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Mitsvot – L’incroyable impact de tout juif au Ciel

+++ Mitsvot - L'incroyable impact de tout juif au Ciel :

"Il rêva, et voici qu'une échelle était dressée sur le sol, et son sommet atteignait le ciel ; et voici que des anges de D. montaient et descendaient sur cette échelle" (Vayétsé 28,12)

-> Le midrach (Béréchit rabba 68,12) dit que les anges dansaient sur l'échelle.

-> Le 'Hidouché haRim écrit que nous pouvons en tirer la leçon que les actions d'un juif dans ce monde peuvent avoir un effet considérable, même dans les mondes supérieurs, au point que même les anges célestes dansent de joie lorsque le peuple juif s'engage en faisant de bonnes actions et une avodat Hachem.

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[ d'une certaine façon, après avoir fait une mitsva (utilisant notre libre arbitre à bon escient, à la différence des anges qui n'ont pas vraiment de libre arbitre), nous pouvons imaginer les anges célestes ('spectateurs') qui montent au Ciel dire à Hachem à quel point Son enfant adoré agit avec grandeur, ce qui procure une joie et fierté énorme à Hachem, et ensuite, les anges redescendent et ils dansent de joie.
Hachem nous demande de faire Ses mitsvot avec joie. Ainsi, chaque mitsva peut procurer une joie d'Hachem, des anges, de nous-même, ... (éventuellement aussi l'âmes de nos ancêtres qui s'élèvent au Ciel grâce à cela, l'âme de chaque juif qui profite des bonnes actions des autres juifs).

Alors que toutes les nations sont enfoncées dans du vide, les juifs ont un impact aussi phénoménal dans tous les mondes. Nous n'aurons pleinement conscience de cela qu'après notre mort dans le monde de Vérité. Quel honneur et quelle fierté de pouvoir agir dans ce monde en tant que juif(ve)!!! ]

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-> "Hachem est passé par dessus les maisons des enfants d'Israël, lorsqu'Il a frappé les égyptiens, mais nos maisons Il [les] a sauvées" (Bo 12,27)

-> Le mot Pessa'h vient du fait que Hachem est passé (passa'h - פָּסַח) sur les maisons des juifs, entraînant qu'aucun juif ne soit mort pendant cette nuit (même de mort naturelle!).

=> Est-ce que nous devons comprendre cela de façon littérale : Hachem est passé directement au-dessus des maisons, tout en punissant les 1ers nés égyptiens?

-> Rabbi Moché de Sassov enseigne qu'en réalité c'est exactement ce qui s'est déroulé.

Lorsque Hachem arrivait à une maison égyptienne, immédiatement il ressentait l'impureté et le manque total de spiritualité qu'il y avait.

Lorsque Hachem arrivait à une maisons d'une famille juive, Il percevait la sainteté qui y rayonnait.
La beauté d'une maison juive, lieu remplie de mitsvot, et possédant un niveau de sainteté élevé, a tellement rendu heureux Hachem, que pour ainsi dire, à chaque fois qu'Il passait sur une maison juive Il s'est mis à danser, et à chanter joyeusement : "Ici vit un juif! Ici vit un juif!"

=> Ainsi, Hachem est littéralement passé sur le toit des maisons juives [y restant, y dansant et exprimant sa joie d'avoir un tel peuple!]
==> Le mot Pessa'h va donc bien au-delà d'un simple passage, puisqu'étant une déclaration d'amour Divine à notre égard!
Combien devons-nous nous en réjouir, en être fier et agir en responsabilité!!

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[on pourrait penser que cela ne nous concerne pas. Mais les juifs en Egypte sont tombés au 49e niveau d'impureté sur 50, et malgré tout Hachem a dansé de joie sur chaque juif. Il y a en chaque juif une partie d'âme Divine qui reste toujours présente et 100% pure (quoiqu'on puisse faire). L'amour d'Hachem pour chaque juif est inconditionnel. ]

"Les juifs simples ne sont pas conscients de l'importance de leur avoda au Ciel. S'ils savaient à quel point Hachem aime leurs prières, leurs supplications, leurs gémissements et leurs soupirs, le peuple juif serait sauvé de nombreuses difficultés et beaucoup de douleur serait évitée".
[rabbi de Kreitchnif ]

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-> "Chante, femme stérile qui n'a pas enfanté ... car les enfants de la désolée sont plus nombreux que les enfants de la femme mariée, dit Hachem" (Yéchayahou 52,1).

