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"Ne laisse pas la bénédiction d'une personne simple devenir légère à tes yeux"

[guémara Béra'hot 15a]

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-> Des générations [après que Ruth a eu son enfant], lorsque la reine Atalia a massacré tous les descendants de la famille royale, un seul enfant : Yoach, a réchappé pour perpétuer la dynastie de David (Méla'him II 11).
Nos Sages déclarent que la bénédiction que les femmes ont donnée à Ruth a sauvé la descendance de David de l'anéantissement.
[Méam Loez - Méguilat Rut 4,14]

[En plus de venir consoler Ruth pour la mort de son mari Boaz, les femmes savaient que Ruth n'avaient pas de matrice, elles ont compris que la naissance de son fils Oved était miraculeuse, et elles sont venues la féliciter.
On voit que les bénédictions des femmes de son époque (ex: mazal tov, que cet enfant soit ...), ont permis de sauver sa descendance, et donc par là la venue du machia'h!
Ainsi, il faut apprécier chaque bénédiction d'autrui, même la plus ordinaire (comme par exemple : bonne journée), car même si on ne s'en rend pas compte, il y aura forcément un impact positif pour nous!]

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-> Qu'une bénédiction de non-juif ne soit pas négligeable à tes yeux.
[rabbi Na'hman de Breslev - Séfer haMidot - Bénédiction (béra'ha)]

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-> Celui qui reçoit une bénédiction, devra offrir quelque présent à celui qui l'a béni.
[rabbi Na'hman de Breslev - Séfer haMidot - Bénédiction (béra'ha)]

-> Celui qui rapproche ceux qui sont éloignés du service d'Hachem, les bénédictions seront disposées entre ses mains.
[rabbi Na'hman de Breslev - Séfer haMidot - Bénédiction (béra'ha)]

De même qu'un juif est puni pour avoir dit du lachon ara, de même il est puni s'il avait une opportunité de dire quelque chose de positif à autrui, et qu'il ne l'a pas fait.

[Zohar - Tazria 46,2]

[Par notre parole nous pouvons redonner de la vie à autrui : encourager, valoriser, rendre joyeux, conseiller, ...
Comment pouvons-nous être cruel au point de préférer se taire et priver autrui de forces de vie, si vitales à sa bonne existence.]

"Lorsqu'une personne se tient debout pour réciter la amida, pour ainsi dire, le bras droit d'Hachem l'enlace."

[midrach Chir haChirim rabba 2,19]

C'est pour cette raison, que la guémara (Béra'hot 21a) commente : "Si seulement nous pouvions prier toute la journée, car ainsi nous pourrions être constamment connectés à Hachem"

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-> Le 'Hafets 'Haïm enseigne que prier pour une autre personne est un moyen de réaliser la mitsva de témoigner de la bonté à son prochain.
[de plus : "Toute personne qui prie pour un besoin de son prochain, alors qu’elle en a elle-même besoin, se verra exaucée en 1er" - guémara Baba Kama 92a].

Après notre mort, nous aurons une vision claire de l'impact exceptionnel de toutes ces prières : combien de personnes se sont mariées grâce à nous, combien ont pu continuer à vivre, combien ont pu retrouver un travail, ...
[A l'inverse, on nous montrera ce qu'on aurait pu faire si l'on avait davantage prié (pour soi, pour d'autres), et cela pourra devenir une source de honte éternelle si l'on a de notre vivant négligé l'impact de nos prières!]

=> De même que durant notre prière Hachem nous enlace, de même nous pouvons décupler ce moment en y ajoutant d'autres frères juifs à cette étreinte familiale pleine d'union, d'amour et de joie!

+ "Rabbi Akiva disait : "Tu aimeras ton prochain comme toi-même" (Kédochim 19,18) : ceci est un grand principe de la Torah.

Ben Azaï disait : "Ceci est l'histoire des générations de l'humanité : [lorsque D. créa l'homme, Il le fit à Sa propre ressemblance]" (Béréchit 5,1) : ceci est un principe plus grand encore.
[En effet, il en résulte : ] Que tu n'en vienne pas à dire : "Si j'ai été humilié, mon prochain peut l'être aussi", car sache qui tu cherches à abaisser : un être créé à l'image de Hachem."

[midrach Béréchit rabba 24,8]

[Vouloir respecter Hachem, cela implique par ricochet de devoir respecter autrui, et également nous-même.]

