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Comment appeler le Shabbath précédant Shavouot ?

+ Comment appeler le Shabbath précédant Shavouot ?

On sait que :
- le Shabbath précédant la fête de Péssa’h = ‘’Shabbath haGadol’’ (le grand Shabbath) ;
- le Shabbath précédant le jour de Kippour = ‘’Shabbath Téchouva’’ (le Shabbath du repentir).

Comment doit-on appeler le Shabbath qui précède la fête de Shavouot ?

==> Rabbi Ména’hem Mendel Mavarqui répond : le ‘’Shabbath Déré’h Erets’’ (le Shabbaht du savoir-vivre), car il est écrit : ‘’Déré’h Erets kadma la Torah’’ (le savoir-vivre précède/a préséance sur la Torah).

 

Source (b"h) : le ‘’Séoudat aMélé’h’’ du rav Moché Pell

Trop bien on va recevoir la Torah … (épisode n°2)

+ Trop bien on va recevoir la Torah dans quelques jours … (épisode n°2)

Nous allons rapporter (b"h) un texte du Rav David Pinkous, afin de voir qu'une vie sans Torah, c'est une vie sans véritable joie ...

Une des caractéristiques les plus marquantes du juif, à toutes les époques, était la sim’ha, la joie.
J’ai une fois entendu un spécialiste des langues, un non-juif, dire qu’aucune langue, au monde, ne possède autant de mots pour exprimer la joie que la langue sainte.
En anglais, il y a 2 ou 3 synonymes, et c’est tout !
En hébreu, il y a : sim’ha, guila, rina, ditsa, ‘hedva, sasson , …
Pourquoi ?

Chaque peuple enrichit son langage de ce qui est l’essentiel à sa vie.
Par exemple, dans la langue des Esquimaux, il y a 6 ou 7 synonymes pour décrire la neige.
En anglais, il n’y a que le mot : snow, et en hébreu : chélèg.
Par contre, ceux qui habitent près du pôle Nord possèdent une quantité de mots pour définir ses différents états : molle, dure, poudreuse, …

Dans le peuple juif, la joie a toujours occupé un point central, et c’est pourquoi il existe tant de mots, qui l’expriment.
Aujourd’hui, cela nous nous est un peu difficile à comprendre, car … nous vivons dans la tristesse.

En effet, toute notre existence nous semble balisée de problèmes, de soucis, de malheurs et de dépressions.
On essaie alors de créer un sentiment de joie factice en achetant une nouvelle voiture, une nouvelle maison, ...
On essaie de se divertir pour trouver la joie, mais dans le fond, c’est la tristesse qui habite notre cœur.
Aujourd’hui, on entend partout de bruyants éclats de rire ? Qu’est-ce que cela signifie ?

== au plus profond d’eux-mêmes, beaucoup de gens sont tristes, et c’est pourquoi ils s’efforcent de rire.
Ils recherchent sans cesse ce qui pourrait leur apporter de la joie, et ils ne le trouvent pas …

L'âme de l’homme, par sa nature, est assoiffée de quelque chose, et lorsqu’elle ne le trouve pas, elle reste affamée … et devient triste.
Nous devons donc vérifier, en nous-mêmes, si nous connaissons la vraie joie, si nous sommes heureux d’être juifs, de pouvoir accomplir les mitsvot, d’étudier la Torah : bref, être en relation directe avec le Maître du monde.

Selon le Rav Akiva Tatz = "La joie réelle, c’est ce qu’on éprouve quand on fait ce qu’on doit faire."
Ainsi, la joie est la réponse de la néchama (l’âme), lorsqu’on fait ce qui doit être fait.

Or, sachant que l’âme de tout juif n’aspire qu’à étudier la Torah, à accomplir les mitsvot, … => vivement le don de la Torah !!

