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"On doit être prompt à pardonner et lent à la colère, et lorsque le fautif demande pardon, on doit le lui accorder de tout cœur et dans un esprit d'amour.
Même si [le fautif] nous a causé beaucoup de peine, et nous a fait très mal, on ne doit pas chercher à se venger.
[...]
[Pardonner sans réserve et dans un esprit d'amour,] c'est l'attitude que leur cœur sincère dicte aux enfants d'Israël.
Mais les non-juifs qui ont le cœur obstrué se comportent différemment et conservent éternellement leur rancune"

[le Rambam - Michné Torah - Hilkhot Téchouva 2,10]

Le rav Mattitiahou Salomon dit que selon le Rambam, la ligne de démarcation entre ce qui est exigé du peuple juif et la conduite des autres nations du monde, n'est pas au niveau de la émouna, des mitsvot, ... mais au niveau des midot.

Seuls les juifs doivent se hisser à un tel niveau de distinction, de raffinement, acquérir une telle noblesse de caractère, au point de pouvoir sincèrement pardonner et oublier, au point de devenir de bons amis avec ceux qu'ils ont peut-être considérés comme leurs pires ennemis.

C'est une chose qui n'est exigée que d'un juif, descendant et héritier spirituel d'Avraham, de Yits'hak et de Yaakov.

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Le prérequis est le fait de préserver sa sainteté, en faisant particulièrement attention à 2 mitsvot : les relations interdites et les aliments interdits.

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