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Le génie d'Avraham était de montrer aux gens à quel point ils sont déjà extraordinaires.
Par le fait de regarder l'étincelle de beauté et de bonté des individus, il leur montrait que le fait d'agir négativement n'est pas en adéquation avec leur véritable être [intérieur], et il les encourageait à revenir à leur essence pure.
[Chem miChmouël]

Chaque juif, même s'il a beaucoup fauté et commis des péchés importants, doit avoir confiance que la parcelle Divine essentielle qui se trouve dans chaque juif reste encore en lui intacte et n'a pas disparu du fait de ses péchés.
Et même un tel homme doit dire chaque matin : "L'âme que Tu as placée en moi est pure" (néchama chénatata li téora).
Et quand il se repentira, il pourra la révéler.
[Sfat Emet]

Téchouva – quelques enseignements du rav Mendel de Rimanov

+ Téchouva - quelques enseignements du rav Mendel de Rimanov :

-> Nos Sages (Zohar - Vayikra 21a) disent que Hachem aussi fait téchouva, citant comme preuve : "Hachem reviendra" (chav Hachem - Nitsavim 30,3).
=> Qu'est-ce que cela signifie? Comment Hachem peut-Il faire téchouva puisqu'Il ne faute pas?

Nos Sages (guémara Soucca 52b) enseignent que Hachem regrette d'avoir créé le mauvais penchant.
C'est cela la téchouva d'Hachem. Mais cela reste étonnant : Hachem connaissant le futur, pourquoi a-t-Il fait quelque chose qu'Il regrettera par la suite?

La réponse est qu'il nous est très difficile de faire téchouva.
Puisque dans Sa bonté et miséricorde, Hachem a souhaité que même les réchaïm puissent faire téchouva et revenir vers Lui, alors pour nous faciliter la tâche, Il a été le premier [avant tout le monde] à faire téchouva et à regretter [et par cela : créant essentiellement l'idée de téchouva].
Puisque Hachem a fait téchouva le premier, et lui a donné son existence, faisant qu'actuellement cela nous est plus facile de le faire.
[rav Mendel de Rimanov - Kountras Ména'hem Tsion - Vayélé'h]

[éventuellement on peut ajouter que dans Sa bonté, par cela, Hachem nous enlève toute notion de gêne, d'honte, car si même D. a dû faire téchouva, alors nous qui sommes humains ... ]

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-> Le rav Mendel de Rimanov explique que sans le regret le monde ne peut pas exister, et c'est pourquoi [avant même la création du monde,] Hachem a fait de la place pour la téchouva, afin que le monde puisse être rectifié par le repentir ... Hachem a préparé un chemin pour le regret et le repentir dans les Cieux afin de contrer le mauvais penchant.
[rapporté dans le Emet léYaakov - Likoutim]

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Dans le Imré Yossef, on trouve l'enseignement suivant du rav Mendel de Rimanov :
Si rien ne peut tenir sur le chemin de la téchouva, comment se peut-il que si 2 témoins attestent devant le Sanhédrin que quelqu'un a commis un meurtre, il peut être coupable et mis à mort? Pourquoi ne pas considérer la possibilité qu'il a fait téchouva?

Selon la loi, leur témoignage est accepté dans le cas où ils ont averti le meurtrier de la peine encourue pour son crime, son mépris pour leur avertissement prouvant qu'il est coupable et qu'il manque de remords.
Cependant, je dis que nous devons considérer la possibilité qu'il pourrait encore regretter ses actions et se repentir.
C'est pour cela que les témoins subissent 7 formes d'interrogatoire, pour corroborer leur témoignage.
Pendant ce temps, les juges assis au Sanhédrin font de leur mieux pour infuser en l'accusé des sentiments de remords afin qu'il en vienne à faire téchouva.
Sa téchouva va faire que les témoins seront troublés et ils vont échouer à corroborer leur témoignage, et il sera libéré.