Source (b"h) : le "néféch Chimchon" du Rav Chimchon David Pinkous

La valeur d’un homme provient du mauvais penchant qui réside en lui

+ La valeur d’un homme provient du mauvais penchant qui réside en lui :

-> Nombreux sont ceux qui se plaignent en arguant : "Comment peut-on exiger de moi de recevoir la Torah alors que le yétser ara qui réside en mon sein me guette sans arrêt et n’a de cesse que de me pousser vers les désirs les plus bassement matériels?"
La réponse se trouve dans la guémara (Shabbath 88b) qui suit : "Les anges célestes vinrent devant le Hachem et lui dirent : "Tu possèdes un trésor tellement cher et Tu veux le donner à des êtres de chair et de sang?
- Réponds-leur !, ordonna Hachem à Moché.
- La Torah que Tu me donnes, répondit Moché, qu’est-il écrit dedans? Ne tue point ; la jalousie se trouve-t-elle parmi vous, demanda-t-il alors aux anges, le yétser ara est-il en vous ?"

-> Le Maharal (Tiféret Israël - chap.25) apprend de cette guémara qu’un homme ne doit pas s’affliger du combat qu’il livre contre son yétser ara. Car, au contraire, ce fut précisément grâce à celui-ci que les Bné Israël méritèrent que Hachem leur fasse don de la Torah.
Hachem ne désirait justement donner la Torah qu’à des êtres de chair et de sang, dans lesquels le yétser ara brûle pour les tirer vers le bas et qui le surmontent au nom de leur amour pour Lui et s’élèvent ainsi tout en se rapprochant de Lui.

Il explique ainsi pourquoi on apporte deux pains à Shavouot qui sont 'Hametz, contrairement à toutes les autres Ména’hot (pains consacrés) qui était offertes Matsa [comme il est écrit : "Car tout levain, vous ne l’apporterez pas en offrande consumée en l’honneur d’Hachem" (Vaykra 2,11)].
Le 'hametz représente, en effet, le yétser ara [comme l’expression de la guémara (Béra'hot 17a) : "Le levain de la pâte"]. Et en ce jour (de Shavouot), on vient faire allusion au fait que toute l’importance de ce jour, qui célèbre le don de la Torah, tient seulement du mérite du yétser ara.

Allumer le feux = principale préparation pour recevoir la Torah

+ Allumer le feux = principale préparation pour recevoir la Torah :

-> "Parce qu'Il était descendu sur lui (le mont Sinaï) dans un feu" (Yitro 19,18).
Le rav Acher de Stolin explique : "Car Hachem ton D. est un feu dévorant" (Vaét'hanan 4,24) = cela vient suggérer le feu interne avec lequel les juifs servent Hachem.
Son fils, le Beit Aharon, en déduit que le verset signifie que Hachem descendit et se révéla ici-bas grâce au feu d'en bas ...., car l'homme atteint la perfection grâce au feu du désir qu'il éprouve pour la Torah et la prière.

De fait, on voit qu’il est fait référence au feu à de nombreuses occasions lorsqu’il est question du don des Tables de la loi.
Par exemple, il est écrit : "Et le mont Sinaï était couvert de fumée car Hachem y était descendu dans le feu", ou bien : "Et la montagne brûlait d'un feu jusqu'au coeur du ciel", et également, dans la prière de moussaf de Roch Hachana (dans la bénédiction des Shofarot) : "Tes Saintes paroles dans les flammes, le tonnerre et les éclairs, c'est par elles que Tu T'es dévoilé".
Tout cela afin de nous enseigner que tel est le chemin le plus direct pour se préparer à recevoir la Torah et à plus forte raison pour la recevoir réellement, nous devons développer en nous : le feu, l'entrain et la vitalité, "le tonnerre et les éclairs".
[notre avodat Hachem doit être plein de d'entrain, de feu (ex: joie, fierté de faire Sa volonté), de tout notre coeur. ]

