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"Mes amis, mes frères, enfants chéris de D., comme il est convenable en ce jour élevé du don de notre sainte Torah (Shavouot), qui englobe tout et qui fut enfouie pendant des milliers d'années, de se réjouir plus que pour toute autre fête!

Il faut s'élever en ce saint jour, que ce soit pendant la prière ou pendant l'étude et en particulier pendant que l'on mange ou boit.
Il faut imprégner notre cœur d'une immense joie et être très reconnaissant envers le Créateur, qui nous a donné, à nous aussi, une part dans le peuple saint d'Israël.
Il nous a donné le mérite de le servir par l'étude de la sainte Torah et en gardant les saintes mitsvot."

[le Yessod véChorech haAvoda 9,10]

"Le Or ha'Haïm haKadoch enseigne que la fête de Shavouot tire son nom de la racine : Shévoua, signifiant : serment.
Au pluriel, cela donne : Shavouot.

En effet, il est question de 2 serments : le peuple juif jura devant Hachem qu'il le servirait de tout son cœur, de toute son âme et de toutes ses forces, et Hachem jura devant le peuple juif qu'Il ne les remplacerait pas par une autre nation, quoiqu'il arrive, ils resteraient Ses enfants."
[...]
De même qu'à un mariage, les 2 parties s'engagent à se dévouer l'un à l'autre, ainsi lors de Shavouot, les 2 parties portent serment.
[...]
Chaque année à Shavouot, on renouvelle le serment d'Israël envers Hachem, et celui de Hachem envers Israël."

[Nétivot Shalom]

+ Shavouot : le jour de notre mariage

-> "Au don de la Torah, les juifs sont devenus mariés avec Hachem"
[guémara Taanit 26b]

-> "Shavouot est considérée comme notre jour de mariage, durant lequel Hachem, le fiancé, prend le peuple juif comme Sa fiancée. [...]
Toutes nos fautes sont pardonnées à Shavouot, de la même façon que Hachem pardonne les fautes de chaque fiancé et fiancée le jour de leur mariage."
[Kédouchat Lévi]

-> Rabbénou Efraïm (Chémot 19,1) rapporte ainsi :
- les nuées de Gloire présentes sur le mont Sinaï étaient la 'houpa ;
- Moché et Aharon étaient les parents accompagnant la mariée (le peuple juif) vers le marié (Hachem) ;
- les lou'hot étaient la Kétouba ;
- le Ciel et la terre étaient les témoins du mariage ;
- de même que le 'hatan embellit la mariée par de magnifiques bijoux, de même Hachem a paré le peuple juif par des couronnes précieuses.

-> Selon le Radal (commentaire au Pirké déRabbi Eliézer 41), toutes les coutumes observées pour la cérémonie de mariage ont leur origine au don de la Torah.
Par exemple, la coutume de jongler avec du feu lors de la fête, provient des éclairs et des tonnerres qu'il y avait.

-> Rabbi Baroukh Cohen dit que le 2e commandement : "Tu n'auras pas d'autres dieux" symbolise la déclaration de D. à la communauté d'Israël : 'Je t'ai épousé et tu n'auras donc pas d'autres époux' (mékoudéchét).

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+ "Le mariage juif est à l'image du lien forgé entre D. et le peuple juif au mont Sinaï.
De même que les mariés restent ensemble au même endroit pendant un an, les juifs n'ont pas quitté le mont Sinaï pendant un an après le don de la Torah."
[Rabbénou Bé'hayé]

-> "Lorsqu'un homme prend une nouvelle épouse ... il doit rester disponible pour sa famille pendant un an et se réjouir avec son épouse" (Ki Tétsé 24,5)

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-> "Je suis Hachem votre D." (Yitro 20,2)

Le terme en hébreu pour "Je" est : ani, et en réalité "anokhi" est le mot égyptien pour "je".

=> Pourquoi est-ce que Hachem a commencé par un mot en égyptien?

Le midrach (Tan'houma Yachan - Yitro 16) rapporte l'idée que Hachem a souhaité débuter la lecture des 10 Commandement (la Kétouba) dans un langage que les juifs avaient l'habitude d'entendre (durant leur long séjour en Egypte), et ce en signe d'amour.

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-> "Les Tables [de la Loi] de pierres gravées par le doigt de D." (Ki Tissa 31,18)

Le Rokéa'h (Vaéra 8,15) note que de même qu'un doigt a 3 parties, de même la Torah est composée de 3 parties (Torah, Névi'im et Kétouvim).
[Hachem a écrit la kétouba (les lou'hot) avec Son "propre doigt"!]