C'était le travail des tsadikim qui s'asseyaient au Sanhédrin : de faire en sorte que l'accusé fasse téchouva, afin qu'il soit sauvé.
C'est la signification de la déclaration de rabbi Tarfon et de rabbi Akiva, que s'ils avaient servi au Sanhédrin, personne n'aurait jamais été condamné à la peine de mort. [guémara Makot 7a]
En effet, puisqu'ils étaient de grands tsadikim, ils avaient la capacité de rectifier l'âme juive et de l'entraîner à faire téchouva. Ils auraient réussi à ramener au repentir tout accusé de meurtre, se tenant en jugement [au Sanhédrin]. Cela aurait entraîné les témoins à être troublés, et l'accusé à partir libre.

[on voit de là à quel point la téchouva est toujours possible et désirée par Hachem. Si cela est vrai pour un grand fauteur (meurtrier), à combien plus forte raison pour nous tous!
Un juif doit toujours garder espoir dans l'incroyable pouvoir de la téchouva, véritable potion magique du peuple juif!
(selon le Rambam, par quelques mots de téchouva on passe de sale et répugnant, au statut de propre, proche et aimé de D.)]

+ "Heureux l’homme qui met sa force en toi, dont le cœur connaît les vraies routes" (achré adam oz lo ba'h, messilot bil'vavam - Téhilim 84,6)

Selon le 'Hozé de Lublin, le roi David veut dire que lorsqu'un tsadik s'assoit et étudie la Torah lichma (sincèrement pour l'honneur d'Hachem), alors il pousse les autres [juifs] à avoir des pensées de téchouva.
Par ses études, il injecte dans le cœur [de chaque juif] le désire et la motivation de faire téchouva.
[...]

Le Yichma'h Moché enseigne que lorsque le roi David chante des louanges de remerciement à Hachem (Téhilim 111,1 : "Halélou-ya, Je louerai Hachem de tout mon cœur!), il exprime le fait que lorsque nous louons et remercions Hachem, nous entraînons un éveil de téchouva dans le cœur des autres [juifs].
[Ilana dé'Hayi - Emor]

Faire téchouva est toujours possible!

+ Nos maîtres ont enseigné : A'her [Elicha ben Abouya] allait, monté sur un cheval, un jour de Shabbath et rabbi Méïr le suivant pour apprendre de sa bouche des enseignements de Torah.
A'her lui dit "Méïr, fais demi-tour, car j'ai compté les pas de mon cheval et j'ai atteint la limite shabbatique (le te'houm)."
Rabbi Méïr lui dit : "Toi aussi, reviens avec moi!
A'her répondit : "Ne t'ai-je pas dit que j'ai entendu de derrière le rideau : "Revenez enfants rebelles, sauf A'her" (cf. Yirmiyahou 3,14).
[guémara 'Haguiga 15a]

=> Comment cela est-il possible alors qu'on nous enseigne que rien ne peut tenir sur la voie de la téchouva (cf. guémara Yérouchalmi Péa 1,5), et que même quelqu'un de racha comme le roi Ménaché, qui par son comportement a énormément mis en colère Hachem, a été pardonné lorsqu'il a fait téchouva (cf. Méla'him II 21,1-18 ; Divré haYamm II 33,1-9).

-> Rabbi Avraham Yéhochoua Hechel d’Apta (le Ohév Israël) explique :
Il me semble que si A'her avait fait téchouva, Hachem aurait également accepté son repentir.
Hachem a de la compassion pour toutes Ses créatures, même envers les fauteurs, et personne n'est abandonnée.
Hachem envoie [à ceux qui ont fauté] des sentiments de remord et des pensées de téchouva par la voix divine qui résonne chaque jour, leur demandant de se repentir et de revenir.
[cf. les enseignements du Baal Chem Tov : https://todahm.com/2021/09/11/quelques-enseignements-du-baal-chem-tov-lies-a-la-techouva ]
Cela éveille à se repentir sincèrement et totalement. Ensuite, Hachem ouvre les portes de la téchouva et implore chaque personne à faire téchouva et à revenir [vers Lui].

