Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

"On peut accéder à davantage de choses par le biais d'une prière dans la joie que d'une prière dite en pleurant"

[Rabbi Sim'ha Bounim de Peshischa]

-> Le Baal Chem Tov affirme que la joie est un degré plus élevé que les pleurs, car ces derniers déchirent les cieux tandis que la joie fait tomber toutes les cloisons.

"Si une personne témoigne de la joie dans ce monde, alors du Ciel, on lui montrera de la joie.
Mais si une personne témoigne de la tristesse, cette tristesse lui est renvoyée du Ciel.

C'est pour cela qu'il est dit : "Sers Hachem avec joie", car la joie de l'homme entraîne d'En Haut vers lui une autre joie."

[Zohar - Tétsavé 184]

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-> "D. est ton ombre [protectrice]" (Téhilim 121,5)

Le Néfech ha'Hayim (1:6,7) et le Tomer Dvora (chap.1) expliquent que par nos actions dans ce monde, on peut activer les plus hauts niveaux des Attributs divins, entraînant sur nous les bénédictions les plus puissantes des mondes supérieurs.

Ainsi, à l'image de l'ombre, si dans notre vie, on se force à avoir le sourire (confiant en la bonté et en la justice divine), alors D. nous donnera de véritables raisons d'être joyeux.

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-> "Celui qui suit sa souffrance, sa souffrance le suit d'encore plus près"  [Rabbi Na'hman de Breslev - Atsvout 34]

-> "Celui qui s'évertue à penser positif, ne prononce pas de paroles tristes ou préoccupantes. Il agit comme s'il était heureux et il finira par vraiment le devenir"  [le Tséma'h Tsédek]

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-> "Lorsqu'un homme agit, en bien comme en mal, D. lui insuffle une force qui l'incite à continuer dans la voie qu'il a choisie. C'est le principe qu'un commandement ou une faute en entraîne un autre.

Il en est ainsi pour la joie. Lorsque quelqu'un se réjouit un peu, il continuera jusqu'à ce que la joie s'imprime dans son âme et qu'elle devienne une partie de lui-même"

[Gaon de Vilna - michlé 1,23]

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-> "C'est une grande mitsva d'être continuellement joyeux et d'éviter la tristesse et la mélancolie. De plus, la joie sur terre éveille une joie céleste, qui annule les décrets"

[Rabbi Na'hman de Breslev - Likouté Torah du Baal haTanya - paracha Tazria]

 

-> "Le monde céleste reflète ce monde-ci. Celui qui rayonne reçoit la lumière d'en-haut. D. est l'ombre de l'homme : en fonction de son comportement, il ressentira la présence de D. sur lui" [Zohar -  2e partie - 164b]

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-> b'h, au sujet du fait qu'avoir des pensées négatives va attirer sur nous des choses négatives : https://todahm.com/2020/03/31/13093-2
-> voir également : https://todahm.com/2021/05/23/31798

"Lorsqu'une personne est toujours heureuse, même lorsque la maladie frappe, D. préserve, elle fournira [le remède] à sa maladie avec sa joie.
Mais celui qui a un esprit dépressif, qui peut le soutenir?"

[le Gaon de Vilna - sur Michlé 18,14]

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-> La nature humaine est de se sentir perpétuellement insatisfaite, de toujours désirer davantage, comme il est écrit : "Une personne qui a 100, veut 200, et celle qui a 200 veut 400" (Kohélet Rabba 1,32).

Comment de fois dans notre vie, nous disons à D., si j'ai ce travail, alors je ..., si j'ai une femme/un mari, alors je ... , si j'ai plus d'argent, alors je ... , ...
Mais une fois qu'on a cet "objet" désiré, au lieu d'en être satisfait, de l'apprécier et d'en remercier D., on prend vite cela pour acquis, et on a une nouvelle demande : si seulement j'avais ... alors ...

