Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

La nuit de Pessah, il faut se comporter avec sainteté et crainte, et se réjouir des mitsvot que nous avons mérité de recevoir d'Hachem cette nuit-là ...
A mon avis, si quelqu'un a un cerveau dans son crâne et fait confiance à la Torah, comment pourrait-il s'en moquer? Comment pourrait-il ne pas craindre [de perdre l'occasion de réaliser] cette grande mitsva qu'il n'a pas la possibilité d'accomplir le reste de l'année? ...
Nos terribles fautes sont déjà suffisantes, nous sommes imprécis dans les mitsvot quotidiennes telles que les téfilin et le Birkat Hamazon ; pourquoi sommes-nous également imprécis dans ces mitsvot?
[rav Akiva Eiger - drouché vé'Hhidouché Rabbi Akiva Eiger - drachot p.248 ]

<--->

-> Nous avons tendance à traiter avec davantage d'importance les mitsvot qui se présentent à nous de façon occasionnelle.
Il est dit au nom de rav Nissim Karelitz que cela explique pourquoi les gens sont incroyablement scrupuleux dans le choix d'un tsrog (passant souvent beaucoup de temps à inspecter chaque centimètre carré à la recherche d'imperfections), alors qu'ils ne prêtent aucune attention aux lanières de leurs tefillin, qui doivent être parfaitement noires (et que l'on met tous les jours sauf le Shabbath et yom tov)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *