Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

La mitsva d’être joyeux à Yom Tov = un excellent remède!

+ La mitsva d'être joyeux à Yom Tov = un excellent remède!

-> Le Séfer ha'Hinoukh (mitsva 488) écrit :
"La Torah déclare : "Vous vous réjouirez de vos fêtes" (véssamarta bé'hagué'ha - Réé 16,14).
Nos Sages (guémara 'Haguiga 8a) disent : "Réjouissez-vous de diverses manières", en mangeant de la viande, en buvant du vin, en revêtant de nouveaux vêtements, en donnant des fruits et des friandises aux enfants ..."
Nos Sages (guémara Pessa'him 109a) disent : "Il faut être heureux le jour de Yom tov, avec sa femme, ses enfants et les membres de sa famille ... Comment les rendre heureux?
Les hommes avec ce qui leur convient : du vin. Les femmes avec ce qui leur convient : de beaux vêtements."
La Torah nous oblige [également] à accueillir dans nos foyers les pauvres, les convertis et les personnes [socialement] faibles [afin qu'ils puissent également se réjouir avec nous le jour de Yom tov].

[C'est un besoin naturel pour] les gens d'être heureux de temps en temps. Ce n'est pas moins important que notre besoin de nourriture, de repos et de sommeil.
Hachem a voulu nous accorder à nous, Ses brebis [la capacité de transformer ce besoin naturel en mitsva], et il nous a donc ordonné d'être heureux pour Son nom ...
Hachem a établi plusieurs moments dans l'année comme yamim tovim pour se souvenir des miracles et de la bonté qu'Hachem a accompli pour nous, et à ces moments-là, Hachem nous a ordonné d'être heureux/joyeux.

Il s'agit là d'un excellent remède : être heureux au nom d'Hachem. Cela nous empêche de nous éloigner du bon chemin.
[plus nous faisons l'effort de développer des moments de joie totale avec papa Hachem, moins nous sommes tentés d'aller voir ailleurs car nous sommes comblés! ]
Quelqu'un qui réfléchit à ces questions, sans chercher à les réfuter, verra la logique de mes propos."

<--->

-> Lorsqu'une personne est incapable d'être vraiment joyeuse, elle doit faire semblant de l'être extérieurement, et cela se transmettra à son intériorité.

Le Yisma'h Israël dit qu'un indice à ce sujet se trouve dans les mots : "Et tu seras seulement joyeux" (וְהָיִיתָ אַךְ שָׂמֵחַ - Réé 16,15). Les premières lettres de ces trois mots forment שוא (chav - pour de faux), ce qui signifie qu'une personne doit faire semblant d'être heureuse et éprouver une fausse joie, parce que la fausse joie finira par conduire à la vraie joie.

Quand un juif se réjouit de son Service d'Hachem et Le remercie pour toutes les bontés et les bienfaits qu'Il réalise constamment pour lui, cette joie-là a la force de le sauver de toutes sortes de fautes. Bien plus, par ce mérite, il sera même préservé de tout malheur et de toute épreuve difficile.
Grande est la force de la joie, quand un homme se réjouit d'avoir Hachem comme D.
[Rabbi de Kobrin - Torat Avot]

On fera très attention à s’habituer à être patient et satisfait de tout ce qui nous arrive.
Même si on nous insulte, il ne faut pas répondre du tout, mais on se rappellera que tout vient de Hachem à cause des fautes commises, qui sont le véritable agresseur.
['Hafets 'Haïm - Chmirat haLachon - Chaar haTévouna ch. 8]

L'essentiel du Service d'Hachem doit être fait dans la joie.
On peut y arriver en pensant qu'on est en train de servir le Grand Roi, Omniprésent dans toute la création et en même temps infiniment plus élevé que tous les mondes.
Tout ce qui existe est absolument néant devant Lui. Et ce D. a fait résidé Sa Présence sur le peuple Juif, et désire et aime qu'il Le serve.
[rabbi de Tchernobyl - dans son Likouté Torah]

Pourim – l’importance d’être toujours dans la joie

+ Pourim - l'importance d'être toujours dans la joie :

-> Esther a invité A'hachvéroch et Haman à son festin, et son but était de plaider pour les juifs.
Mais au cours de sa 1ere réception, Esther n'a rien demandé, si ce n'est qu'ils reviennent pour un autre repas festif le lendemain.

