Aux délices de la Torah

Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

Il est garanti qu'une prière [sincère] amène de la bénédiction.
Si une personne voit que ses prières sont répondues, cela est une forme de bénédiction.
Mais même dans le cas où une personne a prié encore et encore pour une même chose, et qu'elle n'a toujours pas obtenu ce qu'elle désirée, alors Hachem considère comme si elle avait reçu ce qu'elle demandait, et qu'ensuite cela lui avait été repris.
Dans ce cas, c'est également une bénédiction, sous forme d'expiation (kappara).

Cela est une énorme bonté de Hachem, puisque uniquement en implorant D. pour une chose et en ne l'obtenant pas, nous pouvons parvenir au même résultat qu'en subissant des souffrances.
Par exemple, en priant pour une maison encore et encore, et en ne l'obtenant pas, cela est similaire au fait de perdre toute sa maison (idem pour des sommes d'argent, ...).

[rav Aharon Kotler sur la prière - citée par le rabbi Lugassi - rapportée par le rav David Ashear (Séfer li'hyot émouna tome 4 - p.201)]

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-> Le Maharcha (guémara Kidouchin 29b) écrit que toute chose obtenue par le biais de la prière, ne vient jamais réduire nos mérites.
Même si une personne n'est pas digne d'une certaine bénédiction, la prière elle-même en est le paiement.

[ne pas prier, c'est se priver de faire descendre les flux de bénédictions qui n'attendent que d'arriver sur nous, c'est également risquer d'obtenir des choses par un miracle d'Hachem, ce qui viendrait alors réduire nos mérites éternels du monde à Venir.
A l'inverse, même un racha s'il prie, il peut obtenir l'aide de D.!

Hachem est impatient de nous entendre pour avoir la possibilité de nous combler du meilleur, et notre yétser ara fait tout pour que notre prière apparaisse routinière, sans véritable importance à nos yeux, afin que nous négligeons cette opportunité incroyable!]

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-> Le rav Wolbe (Alé Chour) écrit que les difficultés se produisent car la Présence Divine est cachée.
Chaque fois qu'une personne dit une bénédiction avec une conviction que Hachem est activement impliqué dans le monde, alors cela révèle Sa Présence ici, et cela amène une lumière spéciale de Hachem dans ce monde.
C'est alors que d'une manière automatique, les difficultés disparaissent.

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On peut comprendre l'importance des prières (dualité : remercier & demander), par le fait que :
-> "Tout l'objectif de la Création [de ce monde] est afin que nous réalisions que Hachem est notre D., et pour Le remercier de nous avoir créés" (Ramban - fin paracha Bo)

-> "L'objectif des mitsvot est de nous amener à aimer et à nous attacher à D.
Le plus nous avons Hachem à l'esprit, le plus nous Le remercions, et le mieux nous réalisons notre mission dans ce monde." (Ibn Ezra)

"La joie qu'a un juif pour son prochain et les bénédictions qu'il lui souhaite, sont acceptées par Hachem comme les prières du Cohen Gadol dans le Saint des Saints [le jour de Kippour]."

[Baal Chem Tov - Séfer Kéter Chem Tov]

=> Lorsque nous éprouvons une joie sincère pour autrui, c'est similaire aux prières de la personne la plus sainte, dans le lieu le plus saint, le jour le plus saint.

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-> b'h, voir également : https://todahm.com/2017/09/27/5606

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-> La guémara (Béra'hot 53b) dit : "Celui qui répond "amen" à une bénédiction est plus grand que celui qui a dit la bénédiction" (gadol aoné amèn yotér min amévaré'h).

Le Tiféret Shlomo explique la raison : lorsque quelqu'un récite une bénédiction, il remercie Hachem pour l'objet de sa bénédiction (de la nourriture, des amis, une vision, la santé, ...).
Celui qui va répondre "amen" à cette bénédiction, va quant à lui, remercier Hachem pour le bien que son prochain reçoit.
Or, une personne qui remercie D. pour un bienfait d'autrui, est plus grande que celui qui remercie D. pour son propre bienfait.