Cependant, pour un grand fauteur, Hachem ne s'abaisse pas ainsi.
Le fauteur doit d'abord s'éveiller lui-même à la téchouva et prendre à cœur qu'il doit revenir sans un éveil d'en-Haut.
Il doit de sa propre volonté se confesser devant Hachem de tout cœur, et répandre sa souffrance/angoisse [d'en être arrivé à agir aussi fautivement devant D.], il doit supplier de bénéficier d'une aide Divine pour parvenir à une téchouva complète.
Alors assurément sa téchouva sera acceptée, tant qu'il laisse derrière ses mauvais comportements.
[Ohev Israël - Yémé haRatson véhaTéchouva]

[nos Sages enseignement par exemple que Hachem en est arrivé à durcir le cœur de Pharaon. Certes, il s'était tellement révolté contre Hachem qu'il ne pouvait plus faire une téchouva complète, mais s'il s'était abaissé en suppliant Hachem de l'aider à lui pardonner, alors il serait parvenu à faire téchouva.
Ainsi, même le pire des fauteurs, doit s'humilier devant Hachem en regrettant de mal agir, en admettant être prisonnier de mauvaises actions. Hachem n'abandonne personne, et lorsqu'un tel fauteur s'abaisse devant Sa grandeur, alors Hachem l'élève et le rapproche de Lui.
=> Personne ne doit désespérer d'être une trop mauvaise personne, dont la téchouva lui est hors de portée.
La réalité est que Hachem nous aimera toujours, nous observe et prend soin de nous en permanence.]

-> Pharaon : exemple du fait qu'il est toujours possible de faire téchouva, b'h voir également le point 3°/ : https://todahm.com/2021/12/21/la-techouva-quelques-beaux-enseignements

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-> Le Maharcha affirme aussi que si A'her s'était repenti, on l'aurait accepté car "rien ne résiste au repentir".

-> Cela est aussi suggéré dans la guémara (Pessa'him 86a) qui enseigne : "Tout ce que le maître de maison t'ordonne, fais-le, sauf de sortir", et fait allusion également au Maître du monde qu'il nous incombe d'écouter, sauf au moment où Il repousse l'homme repentant et lui dit : "Sors de ma proximité!"
Car c'est en réalité le désir profond du Maître du monde et Il n'agit de la sorte que pour t'induire en erreur (Réchit 'Hokhma - Chaar haKédoucha 21).

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-> A'her [Elicha ben Abouya] rapporte qu'il a entendu un voix Divine lui proclamant : "Revenez enfants rebelles, sauf A'her" (guémara 'Haguiga 15a).

Le 'Hozé de Lublin (rapporté dans le Agra déPirka) explique que si ensuite Elicha aurait répondu à la voix Divine : "Tant mieux! Maintenant Hachem je peux véritablement Te servir avec sincérité, sans aucune pensée liée à une récompense et sans aucun motif ultérieur mis à part celui de Te donner de la satisfaction car je réalise Ta volonté", alors il aurait atteint une expiation totale. Il aurait été totalement pardonné et serait parvenu à un niveau spirituel élevé.

-> Le 'Hozé de Lublin (rapporté dans le Tiféret Israël) explique que la faute du Veau d'or n'est pas d'avoir fait un Veau, et de s'y être prosterné, mais l'essentiel de cette faute est d'avoir "prit le deuil" (Ki Tissa 33,4). Les juifs sont devenues tristes et sont tombés en déprime d'avoir fautés.
Ils n'ont pas réalisé qu'ils auraient dû saisir l'opportunité et se repentir avec de la joie dans leur cœur.

[parfois Hachem peut nous faciliter le fait de fauter, car ce qui l'intéresse c'est de voir notre réaction après notre chute.
Est-ce qu'on va rester dans la boue et désespérer, ou bien est-ce qu'on va garder espoir, confiance, dans le pouvoir de la téchouva et alors être dans la joie de pouvoir tout effacer, d'avoir un papa Hachem aussi miséricordieux en nous accordant l'incroyable mitsva de se repentir!
La capacité de destruction de nos fautes, est largement surpassé par la puissance de la téchouva!
Si tu crois que tu peux détruire, alors combien davantage tu dois croire que tu peux réparer et aller de l'avant encore plus fort! Chez un juif, l'espoir doit toujours surpasser le désespoir!]

