-> Comble le manque de ton prochain et D. comblera le tien.
[Rabbi Maharach - le 4e Rabbi de 'Habad]-> "C'est en aimant son prochain que l'on attire sur nous la présence divine"
[Rabbi Ména'hem Mendel de Kotsk]-> "Aimez-vous et recherchez le bien des uns et des autres. Ainsi, la lumière supérieure de D. vous éclairera en dressant un bouclier de protection autour de vous."
[Rabbi Rayats - le 6e Rabbi de 'Habad]<--->
-> Pour le Ciel, la bénédiction d'un ami vaut bien plus que celle d'un ange.
[Rabbi Pin'has de Korets]-> La bénédiction d'un ami a une grande importante au ciel : elle peut agir plus efficacement que l'ange Mikhaël lui-même.
[rabbi Dov Ber de Mézéritch]-> Si une personne te demande aide et assistance, ne lui dis pas : "Aie confiance en D."
Mais agis comme s'il n'y avait que toi sur Terre pour l'aider.
[Rabbi de Sassov]
Catégorie : Citations – Nos tsadikim
-> L'amour que l'on doit éprouver envers D. se reconnait à travers l'amour que nous portons à autrui.
[Baal Chem Tov]-> La preuve qu'un homme aime D. est dans l'amour qu'il porte aux autres.
[Rabbi Lévi Its'hak de Berditchev]<---->
-> Aimer son prochain, c'est autant participer à sa joie que ressentir ses souffrances.
[Rabbi Moché de Sassaov]-> Pour aimer son prochain, il faut lui laisser sa place.
Mais, cela ne signifie pas pour autant qu'il faille cesser d'exister.
[Rabbi Rayats - le 6e Rabbi de 'Habad]
<---->
-> Une fois le médecin demanda au rav Shalom Zalman Auerbach de lui montrer sa langue. Le rav lui a répondit alors : "Comment puis-je tirer la langue à un juif?"
Cela témoigne de l'amour de ce géant en Torah envers son prochain juif.
Toute mitsva ou moment où l'on fait la volonté de D., va illuminer notre âme avec une lumière qui n'a pas de limite, et l'âme devient alors plus attachée à Hachem.
Ce sentiment de proximité, de lien accru avec D., constitue l'incomparable bonheur du monde à venir.Pourquoi ne le ressentons-nous pas?
Car l'âme est emprisonnée dans le corps, et pour ressentir cela il faut qu'elle s'en sépare (la mort) ou bien que le corps se purifie au point de ne pas empêcher la lumière de passer.
A ce moment, la lumière de chaque mitsva que nous aurons pu réaliser, va nous envahir, à l'image de l'aube [ce passage de la nuit au grand jour].[d'après le 'Hatam Sofer al haTorah - Vayikra p.129]
"Celui qui est déjà mort de son vivant, c'est l'homme matérialiste dont l'âme est enterrée dans son corps et dans une vie d'illusions.
Le décès [réel] de cet homme est synonyme d’anéantissement, d'une vanité égale à celle de sa vie : son corps se décompose, son âme est consumée, tous 2 sont changés en cendres à l'instar de la poussière qui marqua leur vie.
Il n'était rien [de son vivant], et il ne reste rien [à sa mort].Alors en quoi consiste sa mort? A la disparition totale de ses illusions ...
[...]Tout homme ayant été en contact avec la Vérité ne meurt jamais. Il se dépouille simplement de son habit terrestre et il s'élève à un niveau céleste, qui le renforce et le purifie davantage.
Nos Sages disent en ce sens : "Les tsadikim sont plus grands après leur mort que de leur vivant" = leur valeur grandit, leurs connaissances grandissent, ils s'élèvent dans la vie de la Vérité, la vie du monde qui les habite."
[Rav Eliyahou Dessler - dans une lettre à son fils]
"Regardez à quel point la force de l'amour entre les hommes est grande.
Le mot : "aava" (amour - אהבה) a une guématria de 13.