-> Le Déguel Ma'hané Efraim (paracha Ki Tétsé) explique ce verset ainsi :
La guémara (Béra'hot 6b) dit que la prière est "une chose qui se trouve au sommet du monde mais que les gens traitent avec légèreté".
Le Baal Chem Tov explique que la prière accomplit des choses incroyables dans les mondes les plus élevés, mais que les gens ne croient pas que leurs prières ont de la valeur ou qu'ils peuvent accomplir quoi que ce soit avec leurs prières ; par conséquent, ils les prennent à la légère.

En gardant cela à l'esprit, le Déguel Ma'hané Efraim explique que la "femme stérile" fait référence aux prières qui ne sont pas acceptés au Ciel. Mais il faut également se réjouir et chanter ces prières, car "les enfants de la désolée sont nombreux". Cela signifie que même les prières que l'on croit vides et désolés et qui ne valent rien, sont grandes et précieuses au Ciel. Elles valent beaucoup plus que ce que l'on pourrait penser et ne doivent pas être pris à la légère".

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-> "Même si le plus grand racha (juif) priait à Hachem, il pourrait Lui demander tout ce qu'il veut et cela lui sera donné"
[Divré Pin'has]

-> Hachem dit : "Je suis miséricordieux et J’écoute les demandes de chaque personne, même si elle n’est pas méritante".
[Ramban – Michpatim 22,26]

-> Le Séfer ha’Hinoukh (533) écrit :
"Le Créateur désire donner des bontés aux gens … ainsi, Il leur a appris le moyen par lequel ils peuvent recevoir toutes formes de bontés.
Ce moyen consiste à prier à Hachem, car Il a les capacités, et Il répond aux prières de tous ceux qui l’appellent avec sincérité [qu’ils soient méritants ou pas]."

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[ c’est une loi de la nature : tout juif qui se tourne vers Hachem en prière de tout notre cœur, alors forcément nous avons une forte probabilité de l’obtenir.
On comprends pourquoi notre yétser ara nous décourage à prier (ex: par paresse, par routine, par dévalorisation de nous-même (qui es-tu pour que D. t'écoute?), ou en minimisant la puissance de toute prière).
C'est pourquoi nos Sages (guémara Béra'hot 32b) affirment : Quatre choses nécessitent un renforcement et un effort constant pour s'améliorer, et ce sont : la Torah, les bonnes actions (maassim tovim), la prière et le déré'h érets.
Rachi ajoute : ce type de 'hizouk (renforcement/encouragement) est nécessaire constamment (tamid), et de toutes ses forces (békol ko'ho).
Rachi (sur Béra'hot 6b) dit : la prière fait partie des choses qui se tiennent au sommet du monde, mais que les gens traitent avec légèreté.
Tout cela met en avant à quel point nous avons une tendance naturelle à dévaloriser la grandeur de tout juif, et son impact incroyable au Ciel rien qu'en remuant sa bouche (et son cœur)! ]

Hachem désire et tire du plaisir de nos actions

+ Hachem désire et tire du plaisir de nos actions :