-> b'h, également sur la guémara ci-dessus : https://todahm.com/2018/10/10/7280-2

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-> "Ramène-nous vers toi, ô Hachem, nous voulons te revenir ; renouvelle pour nous les jours d'autrefois" (Eikha 5,21)

Rabbi Avraham Yéhochoua Hechel d’Apta (Yalkout Ohev Israël) enseigne :
Dans ce verset, le mot "autrefois" s'écrit : "kedem" (קֶדֶם), qui peut se voir comme l'acrostiche de 3 personnalités du Tana'h : Kayin, David et Ménaché.
Chacune de ces personnalités est un symbole de la téchouva pour les 3 fautes cardinales :
- le meurtre = Kayin a été le premier meurtrier de l'histoire. Il a regretté d'avoir versé le sang de son frère, et il a fait téchouva.
- l'immoralité = David a fait téchouva de sa relation avec Batchéva.
- l'idolâtrie = Ménaché, roi de Yéhouda, a fait téchouva pour ses actions d'idolâtrie.

De ces exemples, nous voyons que même quelqu'un qui a fauté contre Hachem à un tel point (faire les 3 fautes cardinales juives), il ne doit pas désespérer.
Il doit faire téchouva, et alors ses jours seront "renouvelés comme autrefois", c'est-à-dire à l'image de "kédem" = Kayin, David et Ménaché [dont leur téchouva a été acceptée, et cela est valable pour tout juif!].

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-> Nos Sages (michna Négaïm 2,5) nous enseignent qu'une personne a des difficultés à voir ses propres fautes et défauts.
Rabbi Avraham Yéhochoua Hechel d’Apta (Ohev Israël - Likoutim 'Hadachim) dit qu'ainsi il faut prêter attention aux mauvaises actions d'autrui, et se demander : "Pourquoi Hachem a orchestré les événements pour que je sois témoin de cela? Ce doit être parce que Hachem veut que je le vois afin de réaliser que j'ai les mêmes imperfections/défauts, mais je suis aveuglé par mon yétser ara pour en avoir conscience".

[ainsi, plutôt que de s'élever à nos yeux en mettant en avant les imperfections d'autrui, nous devons les prendre et observer si nous ne pouvons pas s'améliorer dans ces domaines.
On ne doit pas se sentir meilleur en rebaissant autrui, mais plutôt en profitant d'eux pour devenir soi-même une meilleure personne.]

Nous pouvons alors retourner vers Hachem en faisant téchouva sur ces mauvaises actions, et Hachem aura de la miséricorde pour nous.

Téchouva – quelques enseignements du Baal haTanya

+ Téchouva - quelques enseignements du Baal haTanya :

-> Pour comprendre pourquoi la puissance de la téchouva est tellement importante, nous devons comprendre que la téchouva est une transformation et sa puissance réside dans la grande nouveauté qui résulte de cette transformation ...
Le cœur endurci de quelqu'un est appelé : un "cœur de pierre".
Lorsqu'il transforme sa volonté et se change pour servir Hachem, son cœur brille ... et cela est très précieux aux yeux d'Hachem.

Lorsque [nous faisons téchouva] nos cœurs de pierre brillent, ils s'appellent alors : des pierres précieuses, et ils sont utilisés en tant que "bijoux" qui ornent la Présence Divine, qui est comme une mariée ...
Lorsque la mariée est parée de toutes ses pierres précieuses, alors elle est agréable et belle à son mari (c'est-à-dire l'aspect masculin de la Divinité).
[...]

La forme principale de la téchouva est de confesser verbalement la faute que nous avons transgressée, la décrivant en détail.
Pourquoi faisons-nous cela?