+ "Hachem dit : De toutes les nations que J'ai créées, J'affectionne tout particulièrement le peuple juif, comme il est exprimé : "Israël est un jeune et Je l'ai pris en affection" (Ochéa 11,1). "

[midrach Dévarim rabba 5,6]

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-> "Hachem dit : ... Si les juifs ne sont pas dans le monde, Je n'ai pas de louange et de gloire."
[midrach Otiyot déRabbi Akiva - Ot aléph]

-> "Lorsque la colère de Hachem s'éveille, Il s'apaise [en entendant] les louanges [que Lui font] les juifs."
[midrach Yalkout Chimoni Vaét'hanan 836]

"C'est une grande mitsva de réconforter une personne triste et de l'aider à dissiper ses inquiétudes."

[guémara Taanit 22]

-> "Une femme doit réjouir ses amies (femmes) par des paroles positives, car il s'agit d'une grande mitsva qui nous concerne tous."

[le Gaon de Vilna - dans sa lettre adressée à sa femme avant de partir en Israël]

"Celui qui se dresse contre Israël est comme s’il se dressait contre Hachem"

[Rachi - Mattot 31,3]

"Si les hommes connaissaient l'amour que porte D. au peuple d'Israël, ils Le chercheraient en rugissant comme des lions."

[Zohar - Chémot 5b]

"Si une personne témoigne de la joie dans ce monde, alors du Ciel, on lui montrera de la joie.
Mais si une personne témoigne de la tristesse, cette tristesse lui est renvoyée du Ciel.

C'est pour cela qu'il est dit : "Sers Hachem avec joie", car la joie de l'homme entraîne d'En Haut vers lui une autre joie."

[Zohar - Tétsavé 184]

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-> "D. est ton ombre [protectrice]" (Téhilim 121,5)

Le Néfech ha'Hayim (1:6,7) et le Tomer Dvora (chap.1) expliquent que par nos actions dans ce monde, on peut activer les plus hauts niveaux des Attributs divins, entraînant sur nous les bénédictions les plus puissantes des mondes supérieurs.

Ainsi, à l'image de l'ombre, si dans notre vie, on se force à avoir le sourire (confiant en la bonté et en la justice divine), alors D. nous donnera de véritables raisons d'être joyeux.

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-> "Celui qui suit sa souffrance, sa souffrance le suit d'encore plus près"  [Rabbi Na'hman de Breslev - Atsvout 34]

-> "Celui qui s'évertue à penser positif, ne prononce pas de paroles tristes ou préoccupantes. Il agit comme s'il était heureux et il finira par vraiment le devenir"  [le Tséma'h Tsédek]

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-> "Lorsqu'un homme agit, en bien comme en mal, D. lui insuffle une force qui l'incite à continuer dans la voie qu'il a choisie. C'est le principe qu'un commandement ou une faute en entraîne un autre.

Il en est ainsi pour la joie. Lorsque quelqu'un se réjouit un peu, il continuera jusqu'à ce que la joie s'imprime dans son âme et qu'elle devienne une partie de lui-même"

[Gaon de Vilna - michlé 1,23]

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-> "C'est une grande mitsva d'être continuellement joyeux et d'éviter la tristesse et la mélancolie. De plus, la joie sur terre éveille une joie céleste, qui annule les décrets"

[Rabbi Na'hman de Breslev - Likouté Torah du Baal haTanya - paracha Tazria]

 

-> "Le monde céleste reflète ce monde-ci. Celui qui rayonne reçoit la lumière d'en-haut. D. est l'ombre de l'homme : en fonction de son comportement, il ressentira la présence de D. sur lui" [Zohar -  2e partie - 164b]

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-> b'h, au sujet du fait qu'avoir des pensées négatives va attirer sur nous des choses négatives : https://todahm.com/2020/03/31/13093-2
-> voir également : https://todahm.com/2021/05/23/31798

"Celui qui aide un juif est considéré comme s'il aidait la présence divine"

[Zohar - paracha Vayé'hi]

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-> Le Zohar (paracha Emor) écrit que lorsqu'un homme fait du 'hessed, il attire sur lui la bonté de Hachem, et lorsque quelqu'un agit avec miséricorde envers son prochain, Hachem fait également preuve de bonté envers lui et lui procure l'aide dont il a besoin.

-> Le midrach (Téhilim Rabba 65) nous enseigne que lorsque nous traitons autrui avec bienveillance, nos prières montent au Ciel avec une force particulière.