-> C'est l'échelle solidement plantée dans le sol qui permet de gravir la montagne d'Hachem et de se tenir dans Son lieu saint. Car c'est en [accomplissant d'abord les mitsvot] non pas pour elles-mêmes que l'on en vient [à les réaliser] pour elles-mêmes, car on comprendra dans son cœur qu'il convient de servir Hachem non pas pour recevoir une récompense, mais plutôt pour Lui apporter de la satisfaction.
Car il n'y a pas de plus grande récompense en ce monde que le fait que le Roi grand, haut, élevé, terrifiant et redoutable consente à ce que l'homme, qui est comme le néant et la vapeur, le serve, et que les actions de l'homme soient considérées comme désirables et satisfaisantes devant son Trône d'honneur.
Quel honneur et quelle grandeur un homme atteint lorsqu'un roi de chair et de sang le désire et le soulève de la terre pour se tenir debout et le servir, trouve de la satisfaction dans son service et apprécie [sa compagnie].
Combien cela est infiniment plus grand lorsque le Roi de tous les rois, Hachem, nous désire, tire satisfaction de nos actions et construit des mondes entiers à partir de nos bonnes actions.
Si cela était notre seule récompense, cela serait plus que suffisant.
[Rabbi Eliezer Papo - Pélé Yoetz - Sekhar mitsva ]

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-> "La récompense d'une mitsva est une mitsva" (Pirké Avot 4,2).
Cela signifie que la plus grande récompense possible pour une mitsva est la mitsva elle-même, c'est-à-dire le lien et l'attachement avec Hachem (que cela génère). [le mot mitsva est lié au mot ensemble (tsavta). ]
[rabbi Mena'hem Mendel Schneerson - Torat Mena'hem 2 - p.124 ]

Un baal téchouva fournit à Hachem deux fois plus de plaisir que ce qu'Il peut avoir de l'avoda (service Divin) des tsadikim.
[Méor Enayim - paracha Toldot]

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-> "Là où se tient un baal téchouva, même un tsadik parfait ne peut se tenir" (guémara Béra'hot 34b)

Hachem a choisi le peuple juif en raison de l'étincelle de spiritualité qui réside dans chaque âme juive.
Chaque juif a l'obligation d'attiser cette étincelle et de la nourrir par des mitsvot et de bonnes actions.
Cette étincelle intérieure, qui provient d'Avraham, est présente chez tous les juifs, même ceux qui s'éloignent du judaïsme. Hachem la protège pour qu'elle ne s'éteigne pas ; c'est la signification du titre "Magen Avraham" (le bouclier d'Avraham).
[Sfat Emet - Lé'h Lé'ha 5635]

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-> Nos Sages enseignent que les générations passant, il y a de moins en moins de sainteté dans le monde et les âmes (néchamot) sont moindres, faisant qu'on attend moins d'un juif (une toute petite chose passée devient une grande chose aux yeux d'Hachem).
Le rav Sim'ha Bounim de Pschisha affirme que plus les générations passent dans l'Histoire, plus la nékouda en chaque juif est importante et pure.
[la nékouda est cette partie de l'âme qui n'est pas impacté par les actions négatives, et qui reste toujours en un juif même s'il fait les pires choses. Cela fait qu'un juif est toujours aimé d'Hachem, et qu'il a toujours une possibilité de remonter spirituellement. ]

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[ "Magen Avraham" = d'une certaine façon, la première bénédiction de la Amida nous rappelle que même si nous sommes le "pire" des juifs, descendu plus bas que bas, nous avons toujours cette étincelle pure (nékouda) de sainteté, faisant que notre prière est importante, appréciée et écoutée par Hachem.
Et comme nous venons de le voir, l'avantage des dernières générations est que leur partie d'âme qui reste toujours pure est de plus en plus importante, ce qui fait que tout juif est encore plus sublime et aimé aux yeux d'Hachem, surtout relativement à l'obscurité accrue de l'exil du monde environnant. ]

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-> "Et les cœurs des pères seront rendus aux fils" (Mala'hi 3,24).
Ce verset peut être compris comme une promesse qu'Hachem ramènera les enfants juifs au niveau spirituel de leurs pères.
[Sfat Emet - Pessa'h 5658 ]

[Magen Avraham = notre yétser ara cherche à nous faire désespérer spirituellement (pour nous pousser à se satisfaire d'une avodat Hachem au rabais).
En prononçant la première bénédiction de la Amida (magen Avraham), on se souvient de la promesse d'Hachem de nous ramener à nos parents, dont Avraham est le Père de chaque juif. Et oui, chaque juif, aura cette immense honneur de revenir au niveau phénoménal des Patriarches, tâchons d'en être fier et de faire honneur à cela! ]