Lorsque que nous fautons, nous créons un adversaire (un ange accusateur) qui est appelé par le même nom que la faute que nous avons commise.
Par exemple, si quelqu'un mange du porc, l'accusateur est nommé : "Tu as mangé du porc".
L'ange accusateur tire sa force vitale des lettres mêmes qui épellent son nom (épelant la faute qui a été commise).
C'est de cette façon que le premier homme, Adam, a nommé les animaux : lorsqu'il les a regardés, il a discerné les lettres qui leur ont donné vie. Par exemple, lorsqu'il a vu un cheval, il a remarqué les lettres : samékh - vav - samékh, lui ont donné la vie, et il l'a donc appelé : "souss" (סוּס).

C'est pourquoi lorsqu'une personne confesse et regrette ses actions, disant : "je n'ai plus envie de refaire cette faute", il retire la force vitale de l'ange accusateur qu'il a créé par cette faute, le tuant efficacement, car il a retiré les lettres qui forment le nom qui lui ont donné vie.
[Baal haTanya - Maamaré Admour haZaken haKétzarim]

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-> Lorsque nous faisons téchouva, Hachem, dans Sa grande miséricorde, nous pardonne immédiatement.
Ce fait est clairement exprimé dans la bénédiction du pardon que nous disons lorsque nous prions la Amida.
D'abord, nous demandons à Hachem de pardonner nos fautes, et immédiatement après nous prononçons : "Béni soi-Tu hachem, le Miséricordieux, qui pardonne abondamment" (bar'ouh ata Hachem 'hanoun hamarbé lisloa'h).
[Tanya - Iguéret haTéchouva]

Quelqu'un qui s'est souillé spirituellement par des fautes et des mauvaises actions, même les pires, peut toujours se nettoyer et se purifier.
Personne ne doit jamais désespérer ou se décourager en pensant qu'il n'y a plus d'espoir ou de possibilité de faire téchouva …

L'intensité avec laquelle une faute a été commise doit [au moins] correspondre à l'intensité de la téchouva.
[rabbi Moché Feinstein - Darach Moché - Mattot 31,21]

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[notre yétser ara nous pousse à fauter, et ensuite il nous décourage de faire téchouva en nous racontant que nous sommes allés trop loin dans la faute, au point que notre téchouva n'aura pas suffisamment de valeur pour réparer cela.
Comme nous venons de le voir, cela est totalement faux quelques soient les fautes que nous avons pu faire.]

Même quand un homme a beaucoup fauté, tant qu'il continue à prier à Hachem et Le supplier de sauver son âme, alors il y a bon espoir qu'Hachem le guérisse des blessures causées par ses fautes.
Le verset dit bien : "La voix est la voix de Yaakov et les mains sont les mains d'Essav" (Toldot 27,22).
Même si ses mains ont commises de lourds péchés, si sa voix supplie Hachem, il peut espérer être sauvé.
[Méïr énei 'Hakhamim]

Dans les Séli'hot, nous disons : "Pardonne nos fautes car elles sont si nombreuses".
Est-ce que c'est avec cela qu'on va convaincre Hachem de nous pardonner?

Dans les urgences d'un hôpital, les médecins sont occupés à prendre en charge des patients avec tout type de blessures.
Lorsqu'un patient inconscient avec sa vie qui ne tient qu'à un fil arrive aux urgences, tous les docteurs et les infirmières quittent les autres patients et courent lui sauver sa vie.
De même, nous demandons à Hachem de nous guérir car nous sommes si gravement blessés par nos fautes et nos erreurs ...
[rabbi Shlomo Carlebach]

Toute tristesse vient du fait de fauter ...
La téchouva illumine l'âme d'une personne et transforme la tristesse en joie.
Les tsadikim travaille à parvenir à une téchouva pour l'esprit pécheur collectif de l'humanité afin de transformer l'esprit global de tristesse en celui de joie.
[rav Avraham Its'hak Kook - Orot haTéchouva 14,7]

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-> L'objectif principal de la téchouva doit être de rectifier le présent et le futur.
Lorsque cela est accompli, Hachem aide à rectifier également le passé.
[rav Avraham Its'hak Kook - Orot haTéchouva 13,9b]