Nos Sages (guémara Béra’hot 34b) disent qu'à l'endroit où se tient l'homme qui s'est repenti, même les tsadikim parfaits ne peuvent s'y tenir.
En effet, un homme qui a fauté, quand il se repent, il imagine que sa faute ne pourra pas être corrigée sans qu'Hachem le sauve gracieusement. Ainsi, il crie et implore tellement que ses cris atteignent des hauteurs si élevées, à un endroit où même les plus grands tsadikim n'ont pas accès.[Mé haChiloa'h]