Lorsque 2 personnes se témoignent l'une l'autre un véritable amour, cela est doublé pour atteindre 26, qui est équivalent à la guématria du Nom de Hachem (יהוה).Ainsi, il est évident que lorsque des gens partagent un amour réel l'un pour l'autre, alors Hachem fait résider Sa Présence Divine entre eux!"
[Rabbi 'Haïm Vital]
[se disputer avec autrui, c'est dire à D. : je préfère que Tu partes et avoir le dernier mot, plutôt que Tu restes avec moi!]
-> Dans la Torah, il y a 304 805 lettres.
Quelles sont les 3 le plus fréquemment utilisées?Il s'agit du youd (י), du vav (ו) et du hé (ה), qui sont les lettres formant le nom de D. (le Tétragramme - יהוה), qui représente Son Attribut de miséricorde.
"Tel est le fondement de l'homme : jamais un juif ne devra se dire : "Que suis-je et quelle est ma force? Comment mes actes insignifiants pourraient-ils influer sur le monde?"
Il devra au contraire savoir, comprendre et ancrer dans les tréfonds de son cœur qu'aucun détail de ses actes, de ses paroles et de ses pensées ne sera jamais perdu, que D. préserve.
Ses actions sont au contraire incommensurables, au point que chacune d'elles s'élève dans les Cieux selon la racine de son âme, et agit dans le Firmament, dans les Mondes purs des Lumières célestes.En vérité, lorsque le sage comprend cela véritablement, son cœur est saisi de tremblements en prenant conscience de tous les mauvais actes qu'il a commis, et en comprenant à quel point un légère faute peut abîmer et détruire, que D. préserve, bien davantage que ce que firent Nabuchodonosor et Titus.
En effet, par leurs méfaits, Nabuchodonosor et Titus ne causèrent absolument aucun dommage ni destruction dans les Mondes supérieurs, car ils n'avaient aucune part ni aucune racine dans ces Mondes pour que leurs actes puissent les affecter."[rav 'Haïm de Volozhin - Néfech ha'Haïm - Portique I - chap.4]
<----------->
Le Néfech ha'Haïm y est également écrit :
"L'homme doit savoir, comprendre et fixer dans ses pensées que tous les détails de ses actions, des ses paroles et même de ses pensées, à chaque instant ont des effets colossaux.
Si Nabuchodonosor et Titus ont détruit le Temple en bas, ils n'ont rien pu faire en Haut dans les mondes de vérité, dans les mondes spirituels car ils n'ont pas de racines suffisamment hautes pour les atteindre.
Par contre, un juif par ses fautes, ses mauvaises paroles et mêmes ses pensées peut endommager le monde d'en-Haut, et même le Temple d'en-Haut.
Comme nos Sages disent dans le midrach : Titus n'a fait que moudre de la farine déjà moulue car le Temple avait déjà été détruit (spirituellement) par les fautes des juifs.
L'homme inclut en lui tous les éléments de la Création, tous les Sidré Béréchit, tous les Sidré Merkava, tous les éléments du Temple et du Michkan, chaque élément dépend d'une partie de son corps, de son âme ou de ses forces ...
Comme le dit également la quémara (Kétouvot 5a), les actions des tsadikim sont plus grandes que la Création du Ciel et de la terre."
"Hachem, je ne veux rien. Pas même Ton gan Eden, et pas même le monde à venir.
Maître du monde, je ne veux rien d'autre que Toi!"[le Baal haTanya]
"A la fin, ce n'est pas les années de ta vie qui comptent, mais plutôt la vie dans tes années!"
[rav Avraham Linkener]
La Torah entière est faite des Noms de Hachem.
Lorsqu'une personne étudie la Torah, c'est comme si elle mentionnait constamment le Nom de D., et Hachem vient alors la bénir.
Il est en effet écrit : "en tout lieu où Je permettrai que Mon Nom soit invoqué, Je viendrai à toi et te bénirai" (Yitro 20,21).[le Maharcha - guémara Béra'hot 21a]