Nos Sages (Pirké Avot 4,1) nous enseignent : "Qui est riche? Celui qui est heureux de sa part".
La richesse n'est pas mesurée en fonction de ce que l'on a, mais en fonction de ce qu'il nous manque à nos yeux.
On a beau avoir toutes les richesses du monde, si l'on en désire le double, on est de très loin, la personne la plus pauvre.

La Torah nous ordonne : "tamim tiyé im Hachem" (Dévarim 18,13).
Le Maharal explique que cela signifie que l'on doit se sentir complet, "comme un tout" ne manquant de rien, et comme ayant reçu tout ce dont il a besoin.

A force de se focaliser sur le verre à moitié vide, on en vient à oublier de le boire, d'apprécier ce qu'il contient.
Le verre n'est ni trop vide, ni trop plein.
Il nous est préparé, avec précision et un amour infini, par Hachem, et est donc ce qu'il y a de mieux pour nous.

b"h, Tâchons de kiffer notre vie selon ce que D. désire pour nous, plutôt que d'attendre d'avoir ce qu'on désire avant de la vivre pleinement.

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-> Gardons toujours à l'esprit qui est notre père.
Même sans un sou en poche, le fils d'un milliardaire ne se soucie jamais de sa subsistance, car il sait que son père peut lui donner tout ce dont il a besoin.

Plus nous prenons conscience que Hachem veut nous aider et peut résoudre tous nos problèmes en un clin d'oeil, plus nous serons apaisés.

La joie n’est pas contraire à la souffrance

+ La joie n'est pas contraire à la souffrance :

-> La joie est un concept confus. Tout le monde veut être heureux. En fait, c'est le plaisir que les gens recherchent le plus. Qu'est-ce que c'est exactement et qu'est-ce qui la génère?

Le joie est le plaisir que l'on ressent lorsqu'on change et que l'on grandit.
Si une personne change et grandit, elle sera heureuse.

Cependant, ce même monde qui est confus au sujet de la joie nous induit en erreur. Il nous dit que la souffrance est incompatible avec la joie et qu'une personne qui souffre ne peut pas être heureuse.
Par conséquent, nous passons notre vie à éviter la moindre souffrance parce que nous voulons tellement être heureux. Le problème, c'est que la joie vient du changement, et que le changement est douloureux.
Nous finissons donc par éviter le changement au nom de la joie et par devenir malheureux.
Si une personne change, elle sera heureuse même si cela lui fait mal.

La joie et la souffrance/douleur peuvent coexister. On peut être heureux même si l'on souffre. En fait, l'expérience générale des gens est que les moments les plus heureux de la vie n'arrivent pas lorsqu'ils sont assis à ne rien faire. Une personne est plus joyeuse lorsqu'elle est en train d'agir, d'accomplir, de devenir, de faire des efforts, de réussir.

En vérité, il n'y a pratiquement rien que nous ne ferions pas pour être heureux. Nous échangerions tous les plaisirs du monde contre la joie.
La joie est le plus grand plaisir de ce monde, et en faisant ce que nous sommes censés faire et en changeant en observant la Torah, nous recevrons non seulement un plaisir infini et éternel dans l'autre monde, mais aussi le plus haut niveau de plaisir de ce monde, la joie.

Il en ressort que les moments où le potentiel de joie est le plus grand sont en fait ceux où la Torah est la plus difficile à mettre en œuvre, en particulier les périodes de souffrance.
Plus nous nous efforçons de respecter la Torah en dépit des défis, des difficultés et de la douleur, plus nous changerons et plus nous serons heureux, même si cela fait mal.
En fait, il n'y a pas d'activité pendant laquelle nous ne pouvons pas être joyeux. Si nous changeons et grandissons, nous serons heureux malgré la douleur, malgré les larmes. Ce n'est pas une contradiction.

La vie peut faire mal. Mais si nous grandissons grâce à ce que nous vivons, nous serons heureux.

Nous ferions n'importe quoi pour être heureux, et le fait de grandir à travers la douleur peut faire que notre vie vaille la peine d'être vécue.