=> Pourquoi n'est-elle pas intervenu dès la 1ere fois, qui semblait pourtant un moment idéal puisque : "Au cours du festin, le roi dit à Esther : "Formule ta demande, et elle te sera accordée ; dis ce que tu souhaites : quand ce serait la moitié du royaume, tu l'obtiendrais"." (Esther 5,6).
Y avait-il un meilleur moment que cela?

La réponse se trouve dans la suite du texte : "Ce jour-là Haman se retira, joyeux et le cœur content" (Esther 5,9).
Esther savait qu'elle ne pouvait pas entraîner la chute d'Haman si celui-ci était joyeux, et c'est pourquoi elle a tout repoussé au lendemain.

Le lendemain, il est écrit : " Haman gagna précipitamment sa maison, accablé de tristesse et la tête basse" (Esther 6,12).
C'est pourquoi Esther a rapporté à A'hachvéroch les mauvais plans d'Haman, et Haman a été pendu ce jour là.

-> Par la suite, la guémara aborde tous les honneurs que Mordé'haï a reçu d'Haman.
Haman menait Mordé'haï dans les rue de Shoushan, et criait devant lui : "Voici ce qui doit être fait à celui que le roi désire honorer".
Mordé'haï était vêtu d'habits de roi, et était sur un cheval royal.

Le Tiféret Shlomo enseigne : "[Lorsque Haman a mené Mordé'haï dans les rues] les gens chantaient et dansaient devant lui.
Tout cela avait pour but de rendre Mordé'haï joyeux.
Immédiatement après cela, le peuple juif a été sauvé et un miracle merveilleux a eu lieu".

=> Le moment de la délivrance était arrivé, mais il manquait un ingrédient indispensable pour que cela arrive : la joie.
[rav Elimélé'h Biderman]

<--->

-> Le Noam Elimélé'h (Vaéra) écrit :
"Lorsqu'on est joyeux et qu'il n'y a pas de tristesse, les forces du mal (klipot) tombent et le côté de la sainteté s'élève.
Moché voulait soumettre la force du mal (klipa), qu'était Pharaon, en faisant que les juifs soient joyeux au sujet de la délivrance à venir. Mais ils ne voulaient pas être joyeux ...
C'est pourquoi, Moché a dit : "Les Bné Israël ne m'écoutent pas, alors comment Pharaon va-t-il m'écouter? Comment pourrais-je soumettre les forces du mal [s'il ne sont pas joyeux]?""

<--->

-> "Mordé’haï ayant eu connaissance de tout ce qui s’était passé [il vient d’avoir conscience des plans d'Haman], déchira ses vêtements, se couvrit d’un cilice et de cendres et parcourut la ville en poussant des cris véhéments et amers" (Esther 4,1)
En réaction à cela, Esther : "la reine en fut toute bouleversée. Elle envoya des vêtements pour les mettre à Mordé'haï, en enlevant son cilice ; mais il ne les accepta point." (Esther 4,4)

=> Pourquoi a-t-elle envoyé des vêtements à Mordé'haï? Est-ce qu'elle pensait qu'il n'avait rien à se mettre?

Le Tiféret Shlomo répond que Mordé'haï et Esther étaient en train de débattre sur la façon dont ils pouvaient annuler le terrible décret d'Haman.
Mordé'haï a décidé de prendre le chemin des pleurs et du deuil, car cela éveillerait la compassion d'Hachem.
Esther était d'avis qu'ils pouvaient accomplir beaucoup plus par le fait d'être joyeux.
En ce sens, elle envoya des vêtements à Mordé'haï pour lui signifier qu'elle pensait qu'il ne prenait pas le bon chemin.

