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"Il prit Kora'h, fils de Ytsar, fils de Kéhat, fils de Levi et Datan et Aviram ... Ils se rassemblèrent contre Moché et Aharon" (Kora'h 16,1-3)

-> L'auteur du "Adéret Eliyahou" rapporte au nom du Arizal une explication sur le verset suivant : "Si Cain doit être vengé 7 fois" (ki chiv'atayim youkam (יֻקַּם) Caïn - Béréchit 4,24).
Sache que les lettres du mot יֻקַּם (youkam - vengé) forment les acronymes de : Yitro (יתרו), Kora'h (קרח) et Egyptien (מצרי).
En effet, ces 3 personnages proviennent de la racine de Cain et sont une réincarnation de son âme. Ces 3 réincarnations vont achever leur réparation par l'intermédiaire de Moché qui était la réincarnation d'Hével.

=> Comment est-il possible qu'une âme se réincarne dans trois personnes différentes durant la même génération?

-> L'âme de Cain se divisait en 3 parties : le néfech, le roua'h et la néchama, et chacune d'entre elles s'est réincarnée dans les 3 personnages cités ci-dessus.

Le néfech, qui est la partie la moins élevée de l'âme du fait de son emprise plus importante de la souillure du serpent originel, s'est réincarnée dans l'Égyptien qui était un non juif malveillant où le mal dominait le bien au niveau du néfech.
Moché en tant que réincarnation d'Hével voulut réparer le néfech de Caïn son frère et libérer le bien qui était mélangé au mal de cet Égyptien. Ainsi, il ne le tua pas par l'épée mais en prononçant le Nom divin de 42 lettres afin d'élever les étincelles de sainteté qu'il contenait.

Le roua'h de Caïn se réincarna dans Kora'h, qui était le chef de la tribu de Lévi, et il se rebella malgré tout et suscita la dispute contre Moché.

Enfin, la néchama de Cain se réincarna dans Yitro le beau-père de Moché.
C'est la raison pour laquelle Moché épousa Tsipora sa fille afin de compléter la réparation de Cain, comme cela est expliqué dans le Zohar (tikouné Zohar 69).

Ainsi, une âme peut se réincarner dans plusieurs individus vivant à une même époque, qui devront chacun réparer une partie différente de cette dernière.

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+ "Il prit Kora'h, fils de Ytsar, fils de Kéhat, fils de Levi et Datan et Aviram ... Ils se rassemblèrent contre Moché et Aharon" (Kora'h 16,1-3)

-> Nos Sages (guémara Sanhédrin 109b) demandent ce que signifie l'expression : "Il prit"?
Rech Lakich enseigne qu'il "fit une mauvaise prise".

=> Quel est le secret de cet enseignement?

-> Rabbi 'Haïm Vital (chaar hapessoukim Kora'h) écrit au nom de son maître le Arizal :
Tu dois savoir que Moché contenait en lui la partie pure du néfech d'Hével, comme nous l'avons déjà expliqué.
Toute la génération du désert est comparable aux branches issues du tronc qu'incarnait Moché d'après le secret du verset : "Ce peuple parmi lequel je suis" (Béaaloté'ha 11,21) = tu dois également savoir que c'est la partie impure du roua'h de Caïn qui se réincarna dans Kora'h.

À présent, nous allons expliquer la dispute de Korah avec Moché sous un nouvel angle.
Sache que le néfech d'Hével incluait une multitude d'étincelles d'âme bonnes et mauvaises qui se sont mélangées. Les étincelles impures étaient au nombre de 308, tandis que les étincelles pures d'Hével étaient au nombre de 37, comme la valeur numérique de son nom.
En effet, il fut nommé Hével (הבל) au nom des étincelles d'âmes pures qu'il contenait.
Hével (הבל) ne répara que 37 étincelles de son âme sur les 345 qu'elle contenait car il contempla la Présence divine et sa vie fut écourtée.