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-> "Tu aimeras ton prochain comme toi-même" (Kédochim 19,18)

Le Sfat Emet écrit qu'une partie de cette mitsva est d'être heureux des réussites et autres moments joyeux d'autrui.

Une bonne nouvelle de mon prochain ne change rien à ma vie (ex: le mariage d'un de ses enfants, il a gagné une somme d'argent, ...), mais je dois tendre à ressentir les mêmes sentiments/émotions que lui (ex: c'est comme si j'avais marié un de mes enfants, j'avais obtenue une somme d'argent).

-> Par exemple, la guémara (Béra'hot 6b) dit que réjouir les mariés et partager leur joie est équivalent à reconstruire une des ruines de Jérusalem.
[En effet, tel est le pouvoir de partager les sentiments d'autrui.]

=> Certes, nous devons louer et remercier Hachem pour ce qu'Il fait dans notre vie, mais également pour ce qu'Il fait dans la vie de notre prochain.

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Le roi David écrit :
-> "Beaucoup disent: "Qui nous fera voir le bonheur?" (Téhilim 4,7)
= de nombreuses personnes sont dans l'anticipation de recevoir les bontés qu'ils espèrent (un bon chiddoukh, une maison, de l'argent, ...).

-> "Tu me mets plus de joie au cœur [qu’à eux], au temps où abondent leur blé et leur vin" (Téhilim 4,8)
= le roi David affirme qu'il a davantage de joie dans son cœur lorsqu'il voit Hachem donner des bénédictions aux autres personnes.

=> Le roi David était arrivé à ce très haut niveau, et nous devons aspirer à y arriver autant que possible.

La nécessité de remercier Hachem

+ La nécessité de remercier Hachem :

-> La guémara (Shabbath 32a) nous enseigne que si Hachem réalise un miracle pour une personne, cela diminue ses mérites dans le monde à Venir (qui est éternel).

-> Cependant, nos Sages (midrach Téhilim 18) nous rapportent que si Hachem accomplit un miracle pour une personne, et que cette personne chante une chanson de louanges à Hachem pour Le remercier du miracle, alors on pardonnera à cette personne toutes ses fautes.

De plus, reconnaître qu'un miracle provient de D., et l'apprécier, peut permettre également de restaurer les mérites perdus.
=> Par conséquent, non seulement nous ne perdons rien d'avoir bénéficié d'un miracle, mais en plus nous gagnons une expiation totale de nos fautes!

-> Le Shomer Emounim (Maamar Hachga'ha Pratit - chap.23) ajoute que si telle est la récompense pour avoir dit merci à Hachem pour un miracle évident, quelque chose qui n'est vraiment pas difficile à apprécier, alors combien plus en est-il lorsqu'une personne remercie Hachem pour un miracle caché.
Or, nous avons tous des miracles cachés qui se produisent pour nous à chaque instant.
[la naturalité est une autre appellation de la notion de miracle dissimulé (je vois, j'entends, je bouge, ...)]

Le Shomer Emounim (idem.) écrit également que si Yossef haTsadik a atteint autant de réussite, c'est uniquement parce qu'il avait toujours Hachem sur ses lèvres.

Il appelait constamment D. à l'aide, et immédiatement ensuite, il Le remerciait, reconnaissant que c'est Lui qui lui amène la réussite.
La Torah dit à propos de Yossef : "Tout ce qu'il faisait, Hachem le faisait réussir dans sa main" (Vayéchev 39,3).
Ce verset nous enseigne que nous avons tous la possibilité d'avoir la même réussite [que Yossef], pour peu que nous suivons son comportement.

-> "Car Hachem est bon, Sa bonté est éternelle" (ki tov Hachem, léolam 'hasdo - Téhilim 100,5)
Le Shomer Emounim (idem.) explique que lorsque nous proclamons que : "Hachem est bon" [et qu'Il nous aide], alors : "Sa bonté est éternelle" = nous amenons [par cela] Sa bonté sur nous et le monde entier.