La Torah nous ordonne par un commandement positif et par une défense de nous souvenir chaque
jour et à chaque instant de l'évènement du don de la Torah : "Garde-toi et veille à ton âme, de peur que tu n'oublies les choses que tes yeux ont vues ... et tu les enseigneras à tes fils et aux fils de tes fils, le jour où tu t'es tenu sur le 'Horev ... lorsque la montagne brûlait d'un feu jusqu'au coeur du ciel", ce que le Ramban commente ainsi : "Que tu n'oublies pas le rassemblement au mont Sinaï et toutes les choses que tes yeux y ont vues, les éclairs, les torches, Sa Gloire et Sa Grandeur, et les paroles que tu y as entendues au sein du feu."
Cela sous-entend que nous sommes tenus de nous souvenir du tonnerre et des éclairs et des torches de feu, eux-mêmes, par lesquels Hachem donna la Torah.

Ce thème est d'ailleurs évoqué dans les lois relatives à la bénédiction de la Torah, comme le stipule le Tour (Ora'h 'Haïm 47) : ''Béni sois-Tu Hachem, qui nous as choisis entre tous les peuples et nous as donné sa Torah, Béni sois- Tu, Hachem qui donnes la Torah''.
Le Tour commente : "on pensera, en prononçant cette bénédiction, au rassemblement au pied du mont Sinaï, à la manière dont Hachem nous a choisi parmi tous les peuples et nous a fait entendre Ses paroles au sein du feu et nous a donné Sa sainte Torah qui est toute notre vie, Son précieux joyau, avec lequel Il se délectait chaque jour."

Ce qui suggère également que l'obligation de se souvenir du don de la Torah sur le mont Sinaï inclut aussi le souvenir du grand feu qui brûlait à cet endroit, au point que chacun est tenu de penser et de réfléchir à ce feu chaque jour.
L'homme doit tout d'abord commencer à déraciner la routine de son coeur, et rallumer la flamme sacrée qui est en lui, lorsqu'il s'apprête à étudier la Torah et qu'il aborde les mitsvot, afin de les accomplir avec amour et joie.
C'est dans cette disposition, lorsqu'il brûle de tout son être, qu'il entreprendra son service Divin.

=> il nous incombe d'éveiller en nous ce désir ardent de nous rapprocher d'Hachem et de Sa Torah, d'être à l'image de nos pères qui crièrent : "Tout ce qu'Hachem a dit, nous le ferons et nous le comprendrons, nous voulons voir notre Roi!" (Yalkout Chimoni - Yitro 276).
Car c'est grâce à cette flamme sacrée qu'ils n'exigèrent pas de comprendre en premier lieu à quoi ils s'engageaient pour pouvoir décider, mais qu'ils s'engagèrent sans hésiter en disant ''nous le ferons'', et seulement après ''nous le comprendrons''.
Cet engagement spontané leur valut alors des louanges, comme la guémara (Shabbath 86a) l'enseigne : "Au moment où les Bné Israël firent précéder le ''nous le ferons'' sur le ''nous le comprendrons'', une voix Céleste retentit et dit : 'Qui a dévoilé à mes enfants ce secret dont se servent les anges?' ".

Trop bien on va recevoir la Torah … (épisode n°1)

+ Shavouot arrive, et on va recevoir la Torah.
Pourquoi devons-nous être fou de joie, fou d’impatience à l’idée de cela?

Nous allons essayer b"h de voir des citations sur l’importance de la Torah …
Aujourd’hui, épisode n°1!!

 

"Lorsque D. a donné Sa Torah à Israël, Il leur a dit :
"C’est Moi-même, si l’on peut dire, que vous acquérez!"
A plusieurs reprises, le Zohar revient sur cette idée, en affirmant l’identité de D. et de la Torah.
D’une manière encore plus explicite, le zohar nous enseigne que D. Lui-même est appelé Torah, et que la Torah n’est rien d’autre que Lui.

C’est que la racine supérieure de la Torah se trouve dans le plus élevé des mondes supérieurs, celui de ein sof (le sans fin)."