Ainsi, lorsque tu soustrais la valeur numérique du nom de Hével (הבל) soit 37 à celle de Moché (משה) soit 345, tu obtiens le nom de Kora'h (קרח) soit 308.
Les 308 étincelles d'âme impures d'Hével se sont retrouvées essentiellement réincarnées dans le néfech de Kora'h, dont la valeur numérique de son nom est de 308.
Par contre Moché, qui était la réincarnation d'Hével, était parfaitement bon et sa réparation était complète, comme il est écrit : "La femme conçut et donna naissance à un fils. Elle le vit, il était bon" (Chémot 2,2). Ainsi, Moché avait la capacité de réparer les étincelles de l'âme de Kora'h.

Cependant, après s'être rebellé contre Moché, même la partie impure du roua'h de Caïn s'est attaché au roua'h de Kora'h. Il ajouta du mal au mal qu'il avait déjà en lui et ne put y faire face. Et c'est la raison pour laquelle il fut intégralement effacé du monde, corps et âme.

C'est le secret du début de notre verset : "Il fit une mauvaise prise". Qu'a-t-il pris?
Il prit le mauvais côté du roua'h de Caïn.

Ainsi, lorsque Kora'h vit que la partie négative du roua'h de Cain s'attacha à lui, il ne put se soumettre à Moché et s'insurgea contre lui.
Ainsi cette dispute (ma'hloket) prit racine de la toute première ma'hloket de l'humanité qui amena
le meurtre dans le monde.

-> Nous pouvons également ajouter un autre enseignement :
le nom de Kora'h (קרח) a la même valeur numérique que les termes צד רוח (tsad roua'h - le côté du roua'h) car il hérita seulement d'un seul côté de cette partie de l'âme qui est la partie impure de Cain, tandis que la partie pure se réincarna dans le prophète Chmouel, comme le rapporte le Ari Zal. (chaar haguilgoulim - hakdama 8).
[Tsor ha'Haïm - Kora'h]

"Dans le judaïsme, le mariage n'est pas le couronnement, mais la racine de l'amour"

[Rabbi Shimshon Raphaël Hirsch - Béréchit 24,67]

A l'image de Its'hak avec Rivka, qui plus ils vivaient ensemble, plus son amour pour elle grandissait!
"La plus grande douleur de l'âme, c'est de voir après la mort ce que l'homme aurait pu atteindre et n'a pas atteint lorsqu'il était en vie"
[Gaon de Vilna]
Le yétser ara est là pour nous faire perdre notre temps, avec des occupations futiles/vaines.
Dans le monde de vérité, nous ferons face à ce que l'on aurait pu être.
Résisterons-nous à la comparaison?

"Ils sortirent des propos diffamatoires de la Terre" (Chéla'h Lé'ha 14,32)

-> Le Maguid Mécharim explique que les explorateurs avaient compris que Moché n'entrerait pas en personne en Terre Sainte, comme l’avaient prophétisé Eldad et Medad à la fin de la paracha précédente (Béaaloté'ha). Ils ont dit : Moché va mourir et ce sera Yéhochoua qui mènera le peuple en Terre Sainte.
Pour prolonger la vie de Moché, les explorateurs ont préféré médire sur la Terre Sainte et retarder ainsi leur entrée.

=> Selon cet avis, les explorateurs étaient mus par de bonnes intentions, mais si c’est ainsi, pourquoi ont-ils été punis si sévèrement?

-> En fait, un homme est tenu de suivre les commandements de Hachem, même si cela est en première analyse à son désavantage. L'homme placera sa confiance en Hachem qui saura « s’arranger » même de façon à défier la logique pour "arranger les choses".
Lorsque Hachem voit que l’on place toute sa confiance en Lui et que l’on suit ses commandements, sans tenir compte de notre désavantage pour favoriser Ses mitsvot, Il saura intervenir pour ne pas qu'on en sorte perdant. Calev et Yéhochoua , les deux explorateurs qui se sont distingués des autres explorateurs en ne dénigrant pas la Terre Sainte, ont finalement vécu 40 ans de plus avec Moché. Si les explorateurs avaient eu la même attitude que Calev et de Yéhochoua, Hachem aurait su trouver une autre solution pour laisser vivre Moché auprès d’eux.