[rav Kalonymos Kalman Shapira - le rabbi de Piaseczno - Aish Kodech - Pourim 5700]

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-> Le rabbi de Berditchev (Kédouchat Lévi - Tétsavé) explique que le plus haut niveau de plaisir dans ce monde provient de la chlémout (la complétude), qui est ce que le Maharal (Déré'h 'Haïm 6,2) écrit génère la joie.
[le rav Akiva Tatz dit que la joie c'est le sentiment d'être en phase entre ce que l'on doit faire (les besoins de notre âme), et ce qu'on fait réellement. C'est cet état de complétude, nous exprimons pleinement notre intériorité à l'extérieur. ]

Si quelqu'un prive sa bouche de parole en s'abstenant de parler inutilement et en ne prononçant que des paroles saintes, il sera vraiment heureux.
[Noam Elimélé'h - Likouté Shoshana ]

=> le silence créé la joie!

Joie & Torah

"Renforce-toi dans ton étude de la Torah et dirige constamment ton cœur vers la joie, car c'est par le biais de la joie que descendent les bénédictions du ciel"

['Hazon Ich - Kovets Iggros 'Hazon Ich 2,9]

+ Joie & Torah :

-> "Je me réjouis de [comprendre] Ta Torah comme quiconque trouve un grand trésor" (Téhilim 119,162)

-> Les ordonnances de D. sont droites, elles réjouissent le cœur" (Téhilim 19,9)

-> "Parce que tu n'auras pas servi Hachem, ton Dieu, avec joie et contentement de cœur" (Dévarim 28,47)

-> "La Torah et la prière doivent être faites dans la joie"
[michna Béroura]

-> La joie fait partie des 48 vertus permettant d'acquérir la Torah (Pirké Avot 6,6)
La joie n'est pas un luxe, mais une obligation, un composant central dans l'étude de la Torah.

-> "Un aspect essentiel de la mitsva d'étudier la Torah est le fait qu'une personne doit être joyeuse et enthousiaste dans son étude, car ce n'est que suite à cela que les mots de la Torah peuvent pénétrer dans son essence intérieure.
Car à partir du moment où une personne a goûté et a tiré du plaisir des mots de la Torah, elle devient connectée avec la Torah.

Dans le saint Zohar, il est rapporté que ni le yétser tov, ni le yétser ara ne peuvent grandir sans joie.
Le yétser tov se développe grâce à la joie pour la Torah, et le yétser ara ..."
[Avnei Nézer - Eglei Tal]

-> Le rav Salanter disait que le fait de ne pas éprouver de joie, d'émerveillement dans l'étude de la Torah, fait que la Torah reste extérieure à une personne.

-> "Etudier la Torah ne peut se faire qu'au travers la soif, car c'est uniquement une personne assoiffée de Torah qui peut en apprécier son importance"
[Rav Yits'hak Hutner]

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-> La tristesse résulte d'un échec de faire les mitsvot, d'étudier la Torah, et de prier avec kavana.
C'est le point d'entrée pour le yétser ara afin de séduire une personne à fauter.
[rabbi 'Haïm Vital]

La joie dans les mitsvot (2e partie)

+ La joie dans les mitsvot (2e partie) :

-> "Parce que la Torah est le trésor le plus précieux de D., nous devons nous réjouir d'avoir un cadeau si extraordinaire."

[Rav 'Haïm Volozhin - Roua'h 'Haïm]

-> "Rav Ayebou a dit : Lorsque que vous êtes debout et que vous priez, votre cœur doit être rempli de joie en raison du fait que vous priez l'Un et l'Unique, l'infiniment tout-puissant, D., qui est sans comparaison.
C'est ça la vraie joie : lorsque le cœur d'une personne est submergé de joie par le fait d'avoir mérité de servir D., qui n'a pas d'égal, de se plonger dans Sa Torah et d'accomplir Ses mitsvot, qui sont le summum du véritable accomplissement et de la perfection, et qui sont des mérites éternels."