 

(Source : le Néféch ha'Haïm, 4e portique)

"Il n'y a pas d'autre bien que la Torah.
Si les hommes sentaient combien la Torah est douce et agréable, ils seraient follement épris d'elle ; tout l'or et l'argent du monde n'aurait aucune valeur à leurs yeux, car la Torah inclut tous les biens du monde."

[Rabbi 'Haïm ben Atar - Or ha'Haïm, Dévarim 26,1]

Les noms de la fête sont …

-> Ce yom tov a 5 noms différents (dont 3 donnés dans la Torah Ecrite) :

1°/ ‘Hag Shavouot – la fête de Shavouot (חג שבעות - comme il l’est écrit dans la Torah : Chémot 34 ;22 et Dévarim 16 ;10) ;

2°/ Yom haBikourim – la fête des prémices (יום הביכורים - on trouve cette appellation dans la Torah : Bamidbar 28 ;26) ;

3°/ ‘Hag haKatzir – la fête de la moisson (חג הקציר - comme il l’est écrit dans la Torah : Chémot 23 ;16) ;

4°/ Atsérét (on apprend ce nom dans la michna dans Roch Hachana 16a, et ainsi que dans la guémara Pessa’him 68b) ;

5°/ Zman matan Toraténou (comme on le dit dans le Kiddouch et dans la amida durant la fête).

Le Gaon de Vilna fait remarquer que le mot Shavouot (שבעת – comme il est écrit dans Chémot 34 ;22) est l’acronyme de 4 de ces appellations :
- ש = Shavouot (שבעות - ‘hag Shavouot) ;
- ב = bikourim (ביכורים - yom haBikourim) ;
- ע = atsérét (עצרת) ;
- ת = Torah (zman matan Toraténou).

Etudier et enseigner la Torah

+ Etudier et enseigner la Torah :

-> Dans la parachat Emor, les fêtes de Pessa'h et de Souccot sont énumérées par leur nom.
En revanche, Shavouot n'est mentionné que par allusion (Vous compterez 50 jours (à partir de Pessa'h), et vous apporterez une nouvelle offrande à Hachem" - Emor 23,16).

A Pessa'h et à Souccot, nous savons ce que nous célébrons. Cependant, la Torah ne nous dit même pas que nous célébrons quoi que ce soit à Shavouot.
Nous savons que ce jour est l'anniversaire du don de la Torah sur le mont Sinaï, et que c'est la raison de la célébration, mais ces faits ne sont pas mentionnés. Pourquoi cela?

-> Le Kli Yakar explique que la mention du don de la Torah conduirait à une erreur. Nous pourrions penser que nous nous réjouissons chaque année à Shavouot parce que la Torah a été donnée ce jour-là. En réalité, nous devrions nous réjouir de recevoir la Torah chaque jour de notre vie. Nous devrions toujours avoir l'impression de la recevoir pour la première fois.

-> Le rav Aryeh Finkel note qu'il ne s'agit pas simplement d'un sentiment que nous sommes censés développer. Il s'agit en fait d'une réalité spirituelle. Chaque jour, nous recevons littéralement la Torah à nouveau.
Le rav Finkel se base sur une idée du Taz (Ora'h 'Haïm 47:5). Dans les bénédictions du matin prononcées avant l'étude de la Torah, nous nous référons à Hachem au présent comme "Celui qui donne la Torah" (noten aTorah), au lieu de "Celui qui a donné la Torah".
Le Taz en déduit qu'Hachem donne constamment la Torah à Son peuple, au présent.

L'idée que la Torah est donnée en permanence trouve son expression dans la description par nos Sages de la célébration faite par Abouya en l'honneur de la brit mila de son fils Elicha (Tossafot - 'Haguiga 15a). De grands érudits de la Torah étaient présents à cette célébration. Naturellement, ils commencèrent à discuter de la Torah. Immédiatement, un feu enveloppa le bâtiment.
Abouya, alarmé, dit aux Sages : "Vous êtes en train de brûler ma maison!".
Les Sages expliquèrent : "Tout comme la Torah a été donnée à l'origine dans le feu, le même feu descend du ciel lorsque nous nous y engageons".

En effet, chaque fois que les juifs s'engagent dans l'étude de la Torah, un nouveau don de la Torah a lieu (même si nous ne sommes pas en mesure de ressentir le feu céleste qui l'accompagne).

-> De quelle manière recevons-nous la Torah à nouveau?
Après tout, les paroles mêmes de la Torah, et à notre époque, même le texte de la Torah Orale, sont enregistrées et accessibles à tous.
La réponse est que notre compréhension de la Torah, et en particulier les idées que nous produisons ('hidouchim), sont des exemples de notre don quotidien de la Torah de la part d'Hachem. En effet, le fait qu'Hachem donne personnellement sa Torah à ceux qui y travaillent constamment est l'un de ses grands actes de chessed envers son peuple.

Tout comme Hachem nous donne constamment de la Torah, nous devons également la donner aux autres. L'une des quarante-huit façons d'acquérir la Torah (énumérées dans Pirké Avot 6,6) consiste à "étudier pour enseigner".
Le rav Finkel cite le Maharal, qui note que cela doit être l'un de nos principaux objectifs d'étudier la Torah.
En effet, le mot même de "Torah" indique que son but est d'être enseigné aux autres. Le mot "Torah" est un dérivé du mot horaah, qui signifie "enseigner" ou "leçon".

Le Maharal écrit qu'il est si important de transmettre ce que l'on étudie qu'Hachem ne peut pas en faire don à un juif qui n'étudie la Torah que pour lui-même. Il est possible qu'une personne ne soit pas digne de comprendre la Torah par elle-même.
Cependant, si son objectif est d'enseigner aux autres, il peut l'être. Tout d'abord, elle réalise maintenant le but pour lequel la Torah a été apportée dans ce monde. Deuxièmement, ses élèves contribueront à faire pencher la balance en sa faveur, le rendant digne de comprendre par leur mérite.

Même la Torah de Moché Rabbénou ne lui a été donnée que pour qu'elle soit transmise au peuple juif. C'est ce que nous montre Rachi (Chémot 32,7). Rachi note qu'après la faute du Veau d'or, Hachem a averti Moché que la possession de la Torah par Moché ne servait à rien si la nation n'en était pas digne.
Cela ne signifie pas que chaque juif doive trouver une salle de classe pleine d'étudiants pour lui-même, sinon il n'aura pas le mérite d'enseigner aux autres. Un étudiant de yéchiva aidant son partenaire d'étude, partageant une idée d'étude avec son voisin avant la prière, ou un père enseignant à ses enfants la sidra hebdomadaire sont autant d'exemples de don de la Torah.
Nous devrions rechercher de telles opportunités. En effet, si nous sommes approchés par des personnes dont la compréhension est moins fine que la nôtre, nous ne devons pas considérer cela comme un fardeau, mais plutôt comme une occasion en or de poursuivre le don de la Torah qui a commencé au mont Sinaï.

-> Lorsque HaRav Nosson Tzvi Finkel donnait des cours (shiurim) à la Yeshiva Mir, il a informé ses étudiants qu'ils seraient tenus de préparer et de présenter régulièrement de brèves analyses de la matière (chaburos).
Les étudiants ont été déconcertés. "Que pouvons-nous préparer ? demandèrent-ils.
Rav Nosson Tzvi essaya d'aider chacun à trouver une idée appropriée à préparer. Il a insisté sur le fait que "présenter ses idées aux autres est la seule façon de progresser dans la Torah".
Il envoya également des étudiants plus âgés et plus expérimentés assister à ces 'habourot et les aider à se préparer. Certains d'entre eux s'y opposèrent. "N'avons-nous pas notre propre étude à faire?"
Le rav Finkel est resté sur ses positions. "Travailler avec ces jeunes étudiants est votre façon de réussir. Votre propre étude en dépend".
[d'après rabbi Moché Krieger]