Le Tiféret Shlomo écrit que Mordé'haï savait également que la joie était essentielle pour la délivrance du peuple juif, mais il pensait qu'il ne fallait pas commencer par la joie.
Tout d'abord il faut prier, pleurer et crier à Hachem, et seulement ensuite la délivrance viendra par la joie.

-> D'une façon similaire, le 'Hatam Sofer explique que Mordé'haï et Esther étaient en train de débattre : est-ce que pour annuler les décrets d'Haman il fallait des larmes et des prières ou bien de la joie?

Mordé'haï était vêtu d'un sac, car il voulait annuler le décret par un cœur brisé et de chaudes larmes.
Esther lui a envoyé des habits car elle voulait annuler le décret par le biais de la joie.
Le 'Hatam Sofer ajoute que c'est la raison pour laquelle Esther a organisé des festins : elle voulait annuler les terribles décrets par la joie.

Le 'Hatam Sofer conclut que c'est l'approche d'Esther qui était la plus juste, et c'est pourquoi la délivrance est venue grâce à son approche.

<------>

-> La guémara (Méguila 16a) écrit : "Haman a pris des vêtements royaux et un cheval royal et il est allé [chez Mordé'haï]. Lorsque Mordé'haï a vu Haman approcher avec le cheval, il a eu peur ...
Mordé'haï s'est levé et il a commencé à prier.
Haman est arrivé, il s'est assis, et il a attendu jusqu'à ce que Mordé'haï ait fini de prier", et alors Haman a mené Mordé'haï dans les rues de Shouchan avec un honneur extrême."

=> Le Ben Ich 'Haî (Ben Yéhoyada) demande : Pourquoi Haman a-t-il attendu que Mordé'haï termine de prier? Pourquoi ne lui a-t-il pas dit immédiatement qu'il est venu pour l'honorer?

Le Ben Ich 'Haï répond :
"Haman savait que Mordé'haï priait avec de la tristesse, et Haman savait que de telles prières ne sont pas aussi efficaces [que des prières faites dans la joie].
Haman a pensé : "Si j'interromps sa prière, il va prier de nouveau, et après avoir entendu la bonne nouvelle [que Haman devait l'honorer], il va prier avec une joie immense, et alors il est probable que ses prières seront exaucées".
Haman a donc préféré que Mordé'haï prie dans la tristesse, et c'est pourquoi il a patiemment attendu que Mordé'haï finisse de prier.

<--->

On peut citer par exemple :
-> "Grâce à ta joie, ta prière entrera dans le Palais du Roi" (Rabbi Na’hman de Breslev – Séfer haMidot – Téfila 70) ;
-> "On peut accéder à davantage de choses par le biais d’une prière dans la joie que d’une prière dite en pleurant" (Rabbi Sim’ha Bounim de Peshischa) ;
-> Le Baal Chem Tov affirme que la joie est un degré plus élevé que les pleurs, car ces derniers déchirent les cieux tandis que la joie fait tomber toutes les cloisons.

<------>

-> "Si une personne est heureuse simplement parce qu'elle est juive, alors je garantis que rien de mal lui arrivera, ni spirituellement ni matériellement"
[rabbi de Karlin]

[le Zohar dit : "La joie principale sur laquelle l’homme doit se réjouir, c’est la joie d’être un juif".
En ce sens, si nous le ressentons réellement, alors aucune contrariété de la vie ne peut nous retirer notre joie constante : je suis juif (ve)! Cela est une protection énorme contre toute mauvaise chose!]

<------>

-> Le Gaon de Vilna (Michlé 18,14) dit que : "avec sa joie, on peut mettre un terme à une maladie" (בשמחתו יבטלנו).

