ne l'agrée pas!".

Le Saba de Kelm affirme que nous voyons de là le formidable pouvoir d'une prière.
En effet, Moché doit demander à Hachem de refuser leur offrande du lendemain, c'est-à-dire leurs prières.
[même si Kora'h et son assemblée s'étaient rebellés contre Moché, Aharon et même Hachem, et que s'ils avaient gain de cause alors cela entraînerait leur légitimité mettant par là en doute l'authenticité de la Torah, malgré tout Moché atteste que la prière a un tel pouvoir qu'ils auraient pu avoir gain de cause.
Toute personne, quelque soit sa situation (la guémara donne l'exemple d'un voleur demandant de l'aide pour réussir son vol!), bénéficie du pouvoir extraordinaire de la prière.
On comprend alors pourquoi notre yétser ara cherche en permanence à tellement amoindrir la valeur de nos prière à nos yeux!]

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-> Le rav Yé'hezkel Sarna, élève du Saba de Slabodka, écrit (dans la brochure Tévouna) :
"Comment un homme peut-il affirmer que ses prières ne sont pas acceptées?
Et encore plus s'il s'agit de prières collectives, au sujet desquelles il est écrit : "C'est un D. puissant, qui ne [les] dédaigne pas!" (Iyov 36).

Même si nous n'avons pas le mérite d'être les témoins des délivrances Divines, qui sait combien de décrets ont été évités par les cris et les supplications d'Israël? Qui sait combien d'âmes ont été épargnées par les prières, en plein cœur des persécutions?"

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-> "Il se tourne vers la prière du pauvre dénudé, il ne dédaigne pas ses invocations" (pana él téfilat aar'ar, vélo vaza ét téfilatam - Téhilim 102,18)

Le "pauvre dénudé" se dit dans le texte : "ar'ar" (עַרְעָר), dont les lettres forment : רע רע (ra ra). [ra = mauvais ; on a ainsi en ce mot : le mauvais mauvais].
=> Nos Sages commentent que Hachem désire les prières même des mauvais des mauvais, de ceux qu'on considère comme les plus pourris des pourris.
Même eux doivent savoir que Hachem les aime, qu'Il ne les rejette pas ("il ne dédaigne pas ses invocations").

[ainsi, comment pouvons-nous penser que Hachem ne nous aime pas, qu'Il ne désire pas ardemment nos prières pour nous combler du meilleur!]

-> "N'oubliez jamais la grandeur de la prière.
Elle a le pouvoir de changer le cours de la nature, de sauver de tout dommage, et d'annuler les décrets difficiles."
[Rabbénou Bé'hayé - Ekev 11,13]

-> La prière annule non seulement les décrets difficiles, mais c'est aussi la source de toutes les bénédictions spirituelles et matérielles.
[Noam Elimélé'h - Tzetel Katan]

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-> Aujourd'hui avant la venue du machia'h, la principale forme de service [Divin] est la prière.
[rabbi 'Haïm Vittal - rapporté dans le Tzetel Katan du Noam Elimélé'h]

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-> "Les gens doivent savoir que la bataille principale contre le yétser ara se tient pendant la prière.
Car même si une personne étudie une grande quantité de Torah, réalise les mitsvot, et donne son temps et son argent aux pauvres, le yétser ara ne s'y opposera pas totalement, puisque de telles actions ne sont pas une véritable menace pour lui.

Cependant, lorsqu'un juif déverse son cœur en prières à Hachem, alors le yétser ara va l'attaquer sans cesse, perturbant ses pensées. En effet, de telles prières coupent l'essence même du yétser ara, et peuvent le vaincre, davantage que toutes les mitsvot."
[Maor vaChémech - Ki Tétsé]

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-> Une personne peut prier sans retenue pour devenir sage dans le service Divin, car aucune force Accusatrice ne peut se tenir face à de telles prières.
['Hozé de Lublin - Avné Zikaron 563]

-> Le rabbi 'Haïm Kanievsky, se basant sur le ‘Hazon Ich (Ora’h ‘Haïm 156) enseigne :
"Hachem nous donne la pleine liberté de choix de faire le bien ou le mal.
Cependant, tous les juifs étant responsables les uns des autres, ils sont considérés unis comme une seule personne.
Ainsi, lorsqu’un juif utilise son libre arbitre pour prier pour l’amélioration spirituelle d’un autre juif, sa prière peut avoir un effet sur la transformation spirituelle d’autrui, et cela n’est pas considérée comme venant du Ciel, puisqu’étant le résultat d’un choix libre d’un juif."

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-> Face au pouvoir extraordinaire de la prière, dans le cadre du libre arbitre, le yétser ara s'y oppose de toutes ses forces afin qu'on la néglige.