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-> Notre âme ressent le plus élevé des plaisirs, lorsque nous nous focalisons sur la bonté de Hachem, et que nous Le remercions pour cela.
Et lorsque notre âme est heureuse, alors nous sommes heureux!
[rabbi Avigdor Miller]

-> Le Yessod véShorech haAvoda écrit que personnellement il remercie Hachem pour la moindre petite bonté dont il peut bénéficier chaque jour.
Le 'Hozé de Lublin dit, qu'il lui a été révélé du Ciel à quel point est appréciée par Hachem, une telle attitude.

[c'est une habitude à avoir, qui est rapide, et dont les résultats sont énormes : plus nous remercions Hachem, et plus Il nous donne des occasions nouvelles de pouvoir Le remercier!]

"Ainsi parle Hachem : ... J'honore qui M'honore, et qui M'outrage sera livré au mépris"
[Chmouel I 2,30]

-> Le Ram'hal (Messilat Yécharim - chap.19) dit qu'une personne peut se réjouir lorsqu'une mitsva qu'elle souhaite réaliser devient plus difficile à accomplir.
En effet, elle a alors l'occasion de démontrer toute la valeur qu'elle accorde à cette mitsva, et à quel point elle aime Hachem.

[cela témoigne concrètement que l'on est prêt à payer un prix d'efforts plus élevé pour cette mitsva, au regard de la difficulté à surmonter].

-> Le Séfer baYam Déré'h ajoute que lorsque l'on accomplit une mitsva qui nécessite un sacrifice personnel, c'est le statut même de la mitsva qui s'élève.
En effet, à partir de ce moment, à chaque fois que nous referons cette mitsva, même si c'est très facile, la récompense sera beaucoup plus élevée, car nous avons pu démontrer à quel point nous sommes prêts à lui accorder de l'importance.

[à chaque fois qu'une mitsva est particulièrement difficile à réaliser, il faut se dire que nous avons la possibilité de réactualiser sa valeur pour toutes les autres fois à venir!]

"Nous vivons dans ce monde [éphémère] avec ce que nous prenons, mais nous vivons pour l'éternité avec ce que nous donnons"

[Sagesse juive]

Il est un fait établi que dans ce monde, c'est uniquement grâce à la prière qu'une personne peut recevoir des bénédictions [Divines].
Il n'y a pas d'autres moyens : certes la Torah et les bonnes actions amènent des mérites énormes, mais cependant elles ne servent qu'à améliorer l'efficacité des prières, qui sont nécessaires pour obtenir ce qu'une personne désire.
Sans prière, rien ne peut être obtenu.
[...]
Si quelqu'un ne prie pas, [et qu'il a malgré tout beaucoup de bénédictions], c'est que quelqu'un d'autre a prié pour lui.
Cela peut être sa mère, sa grand-mère, ses amis, ...

Il s'avère toujours que : la prière est l'unique moyen permettant d'obtenir les bénédictions de Hachem.

[d'après le rav Yé'hezkel Levenstein - cité dans le Séfer Chaaré Aharon p.150]

-> "Quelqu'un aura beau être doté d'une solide émouna et d'un grand bita'hon, s'il ne prie pas, [Hachem] ne lui accordera pas [ce qu'il désire]."
[rav Eliyahou Lopian - Lev Eliyahou (vol.3 - Vaét'hanan)]

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-> Par exemple, la guémara (Nidda 70b) demande ce qu'un homme doit faire pour réussir dans son travail.
Elle répond qu'il faut faire Hichtadlout (travailler afin d'avoir la parnassa nécessaire) et prier [pour la réussite] à Hachem, l'Unique qui possède toutes les richesses (yévakéch mimi chéaochér chélo).

-> On peut également citer l'attitude du 'Hazon Ich, géant en Torah, qui chaque fois qu'il rencontrait une difficulté dans son étude, il fermait ses livres et se tournait vers Hachem pour prier afin qu'Il lui accorde la compréhension.

Le ‘Hazon Ich qui était reconnu pour son étude très intensive de la Torah, a dit une fois qu’il a mis davantage d’efforts dans ses prières que dans son étude de la Torah.
Il a également affirmé qu’il a gagné davantage de compréhension de la Torah par le biais de sa prière, que par le biais de son étude de la Torah intense et constante.

-> "Se plonger dans l'étude [de la Torah] ... sans la prière n'est pas suffisant. Plus on utilise cette ségoula qu'est la prière, plus on a de chances de réussir."
[rav 'Haïm Kanievsky - Dérékh Si'ha p.486]

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-> Le rabbi Lévi Its’hak de Berditchev avait tellement conscience de ce caractère vital, que lorsqu'on le critiqua pour s'être balancé avec enthousiasme durant la prière, il demanda :
"Si vous apercevez une personne qui se noie et qui s'agite dans tous les sens dans l'espoir de se maintenir au-dessus de l'eau ou d'appeler à l'aide, allez-vous critiquer sa conduite?
Lorsque j'essaie de me concentrer sur la prière, mois aussi, je lutte de toutes mes forces pour retenir ma concentration (kavana)."

[plus nous y mettons de cœur/kavana, plus notre prière a de la force pour nous sauver la vie en déversant sur nous davantage de sublimes bénédictions.
La prière est un moment grave (le futur de ma vie en dépend!), c'est véritablement une question de vie ou de mort, et je dois donc m'y investir à fond!]

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-> On peut s'interroger : quelle est la différence entre obtenir une chose sans prier, et l'obtenir avec prière? En effet, le résultat final semble le même!

1°/ Selon le rav Smadja, la règle est que nous avons tous besoin de prier pour obtenir quelque chose. Sinon, ce qu'on a l'est grâce aux prières des autres.
[à défaut d'en acquérir le mérite par nous-même, nous nous sommes servis du compte commun à tous les juifs (et ce peut être au détriment de quelqu'un d'autre qui en avait davantage besoin que nous!).]

2°/ Le Ben Ich 'Haï (Od Yossef 'Haï - Toldot) enseigne que pour chaque flux de bénédiction qui descend, il faut un tuyau qui est le réceptacle pour pouvoir recevoir cette bénédiction, et ce tuyau correspond à la prière.
Quelqu'un qui ne prie pas peut avoir la chose voulue, mais cela ne durera pas forcément.
En effet, c'est uniquement le fait de dire un prière à Hachem qui permet que la demande soit acceptée et qu'elle perdure (elle ne lui sera pas retirée!).

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-> "Si l'homme désire être capable de subvenir à ses besoins, il doit se lever et prier, et réaliser en son âme que sans la téfila, il ne pourra assurer sa subsistance.
Il mettra donc toute sa confiance en Hachem ... [et] pour cette raison, [Hachem] lui viendra en aide.
"
[Rabbénou Yona - Chaaré Téchouva - Chaar 1, 15]

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-> "Le mazal n'exerce pas de contrôle sur Israël"(én mazal léIsraël - guémara Shabbath 156a)

-> "La raison pour laquelle nos Sages mentionnent que les enfants, la vie et les moyens de subsistance sont affectés par le mazal, afin que nous réalisions à quel point la prière est nécessaire pour obtenir ces bénédictions ... avec la prière, le mazal peut être retourné et dépassé."
[Rabbénou Bé'hayé - Dévarim 31,14]

De même, Rabbénou Bé'yahé (Dévarim 11,13) écrit que la prière peut modifier la nature et annuler les mauvais décrets.

"Je donne de la tsédaka à toute personne dans le besoin, peu importe qui elle est.
Après tout, Hachem m'a donné de l'argent. Pourquoi devrais-je être plus spécifique [que Lui] quant à qui je donne?"