"La joie est le récipient dans lequel on reçoit la Torah"

[Rabbi Na'hman de Breslev - Likouté Halakhot - Birkat Haréa'h 3,2]

"Un homme heureux est un homme complet, ceci lui permet de recevoir la Torah, qui est le perfectionnement de l'homme"

[le Maharal de Prague]

"Toutes les fêtes sont incluses dans Shavouot.
Etant le jour où la Torah a été donnée, elle contient l'essence de tous les jours de l'histoire juive et de tous ses événements."

[Kédouchat Lévi]

Shavouot : le dernier jour de la fête de Pessa’h?

+ Shavouot : le dernier jour de la fête de Pessa'h?

-> Pour Pessa'h : "Pendant 6 jours, tu mangeras des matsot et le 7e, il y aura "atsérét" (une fête de clôture) pour Hachem" (Réé 16,8)

-> Pour Souccot : "Le 8e jour sera "atsérét" (une fête de clôture) pour vous" (Pin'has 29,35)

-> Nos Sages appellent Shavouot : "Atsérét" (ex: michna dans Roch Hachana 16a ; guémara Pessa’him 68b)

=> Il y a un lien entre ces 3 fêtes et le nom : Atsérét.

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-> Le midrach (Pessikta déRav Kahane 30,64) dit :
"Pourquoi est-ce que Shavouot a lieu 50 jours après Pessa'h, alors que Chémini Atsérét tombe le 8e jour de Souccot?

Puisque la saison des pluies démarre juste après Souccot, si Chémini Atsérét avait lieu 50 jours après Souccot, il aurait alors été très difficile de revenir à Jérusalem.
C'est pour cette raison que Chémini Atsérét est le 8e jour de Souccot. "

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-> Le Ramban (Vayikra 23) enseigne que les jours du Omer sont : "comme des jours de 'hol hamoéd entre Pessa'h et Shavouot".

=> Ainsi, de même qu'il y a des jours de 'hol hamoéd entre le 1er jour de Souccot et Chémini Atsérét, de même, il y a le Omer qui sépare Pessa'h de Shavouot, et qui est "comme" du 'hol hamoéd.

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-> Rabbi Yéhochoua Ibn Shuiv (1280-1340) fait remarquer que le 7e jour de Pessa'h, nous n'offrons pas un sacrifice spécifique, ni nous ne récitons le Hallel.
Bien que ce soit un jour de Yom Tov, c'est comme si sa célébration était réduite.
Pourquoi cela?

Il répond que c'est parce que Shavouot est : "l'essentiel de la sainteté de la fin de Pessa'h. "
La véritable fin de Pessa'h est Shavouot, et c'est pour cela que nous y fêtons alors un jour de Yom Tov complet, avec un Hallel en entier et des sacrifices propres à ce jour.

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-> Selon le Séfer ha'Hinoukh (mitsva 306), le message de la période du Omer est de nous montrer le lien entre Pessa'h et Shavouot.
Le fait de compter montre qu'il y a un point de départ et un point d'arrivée, que tout l'objectif de la sortie d'Egypte était de recevoir la Torah au mont Sinaï.

Atsérét signifie "clôture" (la fin).
Shavouot étant l'aboutissement du processus qui a débuté à Pessa'h : c'est l'atsérét de Pessa'h.

Le Ramban (introduction Séfer Chémot) dit que bien que l'on ait été libéré de Pharaon, la délivrance d'Egypte n'a été complète qu'à notre arrivée au mont Sinaï et lorsque que nous avons eu le Michkan, la présence divine résidant avec nous.

Ainsi, Shavouot est l'objectif ultime, la clôture de ce qui a commencé à Pessa'h.

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+ Atsérét dans la Torah :

Si Shavouot est véritablement l'Atsérét (la clôture) de Pessa'h, pourquoi la Torah ne fait pas mention de cette appellation (c'est uniquement nos Sages qui l'ont fait)?

-> La Torah Témima (Dévarim 16,49) répond : "afin de différencier le 7e jour de Pessa'h et Shavouot qui sont dénommés tous les 2 : Atsérét. "

-> Le Sforno (Vayikra 23,39) rappelle que "Atsérét" signifie : "se réunir" et aussi "s'arrêter'".

Le 7e jour de Pessa'h, les juifs se sont réunis et se sont arrêtés pour chanter la Chira à la mer Rouge, et c'est pour cela que la Torah appelle ce jour : Atsérét.

A Shavouot, les juifs se sont réunis et arrêtés pour recevoir la Torah, et nos Sages l'ont également appelé : Atsérét.
Cependant, la Torah ne l'a pas fait car juste après le don de la Torah, les juifs ont fauté avec le Veau d'or, "abîmant" un peu la superbe de l'Atsérét (moment du don de la Torah).

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-> Selon Rabbi Its'hak de Berditchev, l'une des raisons de ce nom est que la Torah donnée à Shavouot, est un outil pour "arrêter" (atsérét) le yétser ara.

Chaque Shavouot, nous recevons à nouveau la Torah

+ A chaque Shavouot, nous recevons à nouveau la Torah :

-> "Chaque Shavouot … nous atteignons, spirituellement parlant, le même niveau de sainteté que nos ancêtres au mont Sinaï.
C'est à nouveau, réellement, "le moment du don de notre Torah", et nous sommes invités à l'accepter à nouveau, comme nos ancêtres le firent il y a 3 300 ans [le 6 Sivan 2448]. "
[Rabbi Eliyahou Dessler]

-> "Il est écrit dans les livres saints que, de même que la Torah est éternelle, la possibilité de recevoir la Torah est aussi éternelle.
Chaque année, à Shavouot, notre aptitude à recevoir la Torah est renouvelée ... il ne s'agit pas d'une fête nous rappelant simplement que D. nous a donné la Torah par le passé, mais qu’au contraire, chaque année à Shavouot, c'est à nouveau le moment du don de la Torah."
[Rabbi Shalom Brézovsky - Nétivot Chalom - Moadim]

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-> "Le don de la Torah au mont Sinaï est éternel et continu ... il ne fut pas un événement unique : au contraire, il nous influence de manière quotidienne.

Le Néfech ha'Haïm l'explique de la manière suivante : "Lorsqu'une personne s'implique et s'attache à la Torah comme il se doit, la joie est aussi grande qu'au mont Sinaï."
Nous trouvons aussi cette idée dans le Zohar : "Celui qui s'investit dans la Torah est considéré comme s'il recevait la Torah sur le mont Sinaï tous les jours".
[...]
Les mots de la Torah doivent nous paraître nouveaux comme s'ils nous avaient été donnés aujourd'hui.
Dans la pratique, à chaque fois que l’homme étudie la Torah de manière appropriée, il reçoit une inspiration de D. semblable à celle qui animait nos ancêtres au mont Sinaï. "

[Rabbi 'Haïm Friedlander - Sifté 'Haïm (vol.3)]

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-> "Hachem dit : Mes enfants, lisez cette paracha [des 10 Commandements] chaque année, et Moi, je considérerais comme si vous vous teniez devant Moi au mont Sinaï et que vous receviez la Torah."
[midrach Yalkout Chimoni Yitro 271]

->"Pendant la lecture de la Torah, on fera attention en écoutant les 10 Commandements de la bouche de l'officiant et l'on essayera de s'imaginer comme si on se tenait au pied du mont Sinaï et que l'on entendait les commandements de la bouche de Hachem, et de son fidèle serviteur, Moché."
[Yessod véChorech haAvoda 9,10]

"L'objectif de la Torah est double : parfaire l'esprit et le corps.
Parfaire l’esprit signifie que la personne doit chercher à atteindre une perception du monde aussi juste que possible …
Parfaire le corps veut dire améliorer ses relations avec les autres êtres humains."

[Rambam - Le guide des égarés]

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-> "Dans le monde du matérialisme, rien n'est vraiment nouveau. Satisfaire ses désirs physiques revient en fait à satisfaire quelqu'un d'autre.
Le plaisir diminue rapidement et la poursuite de la "nouveauté" reprend le dessus, mais le résultat est toujours le même. L’excès de plaisir matériel provoque finalement le dégoût et réduit complètement la jouissance.

A l'inverse, un accomplissement d'ordre spirituel ne perd jamais de son intensité.
La douceur ressentie dans l'étude de la Torah et le service de D. est constante.
Ceci est la preuve la plus convaincante de la vérité de notre héritage spirituel."

[Rabbi Eliyahou Dessler]

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-> "[Les mitsvot] sont là pour nous aider à vaincre notre mauvais penchant et corriger nos traits de caractère.
La majorité des lois de la Torah sont des instructions du Grand Conseiller (Hachem), destinées à nous aider à améliorer notre caractère et retourner dans le droit chemin."
[Rambam - Michné Torah - fin de Hilkhot Témoura]

-> "Quelle différence pour D. si nous abattons un animal en lui tranchant la tête par la gorge ou par la nuque ?

[La réponse est :] "Les commandements ont été transmis à l'homme dans le but unique d'améliorer l'humanité."
[midrach Béréchit rabba 44,1]

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-> "Moché prouva aux anges que … la Torah a été créée principalement pour être donnée aux êtres humains qui peuplent la terre. Car ce sont les [actions physiques des] mitsvot qui augmentent l’honneur de D. et d’elles est bâti Son trône de gloire …

Ceci constitue la grandeur de l’homme : Il peut transformer son corps, qui est par nature éloigné de la lumière de la "face" de D., en un réceptacle à travers lequel la lumière de D. brillera lorsqu'il l’utilise pour accomplir Sa volonté en observant la Torah et les mitsvot …"

[Rabbi 'Haim Friedlander - Sifté 'Haïm ]

-> Lorsque Moché est monté au Ciel pour recevoir la Torah, les anges dirent à Hachem : "Ce précieux trésor caché, que Tu as dissimulé pendant 974 générations, Tu souhaites le donner aux êtres humains ?
Qu’est donc l’homme pour que Tu penses à lui ? "
[guémara Shabbath 88b]

Moché leur expliqua alors que les mitsvot ne peuvent être accomplies que par les hommes sur terre.