On peut citer par exemple :
1°/ Rav Bibi bar Abaye (guémara Béra'hot 6b) dit : "Que signifie l’expression : "kéroum zoulout aux gens ?"
Il répondit : "Ce sont les choses qui se tiennent au sommet du monde, mais que les gens traitent avec légèreté."
Rachi affirme à ce sujet : "Par exemple, la prière qui s’élève jusqu’au ciel."
[Le rav Moché Sternbuch dit que le fait que tant de personnes ont de si grandes difficultés à prier avec ferveur/concentration est la preuve de son importance.]

2°/ D'après la guémara (Béra’hot 32b) : "Nos Sages enseignent qu’il existe 4 domaines qui nécessitent d’être constamment renforcés, et il s’agit de : la Torah, les bonnes actions, la prière et le déré’h érets."
[si on ne se rappelle pas fréquemment la véritable importance de notre prière, alors on en vient inévitablement à la dévaloriser! ]

"Le plus grand trésor des vivants sont les prières que les défunts disent pour eux."

[Méam Loez - Michpatim 22,5]

"La prière consiste dans le fait que la sagesse supérieur [Hachem] a établi que les créatures doivent recevoir l'abondance de Lui.
Il faut que ce soit elles qui se tournent vers Lui, se rapprochent de Lui et recherchent Sa proximité.
Il leur accorde un épanchement d'abondance en fonction de leur éveil vers Lui, et sans cet éveil elles ne le reçoivent pas.

Hachem désire que les créatures aient une abondance de bien en tout temps, et Il leur a préparé ce service [la prière] tous les jours, [puisque] de cette façon Il leur accordera une abondance de réussite et de bénédiction."

[Ram'hal - Déré'h Hachem]

"C'est est un acte de générosité pour ainsi dire envers le Créateur de partir tôt de chez soi le matin et le soir, et comme la présence Divine est en exil à notre époque, elle ne trouve de satisfaction que dans les 4 coudées de la prière.

Quiconque se lève tôt pour aller à la synagogue, c'est comme s'il se levait pour accueillir la Présence Divine et lui demandait comment elle va, et cela la console et la réjouit que cet homme lui demande de ses nouvelles quand il vient parmi les premiers."

[le Séder haYom]

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-> Habituellement, dans un mariage, les parents des 2 côtés arrivent les premiers, ensuite la proche famille, et la famille plus éloignée arrive en dernier.
Il en va de même en ce qui concerne la prière : plus la personne a un "lien de parenté" direct avec la prière, plus il vient tôt.
Nous devons savoir que celui qui veille à arriver à temps exprime ainsi l'importance de la prière à ses yeux, et cela même constitue une raison que la prière soit acceptée.
[rabbi Dov Yaffé]

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-> b'h, sur l'importance d’être parmi les 10 premiers à la prière : https://todahm.com/2018/12/09/limportance-detre-parmi-les-10-premiers-a-la-priere

La force essentielle de la prière est lorsque l'homme met tout son espoir dans le Créateur du monde, ne compte absolument que sur Lui, et croit fermement dans Sa puissance illimitée.
Plus cette foi grandit, plus les chances qu'un miracle se produise augmentent, et que D. entende sa prière.

Et bien que chacun de nous soit habitué à la prière, et croie en Sa puissance, il faut éveiller cette foi en la faisant passer du cerveau dans le cœur et les sentiments, car seul celui qui prie avec une foi tangible peut espérer que sa prière vienne le sauver de tout mal.

[le Baré'hi Nafchi]

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-> Quand un enfant a envie d'argent pour s'acheter quelque chose, il le demande à son père sans hésiter, même si c'est une petite chose, parce que c'est son père.
Nous sommes les enfants de D., et Il est notre père, nous n'avons pas à hésiter à lui demander même une petite chose, car il n'y a personne d'autre à qui demander.
[le Birkat Avraham]

+ "La prière ne s'acquiert pas par des contorsions et des grimaces, mais avant tout "goûtez et voyez que Hachem est bon" (Téhilim 34,9).
On doit en acquérir pour soi-même le goût, alors notre prière sera convenable.
Pour trouver le goût de la prière, on doit renforcer en soi-même les bases de la foi et de la confiance dans la providence Divine.
C'est obligatoire, tout simplement.
[...]

[De plus,] Il faut comprendre la signification des mots, et que l'oreille entende ce que dit la bouche ... En effet, sinon la bouche énonce des louanges envers D., alors que le cœur est plongé dans des pensées tout à fait autres (or, Hachem désire notre cœur!)."

[rav Yé’hezkel Levinstein]