[Midrach Chocher Tov 100 - sur "ivdou ét Hachem béSimcha"]

-> "L'essentiel du plaisir et de la joie réside dans le fait que l'on a mérité d'être capable de servir D., qui a tout créé.
Il est servi par toutes les créatures célestes, les Séraphim, les 'Hayot et les Ophanim.
Et néanmoins, D. a choisi le peuple juif, pour qu'il soit celui qui Le serve et Le vénère, et cela est en soi une source de plaisir intense pour nous."

[Rav Lévy Yits'hak de Berditchev - le Kédouchat Lévi]

-> "Le plus une personne mérite d'entrer profondément dans les chambres de la connaissance de la grandeur de D., le plus, il va grandir en joie, et son cœur va se réjouir en Lui."

[le Ram'hal - Messilat Yécharim - commentaire sur le Chir haChirim 1,4]

La joie dans les mitsvot

+ La joie dans les mitsvot :

-> "La joie qu'une personne doit avoir lorsqu'elle réalise une mitsva, et l'amour qu'elle doit ressentir vis-à-vis de D., qui lui a donné ces mitsvot, est un très grand avoda (service divin)"
[Rambam - Hilkhot Loulav - chap.8]

-> Rabbeinou Bachyé nous enseigne que la joie n'est pas uniquement la façon appropriée d'accomplir les mitsvot, c'est aussi une mitsva à part entière.
Ainsi, quelque soit la mitsva que nous réalisons, nous ne faisons pas, en réalité une, mais 2 mitsvot : la mitsva en elle-même, et en plus : la mitsva d'accomplir une mitsva dans la joie.

-> Le 'Hatam Sofer (Torat Moché - Pin'has) va plus loin en nous disant :
"Il est connu que la joie qu'une personne a, lorsqu'elle accomplit une mitsva, est plus importante que la mitsva elle-même.
De plus, la récompense qu'une personne aura, pour avoir eu une telle joie, est plus importante que la récompense pour avoir fait cette mitsva"

-> "La joie est une mitsva de la Torah qu'une personne est obligée d'accomplir pleinement, car c'est une part essentielle dans le service divin, et en vérité, elle (la joie) est plus importante que la mitsva elle-même"
[Rabbeinou Bachaye - Kad aKéma'h]

-> Rabbi Eleazar ben Moché Azikri a écrit dans son Séfer 'Harédim, que le niveau de connaissance et d'inspiration divine qu'a pu atteindre son maître, le Ari Zal, a été possible par le fait qu'il réalisait chaque mitsva avec une joie sans limite.

Dans ce livre, juste à la suite de cela, Rabbi Eleazar Azikri (se basant sur le verset Dévarim 28,47) a écrit :
"[la joie d'accomplir une mitsva est supérieure] à toutes les autres formes de plaisir du monde, et au bonheur d'acquérir tout l'or, les trésors inestimables, les pierres précieuses et les perles"

-> "La présence divine ne repose pas sur une personne que se soit par la tristesse, la paresse, ...mais plutôt par la joie d'une mitsva"
[guémara Shabbath 30b]

-> "Celui qui accomplit les mitsvot avec joie reçoit une récompense 1 000 fois supérieure à celui qui réalise les mitsvot avec le sentiment qu'elles sont un fardeau"

[le Or'hot Tsadikim - Chaar aSim'ha]

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-> "L'essentiel de l'accomplissement de toute la Torah est contenu dans un concept bref : L'homme doit réaliser les mitsvot avec joie."
[Rabbi Yonathan Eibschitz - Yaarot Dvach]

-> "Lorsque le cœur d'une personne déborde de joie dans sa confiance et sa foi en D., au plus au niveau de joie ... grâce à cette force et cette énergie, son âme va monter de plus en plus haut, [dépassant] tous les obstacles empêchant la réalisation des 613 mitsvot."
[le Tanya - chap.33]

-> Le Rabbi Aharon Roth (dans son Taharat haKodech) rapporte que selon le Baal Chem Tov la joie est un raccourci mis en place par D.
Ainsi, pour atteindre un objectif, une personne devrait normalement souffrir douloureusement et cela prendrait une longue période sur des années, pour y parvenir.
Ce même objectif pourrait être atteint beaucoup plus facilement et rapidement par le fait de servir D. dans la joie.