Atséret de Shavouot et Souccot

+++ Atséret de Shavouot et Souccot :

+ Pour les fêtes auxquelles aucune mitzva spécifique n'est associée, la lumière Divine qui brille lors de ces fêtes peut être canalisée dans ce qu'une personne désire :

Shavouot et le 8e jour de Souccot sont tous deux appelés "Atséret".
Il existe deux types de lumière que Hachem fait briller sur le peuple juif. La première provient des mitsvot et des lois ('houkotav) que le peuple juif accomplit.
La deuxième sorte de lumière ne provient pas de l'observation d'une mitsva mais de l'abondante sainteté inhérente aux fêtes elles-mêmes.
Nous allons maintenant expliquer la différence.

L'illumination qui provient de l'observation des mitsvot est limitée et confinée par les commandements, qui sont eux-mêmes circonscrits, [ limités par l'espace et le temps ; les objets avec lesquels les mitsvot sont accomplies doivent être de dimensions données, les mitsvot ne doivent être réalisées qu'à des moments donnés, et ainsi de suite. ]

L'illumination émanant de l'abondante sainteté des fêtes n'est cependant pas confinée ou restreinte.
À Souccot et à Pessa'h, nous limitons l'illumination illimitée afin de pouvoir la recevoir correctement en observant les mitsvot associées à ces fêtes. À Souccot, nous observons la mitsva de la soucca et du loulav, et à Pessa'h, nous observons la mitsva de manger de la matsa et les autres mitsvot associées à ces jours, comme on le sait.

Les fêtes de Shavouot et de Shémini Atséret, en revanche, ne font l'objet d'aucune mitsva particulière. Par conséquent, la lumière de ces jours reste éloignée et non condensée.
Par conséquent, nous devons contenir et condenser cette illumination afin que les mondes inférieurs puissent la recevoir. Car sans une certaine constriction de cette illumination, le monde ne peut pas l'absorber.
Chaque individu doit canaliser cette lumière vers ce dont il a besoin, qu'il s'agisse de l'intellect, des enfants, de la santé, des moyens de subsistance, ... en fonction de ce dont chacun a besoin, il doit condenser l'illumination.

Compte tenu de cette explication, ces 2 fêtes : le 8e jour de Souccot et de Shavouot, sont appelées Atséret, car le mot Atséret fait allusion à cette condensation, car sa forme verbale ("vatéatsar" Bamidbar 17,13&15) connote la "constriction".
En d'autres termes, il nous est demandé de condenser l'illumination qui brille pendant ces jours. Lors de ces fêtes particulières, Shavouot et Shémini Atséret, une personne doit canaliser cette illumination afin que les mondes inférieurs puissent accepter la bonté généreuse de D.
En effet, si cette générosité n'est pas contractée, elle ne peut pénétrer dans notre monde inférieur.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Shavouot ]

Pourquoi lire Ruth à Shavouot?

-> "Pourquoi lit-on le livre de Ruth à Shavouot?
C'est parce que ce livre est fondé tout entier sur la générosité, et que la Torah, qui a été donné à Shavouot, est pure générosité elle aussi, comme il est dit :"une Torah de bonté sur sa langue" (Michlé 31,26)."
[midrach Léka'h Tov]

-> "Rabbi Zeïra demande : Pourquoi le livre de Ruth, qui ne contient ni règles de pureté, ni règles d'impureté, ni commandements positifs ou négatifs, a-t-il été écrit?
Pour t'apprendre le salaire important qui attend ceux qui pratiquent la bonté!"
[midrach Ruth rabba 2,15]

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-> "Rabbi Chmalaï explique : La Torah débute par un acte de bienfaisance, comme il est écrit : "D. fit pour l’homme et pour sa femme des tuniques de peau et les en vêtit" (Béréchit 3,21), et se termine également par un acte de bienveillance, comme il est écrit : "Il [selon Rachi : D. Lui-même] l’enterra (Moché) dans la vallée." (Dévarim 24,6)"
[guémara Sota 14a]

-> Le rav Wolbe de dire :
"La Torah aurait très bien pu débuter par l’énoncé de ses premiers commandements.

Si la Torah débute et se termine par la narration d’un acte de bonté, c’est que la bonté est son essence même."

=> Nous lisons la méguilat Ruth qui est remplie d'actes de bonté du début à la fin, le jour du don de la Torah, qui commence et se termine elle-même par un acte de bonté.