Le troisième des 10 Commandements stipule que : "lo tissa ét chem Hachem Eloké'ha lachav" (tu ne porteras/élèveras pas le nom d'Hachem, ton D., en vain - Yitro 20,6).
Le nom d'Hachem est ancré dans l'âme de chaque juif, et il est de notre devoir de l'éveiller (pour le bien) plutôt que de gaspiller notre potentiel de grandeur spirituelle (l'élevant en vain).
[Sfat Emet - Shavouot 5636 ]

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-> Hachem a dit à Avraham de quitter sa patrie et de se rendre dans le pays qu'Il lui montrerait (Lé'h Lé'ha 12,1).
En réalité, ce message ne s'adressait pas seulement à Avraham ; Hachem appelle continuellement chaque juif, à chaque génération : "Laissez derrière vous vos errements et revenez à Moi."
Hélas, nous nous laissons distraire par les tentations du monde et n'écoutons pas cette voix intérieure, même si nous savons qu'elle est là.
Avraham (et les tsadikim de tous les temps) était suffisamment sensible pour entendre clairement le message d'Hachem et y prêter attention. Chaque juif a le potentiel de cultiver la même sensibilité en lui-même, si seulement il en fait l'effort.
[Sfat Emet - Lé'h Lé'ha 5632 ]

Notre génération est appelée le "ékev" (le talon) de l'histoire, en ce sens qu'à notre époque, le monde est descendu à un niveau de moralité sans précédent.
En même temps, ce terme est porteur d'espoir, car tout comme le talon soutient le reste du corps, la génération d'aujourd'hui peut jeter les bases de la grandeur future.
C'est pourquoi notre époque est appelée "Ikvéta déMéchi'ha" (le talon du machia'h), car notre avodat Hachem, aussi difficile et décourageant qu'elle puisse être, est le soutien qui amènera le machia'h, qu'il vienne bientôt.
[Sfat Emet - Souccot 5636 ]

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[dans l'obscurité de la génération actuelle, avec la diminution de la grandeur des âmes venant au monde et la baisse de la sainteté environnante, même une petite action pour D. a un impact énorme. Ainsi, à l'image des talons, c'est notre génération qui a le pouvoir de faire marcher/venir le machia'h.]

L’étincelle d’Avraham est toujours présente en chaque juif

+ L'étincelle d'Avraham est toujours présente en chaque juif :

"Avram, Je suis un bouclier pour toi ; ta récompense est très grande" (Lé'h Lé'ha 15,1)

-> Hachem promit à Avram qu'Il serait pour lui un "bouclier".
Outre sa signification la plus directe, à savoir que Hachem protégerait Avram de ses ennemis physiques, les rabbanim de Gour y voient l'assurance de la survie spirituelle de chaque Juif.

Ceci est perçu à deux niveaux. Comme l'a enseigné le Arizal (Pri Ets 'Haïm - chaar haAmida 3), le mot "maguen" (bouclier) dans ce contexte peut être pris dans le sens de l'araméen, qui signifie "libre".
Chaque juif possède en son cœur une étincelle de son ancêtre Avraham, fourni gracieusement, c'est-à-dire indépendamment de nos réalisations spirituelles personnelles.
Non seulement cette judéité essentielle est fournie dès le départ, mais elle est immuable. Hachem agit comme un bouclier, veillant personnellement à ce que l'étincelle d'Avraham (en chaque juif) reste inextinguible, même si le juif tombe très bas ou s'il s'égare (en faisant les pires choses).
[Likouté Yéhouda - p.122]

La promesse inconditionnelle d’Hachem à tous les juifs

+ La promesse inconditionnelle d'Hachem à tous les juifs :

"Hachem dit à Avram : "Va pour toi, hors de ton pays, de l'endroit où tu es né et de la maison de ton père, vers la terre que Je te montrerai" (Lé'h Lé'ha 12,1)

-> La Torah nous parle des promesses d'Hachem à Avraham avant toute mention de la droiture d'Avraham.
Pourtant il semblerait que les promesses d'Hachem à Avraham soient dues à sa droiture. Si tel est le cas, pourquoi la Torah n'en fait-elle pas mention? Après tout, par exemple, la Torah fait l'éloge de la droiture de Noa'h avant la promesse d'Hachem de le sauver du déluge.