Le Rabbi de conclure : "La joie est un formidable raccourci qui permet à une personne d'atteindre beaucoup, avec peu d'efforts, dans un temps court".

-> "Les 613 mitsvot sont en réalité 613 façons de nous aider à nous lier à D.
La joie est un raccourci avantageux car il nous amène directement à atteindre cette proximité [avec D.]."
[le Zohar]

=> Par notre joie, nous témoignons de notre chance, de notre envie d'accomplir la volonté de notre Père Céleste, D., et nous permettons alors à chacun de nos actes de nous lier au maximum avec le Roi du monde.
D. je T'aime, comme le prouve ma fougue lorsque j'accomplis Ta volonté ...

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+ Bonus :

-> Le Chem miChmouel a fait un dvar Torah montrant le caractère fondamental d'être joyeux d'accomplir une mitsva.

On apprend dans la guémara (Moéd Katan 15b) qu'un "onèn" (une personne ayant perdu un parent proche), ne peut pas amener des korbanot (sacrifices) en son nom, au Temple.
En effet, la Torah utilise au sujet des korbanot le mot : chélamim (שלמים), qui est dérivé du mot : chalèm (שלם), qui signifie : entier ou complet, indiquant que le sacrifice ne peut être apporter que si la personne est dans un état de complétude, ce qui n'est pas le cas lorsqu'il a perdu un proche parent.

Pourquoi un onèn n'est pas considéré comme "complet/entier"?

Ce ne peut pas être en raison de la perte d'un proche parent, car sinon cela signifierait qu'il ne pourrait plus jamais amener de sacrifices.
Cependant la halakha est qu'il peut en amener une fois sa période de onèn terminée ...

On peut l'expliquer par le fait que le bon état d'une personne doit être celui de la joie, de l'allégresse et du bonheur, comme il est écrit dans les Téhilim (100,2) : "Servez D. avec joie, présentez-vous devant Lui avec des chants d’allégresse".

Lorsqu'une personne est onèn (elle a perdu un proche parent), que D. nous en préserve, elle est dans un état de mélancolie et de tristesse, et il lui manque la joie.
Il lui manque ainsi l'essence même d'une personne "complète" (שלם).

=> Seule une personne qui est pleinement dans la joie peut être caractérisée d'entière, de complète.

-> "D. nous a choisi parmi toutes les nations.
Comment est-il possible d'être triste?"

-> "Cela vaut le coup pour l'âme de faire le voyage des mondes supérieurs jusqu'ici, et de souffrir pendant 80 ans, uniquement pour mettre les Téfilin, même une seule fois."

[le 'Hazon Ich]

Il y a environ 0.20% d'êtres humains qui sont juifs sur terre, et j'en fais partie => Quelle chance!!

[et si en plus, j'ai la chance, l'honneur, de faire partie de ceux qui pratiquent la religion, alors là .... Quelle chance de folie, j'ai!!! ]

-> "Si j'étais mort et que D. m'aurait dit qu'il m'est possible de revenir à la vie, imaginez à quel point je serais joyeux.

Actuellement que je suis en vie, je dois ressentir cette même joie!"

[Rabbi Na'hum de Huradna - 'Hayé haMoussar]

-> "Quelle serait ma joie si j'obtenais une énorme somme d'argent?
  
Aucun montant d'argent, ne peut cependant être comparable à ce qui a le plus de valeur : la vie elle-même."
 
[Pélé Yoets - Sim'ha]

 

=> Il fait savoir prendre du recul et apprécier à sa juste valeur le fait d'être en vie, le fait d'être juif, ...

La vie est trop courte pour attendre d'en profiter véritablement !!