[rabbi Moché Leib de Sassov]

Hachem a du plaisir à entendre les louanges que Lui chantent les anges au Ciel.
Encore plus que cela, Hachem apprécie les louanges provenant des âmes des tsadikim au Ciel.
Et encore davantage que cela, Hachem apprécie les louanges provenant des âmes ici dans ce monde, emprisonnées dans un corps, qui n'ont pas la capacité de Le percevoir, et qui malgré tout chantent des louanges remplies d'amour à D.

[Ohr ha'Haïm haKadoch - Kora'h 16,22]

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-> Le Séfer Ki Ata Imadi ajoute que puisque Hachem prend davantage de plaisir des louanges de ceux qui ont du mal à Le distinguer, alors combien davantage en est-il d'une personne qui Le loue alors qu'elle a des souffrances, des difficultés dans sa vie, ce qui l'empêche de voir D., voir l'incite à s'en éloigner.

Si en plein milieux des difficultés, nous exprimons notre confiance, notre amour pour Hachem, alors cela constitue la forme la plus élevée de louange, et cela procure à Hachem une joie/satisfaction énorme!

=> Lorsque nous traversons une période douloureuse/compliquée dans notre vie, notre yétser ara nous incite à penser : comment une personne aussi minable que toi, peut oser faire des louanges à D., qui est si bon envers toi! Tu n'as pas honte!
Mais la réalité est l'exact opposée : de par notre situation, Hachem éprouve grâce à nous une joie bien supérieure à celle des autres personnes.

==> Certes ma situation est difficile et je désire qu'elle s'améliore au plus vite, mais en attendant, tâchons d'en profiter car elle donne à ma prière une valeur exceptionnelle, unique.

Celui qui fait téchouva se sauve non seulement lui-même, mais en purifiant son âme, il sauve également toutes les générations à venir qui sont liées à son âme.
Ainsi, sa téchouva va en arrière pour corriger ses mauvais comportements, et en avant pour redresser la route vers le futur de ses enfants et des générations à venir.

[Sfat Emet]

Les juifs sont tous liés au niveau de leur âme, et ne forment qu'une seule unité.
[Sfat Emet]

[le peuple juif est une entité unique, que seule la matière divise]

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+ Avoir de la reconnaissance envers chaque juif :

-> "Même les juifs les plus insignifiants sont remplis de mitsvot comme une grenade [l’est de graines]."
[guémara Sanhédrin 37a]

=> Nous devons avoir de la gratitude envers tout juif, car nous avons pu profiter indirectement du flux positif qu'a entraîné ses mitsvot.

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+ Aimer chaque juif, pour le mal indirect que nous lui avons infligé :

-> "Les juifs sont tous liés entre eux.
Leurs âmes sont unies, chacune contenant [en elle] une partie de toutes les autres [âmes].
C’est pourquoi : "Tous [les juifs] sont responsables les uns des autres." (guémara Sanhédrin 27b )
[En effet,] Lorsqu’un juif faute, il porte atteinte non seulement à son âme, mais également à sa partie de lui-même qui est présente au sein de tous les autres juifs."
[rabbi Moché Cordovero - Tomer Dévora]

-> Selon la guémara (Shabbath 55a), il y a uniquement 4 personnes dans l'histoire du monde qui sont mortes sans n’avoir jamais fait de faute.
Il s'agit de : Binyamin (le fils de Yaakov), Amran (le père de Moché), Yshaï (le père du roi David) et Kilav (le fils du roi David). Selon certains, on peut y ajouter : Lévy et Yéhochoua.

=> Combien nous devons être remplis de honte face à tout juif pour lui avoir infligé indirectement les conséquences de nos fautes.
Rien que pour cela, nous devons toujours être bienveillants, au point d'en venir à aimer chacun de nos frères juifs.

[en effet, quoiqu'on puisse reprocher à autrui, cela sera toujours inférieur à la la souffrance que nous lui avons imposée à cause de notre mauvais comportement!)]

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b’h, par exemple également à ce sujet :
-> https://todahm.com/2020/07/21/14356-2
-> https://todahm.com/2015/06/24/3470-2