La réponse est que les promesses d'Hachem à Avraham devaient être inconditionnelles et éternelles. La Torah ne mentionne pas la droiture d'Avraham, car une promesse faite à quelqu'un en récompense de sa droiture dépend de la continuité de sa droiture. Hachem ne voulait en aucun cas conditionner Ses promesses à Avraham.

Pourquoi Avraham a-t-il mérité des promesses inconditionnelles de la part d'Hachem, contrairement à Noa'h et à d'autres hommes justes?
La réponse est que la promesse d'Hachem à Avraham n'était pas seulement pour lui, mais pour tous ses futurs descendants (le peuple juif). Même si une génération de ses descendants s'avérait ne pas être digne, Hachem voulait que Sa promesse reste en vigueur pour ses générations futures. Par conséquent, Hachem voulait que la promesse soit éternelle.

Les promesses d'Hachem à Avraham concernaient toutes ses générations futures, car Il prévoyait que ses descendants accompliraient le but de la Création et accepteraient un jour la Torah sur le mont Sinaï. Cela a permis à Avraham de s'attacher à Hachem à un degré qui dépassait les bonnes actions et le comportement méritoire d'Avraham.
Ainsi, les promesses d'Hachem à Avraham ont été faites dans le cadre d'un amour inconditionnel qui perdure à jamais.
La michna (Pirék Avot 5,16) précise : "Tout amour qui dépend de quelque chose, lorsque cette chose disparaît, l'amour disparaît. Cependant, tout amour qui ne dépend de rien est éternel".
Parce que le choix d'Avraham et de ses descendants par Hachem ne dépendait de rien d'autre que de Son amour pour Avraham, il est éternel.
[Maharal - Nétsa'h Israël 11]

Guéoula & confiance en soi

+ La guéoula ne vient pas car nous n'avons pas assez confiance soi-même :

"Nous n'avons pas la guéoula car nous n'avons pas assez de émouna en nous, c'est-à-dire à quel point Hachem aime chaque juif".
[rabbi na'hman de Breslev - rapporté par le rav Arouch]

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-> La raison pour laquelle on n'obtient pas de grande délivrance dans notre vie, c'est parce qu'on n'a pas la confiance en nous-même.
Rabbi Na'hman dit que chaque juif est important et aimé aux yeux d'Hachem.
Lorsqu'une personne prie et qu'elle n'a pas une émouna complète en elle-même, alors elle n'a pas un récipient pour contenir des grandes délivrances dans sa vie.
[rav Arouch]

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-> "Hachem aime chaque juif comme le roi David ...
Hachem aime chaque juif comme Eliyahou haNavi"
[midrach - rapporté par le rav Arouch]

[puisqu'on est tous Ses enfants, donc on est tous identiques! ]

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[Le rav Arouch, rapporte que selon le rabbi de Berditchev dit que plus on considère que l'on est important aux yeux d'Hachem, alors plus Hachem agit comme un père aimant, distribuant avec largesse Ses bénédictions.]

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-> Le midrach nous dit que chacune des 12 tribus a reçu son propre chemin lors du à travers la mer Rouge. Quelle était la raison de cette partie du miracle? Pourquoi n'était-il pas suffisant pour Lui de créer un seul chemin à travers la mer Rouge afin que tout le peuple juif puisse la traverser ensemble?

L'ouverture de la mer avait pour but de montrer que chaque tribu méritait sa propre ouverture de la mer.
En réalité, chaque juif méritait que la mer s'ouvre pour lui.
Il y a une grande leçon à tirer de cette histoire : chaque juif doit savoir que Hachem l'aime.
Oui, Il aime le peuple juif dans son ensemble, mais Il aime aussi chaque juif, car nous sommes tous Ses enfants.
[Sfat Emet]