-> Le Beit Israël enseigne que : celui qui est joyeux et de bonne humeur [de façon cashère], sera nettoyé de toutes ses pensées impures.

A l'inverse, le Baal haTanya écrit que les pensées de avoda zara (idolâtrie) entre dans le cœur de celui qui est triste.

<--->

-> Le 'Hazon Ich dit que l'on peut vivre notre vie aussi bien dans le sourire ou bien dans la tristesse. A nous de choisir de la vivre dans la joie.
[il y aura toujours des raisons pour s'apitoyer, se plaindre, et il y aura toujours des raisons pour se satisfaire, se réjouir de sa situation.
A force d'attendre la perfection avant d'être heureux, notre vie passe et nous ne le sommes pas vraiment.
Etre joyeux, c'est reconnaître que tout vient avec précision de D. et que c'est le top du top de ce qu'il nous faut!]

De même, rabbi Zalman Brizel enseigne : "Si tu peux être joyeux pourquoi devrais-tu être à l'opposé".

En effet, bien souvent le fait d'être joyeux est une décision personnelle.
Par exemple, s'il y a un problème : est-ce que je peux le résoudre?
- si oui = donc pourquoi s'inquiéter puisqu'il va disparaître.
- si non = donc pourquoi s'inquiéter, ça n'aidera en rien!

"La plus grande bénédiction de la vie est la capacité d'entretenir une relation avec le Maître du monde."

[Déguél Ma'hané Efraïm - Toldot 27,28
- "Et Il te donnera (véyiten lé'ha) : aElokim"]

"Sois joyeux tous les jours de ta vie et veille à ce que les membres de ta famille le soient aussi. C’est la clé de la réussite."
[l'admour de Vizhnitz - le Yéchouat Moché]

"Soyez dans la joyeux (béSim'ha) et vous aurez des raisons d'être dans la joie (béSim'ha) ...
Car Hachem aime la joie!"
[Beit Israël]

[il a donné, par exemple, ce conseil a quelqu'un qui avait beaucoup de mal à avoir un enfant.]

<--->

-> "Notre bouche s’emplira de rire, et notre langue de chants de joie. Alors on s’écria parmi les peuples: "Hachem a fait de grandes choses pour ces gens!" Oui, Hachem a fait de grandes choses à notre égard, profonde est notre joie" (Téhilim 126,2-3)

-> Le rabbi Mendel de Lelov explique que lorsque machia'h viendra, les nations du monde demanderont : "Pourquoi Hachem fait-Il tant de bontés aux juifs? Le méritent-ils?"

Le peuple juif répondra : "Oui, Hachem a fait de grandes choses à notre égard", et la raison est : "profonde est notre joie" (ayinou chémé'him). Même lorsque nous étions en exil, nous sommes restés joyeux. C'est pour cela que nous avons autant d'énormes récompenses.

<---->

On trouve une autre allusion à cela dans ce Téhilim (126,6) :
- "[Si] en allant [semer] il marche en pleurant, portant le sac de graines" (alo'h yélé'h ouva'ho ...) = si une personne est triste, qu'elle pleure de plaintes, alors elle apportera chez elle une parnassa qui est minimale (des "graines") ;
- "il reviendra [chez lui] avec joie portant les gerbes [qu'il a récoltées]" (boyavo bérina nossé aloumotav) = si on a une attitude joyeuse, alors on ramènera chez soi des paquets de bontés (des "gerbes").

<---->

-> "Alors [avec l'arrivée du machia'h,] notre bouche s’emplira de rire, et notre langue de chants de joie" (az yimalé ch'hok pinou, oulchonénou rina - Téhilim 126,2)

-> Le Ibn Ezra fait remarquer que le mot "pinou" (notre bouche - פִּינוּ) est au singulier, ce qui signifie que chaque juif composera et chantera une chanson unique, qui lui est propre.
Cela est à la différence de la traversée de la mer Rouge, où les juifs ont chanté une chanson collective.

