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"Ils firent la plaque frontale, la sainte couronne, en or pur, et ils inscrivirent dessus une inscription gravée comme un sceau : "Saint pour Hachem". " (Pékoudé 39,30)

-> La guémara (Arakhin 16a et ainsi que Zéva'him 88b) dit que ce vêtement [que le Cohen gadol porte] servait de réparation aux personnes qui sont effrontées.

-> De même, le Zohar enseigne que lorsque le Cohen gadol porte la plaque frontale (le tzitz) cela va neutraliser et calmer les effrontés du monde entier.

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-> "Yehouda ben Teima avait coutume de dire : "L’effronté est voué au Guehinam et celui qui est réservé, au Paradis. Puisse être Ta volonté, Hachem notre D. et D. de nos pères, que le Temple soit reconstruit prochainement, en nos jours et de nous accorder notre part dans Ta Torah." (Pirké Avot 5,20)

Il y a un lien entre 3 éléments : l'effronté, le Temple et la Torah.
Pourquoi cela?

Selon le Tzvi lé'Israël, l'auteur de cette michna : Yéhouda ben Teima, s'est rendu compte à quel point les effrontés causent de nombreuses souffrances à de bonnes personnes.
En réponse à cela, il va prier Hachem de ramener le Temple, car ainsi le Cohen gadol portera de nouveau la plaque frontale (le tzitz), ce qui permettra de neutraliser ces gens.

Il a également prié pour la Torah, car la guémara (Bétsa 25b) assure que la Torah a été donné aux juifs afin de neutraliser notre effronterie et notre ardeur naturelle.

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-> L'effronterie est une faute si grave qu'elle a causé la destruction de Jérusalem.
C'est pourquoi nous prions d'acquérir la réserve, grâce à elle, le Temple sera reconstruisit.
[...]

L'effronterie cause le manque de pluie.
En effet, la gratitude constitue l'un des fondements du judaïsme. Il est évident que peu de défauts surpassent l'ingratitude.
Nous devons toujours être conscients de tous les bienfaits que Hachem nous a accordé et agir comme si D. était notre créancier.
Comme l'effronté n'est pas conscient de la miséricorde Divine et agi comme si D. lui devait quelque chose, alors D. retient le bien qu'Il aurait désiré offrir et ne donne pas la pluie.
Or, il n'est rien dont l'humanité ait plus besoin que la pluie.
[...]

Si une personne n'a pas la qualité de retenue, on peut conclure que ses ancêtres n'étaient pas présents au mont Sinaï, lors du don de la Torah.
Sa nature effrontée montre sans doute possible qu'elle faisait partie de la multitude de nations (érev rav) qui ne se trouaient pas au mont Sinaï. [Sifté Cohen]
[Méam Loez - Tétsavé 28,39]

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