[l'idée aussi est que plus nous sommes joyeux dans ce monde, grâce au fait de s'appuyer sur de la émouna, de l'humilité en Hachem, alors plus avec la venue du machia'h nous serons heureux car nous aurons acquis un niveau élevé nous permettant de bénéficier de davantage de proximité avec Hachem.
A l'image de la mer qui extérieurement a un niveau égal mais intérieurement a des profondeurs très différentes, de même chaque juif en fonction de sa préparation à Hachem dance ce monde aura avec la venue du machia'h davantage de joie et de louanges à faire. (selon le 'Hafets 'Haïm) ]

"Servez Hachem dans la joie, venez devant Lui en chantant" (Téhilim 100,2)

=> Pourquoi cela?

-> Le rav Chimchon Pinkous répond :
Car celui qui n'est pas joyeux pendant la prière montre par là qu'il ne sait pas devant qui il se trouve.
En effet, celui qui est devant Hachem (en face à face comme lors de chaque Amida), et qui n'est pas joyeux n'est certainement pas conscient de l'infinie bonté de son Créateur, de l'infini amour qu'Il porte à toutes Ses créatures et en particulier au peuple juif, et de l'infini pouvoir de chaque mot de prière et de chaque chant.

<--->

=> La guémara (Béra’hot 32a ; Avoda Zara 7b) enseigne qu’avant de faire une demande à Hachem, il faut d’abord Le louer, Le remercier.
C'est pourquoi par exemple la Amida commence par 3 bénédictions de chants et de louanges, et seulement ensuite nous faisons nos demandes à D.
Pourquoi chanter et louer Hachem est-il indispensable pour être quitte de sa Amida ou de son obligation de prier?

-> Le rav Pinkous (Chéarim baTéfila) répond :
Un service on peut le demander à tout le monde : de l'argent à un riche, un soin à un médecin, ...
La prière s'appelle Avoda : un service Divin, car pendant celle-ci le serviteur s'annule devant le Maître.
Il faut donc préalablement exprimer sa conscience du Divin, du Maître devant qui l'on se tient, de notre annulation devant Lui, et seulement par la suite nous pourrons exprimer toutes nos demandes qui viendront renforcer le fait que nous ne dépendons que de Lui.

"Shamaï dit : ... Reçois tout homme avec le sourire [avec un visage bienveillant]" (béssévèr panim yafot - Pirké Avot 1,15)

-> On peut noter que c'est Shamaï qui a enseigné cette halakha, et non pas Hillel qui [à l'inverse de Shamaï] est connu pour sa nature douce et bienveillante.
Cela représente que même selon l'interprétation la plus stricte, la plus rigoureuse de la Torah [l'attitude de Shamaï], nous devons recevoir/saluer tout le monde avec un visage bienveillant et souriant.
[rav Elimélé'h Biderman]

-> Le Méïri écrit sur ce passage : Parfois, nous ne sommes pas de bonne humeur, et la visite de l’autre représente une corvée. Pourtant comme celui-ci est venu chez nous, nous devons nous montrer agréable avec lui, afin qu’il ne soit pas blessé par le sérieux de notre visage.
Il suffit que l’invité pense (sovèr) que nous sommes très contents de sa visite.

-> Le rabbi Méïr d'Amshinov dit que cela concerne également nous-même.
Nous devons savoir s'accepter comme nous sommes, avec joie et bonheur.
On ne doit pas se rabâcher du négatif (nos défauts, nos erreurs, ...), et se sentir abattu.

[d'une manière générale toute attitude qui ne nous fait pas devenir meilleur provient du yétser ara.
Certes, on peut apprendre de nos erreurs, avoir conscience de nos défauts (ce que tout le monde a, et qui nous proviennent de D.), mais cela doit être dans une temporalité définie et courte.
La très large majorité du temps nous devons avoir "un visage souriant" avec nous même!
(Il faut toujours sourire à la vie, même si pour cela nous devons se forcer par moment)]