L’homme doit savoir que Hachem est Tout-Puissant. Il dépasse les contradictions et les incompréhensions. L’homme doit suivre Ses commandements et accomplir les mitsvot, avec la confiance intègre que Hachem lui fera du Bien et qu'il ne pourra pas sortir perdant d'une mitsva. Alors Hachem lui montrera Sa Grandeur et Ses Merveilles et il verra de façon tout à fait inattendue, comment Il a fait tourner les événements à son avantage.
Cela aura pour effet final d’augmenter la émouna de l’homme envers Hachem.
Rappelons-nous qu'un homme ne perd jamais en restant fidèle à Hachem. Il lui faut renforcer sa confiance en Lui et se conformer à Sa Volonté. Hachem saura faire le reste.
[Mé haChiloa'h]

"Une femme qui s'écarte" (ki tichté ichto - Nasso 5,12)

La Torah utilise ici le terme "tichté" (תִשְׂטֶה - qui s'écarte), évoquant la folie (שטות - chetout), pour enseigner qu'un homme ne peut commettre de faute, que si un esprit de folie s'est emparé de lui.
["Un homme ne peut fauter que si un esprit de folie pénètre en lui" (guémara Sotah 3a) ]
Un homme pleinement conscient de l'impact de ses actes, ne pourrait commettre la moindre faute.

=> Mais pourquoi la Torah a t-elle choisi la situation de la femme "sota" qui se dévie de son mari afin de donner cette leçon, commune à toutes les fautes?

En fait, la Torah veut nous apprendre que la relation entre Hachem et son peuple est similaire à celle d'un homme et son épouse. Hachem a pris le peuple juif pour épouse, si on peut ainsi dire. Il lui a donné Sa Torah et les mitsvot, qui sont les moyens pour Israël de Lui rester fidèle.
Par chaque faute commise, il trahit Hachem, à l'image d'une femme qui trahit son mari en se rapprochant d'un autre homme. Tous les plaisirs interdits par la Torah sont en fait assimilés au plaisir que cette femme adultère pense trouver chez un autre homme.
Bien entendu, ce plaisir ne peut être vraiment épanouissant. Au contraire, il finit par causer de l'amertume et des conséquences dommageables.

[Likouté Si'hot]

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-> La guémara (Sota 3a) déclare : "Une personne ne commet une transgression que si l’esprit de folie (roua'h chetout - רוח שטות) s’empare d’elle», et le texte cité pour l’appuyer est une phrase de notre paracha : "Si une épouse se détourne (Tisté - תשטה) de son mari et lui devient infidèle" (Nasso 5,12). [Chetout et Tisté dérivent de la même racine]
Ainsi, Rachi rapportant cet enseignement talmudique, cite le verset du roi Salomon : "Commettre un adultère, c’est être insensé, qui veut se perdre agit ainsi" (Michlé 6,32).

=> Quel rapport y a-t-il entre la faute en général et la femme Sota (l’épouse soupçonnée d’adultère)? Pourquoi l’adultère est-il de toutes les transgressions, celle qui montre que le péché est toujours irrationnel et absurde.

La réponse est que l’adultère est le prototype même de toute transgression.
En effet, le péché d’adultère dans la loi juive s’applique, bien entendu, seulement si la femme en question est mariée, d’où la phrase : "Si une épouse se détourne de son mari».
Or, le peuple juif dans son ensemble est considéré comme l’épouse de D. En effet, le lien forgé entre eux au Mont Sinaï était semblable à celui d’un mariage.
Plus précisément, le Kli Yakar, au début de la Paracha de Bamidbar, nous explique que les fiançailles entre Hachem et Israël (et donc chaque juif individuellement) eurent lieu lors de au don de la Torah, tandis que le Mariage proprement dit a été célébré lors de l’édification du Michkan.

Ainsi, chaque fois qu’un juif commet une faute, si légère soit-elle, il trahit l’Alliance, "le contrat matrimonial", entre lui-même et Hachem. Il est coupable d’adultère spirituel, d’infidélité envers son partenaire Divin.
Tel est donc le rapport entre notre verset sur la femme Sota et l’enseignement de la guémara sur la folie de la faute.

=> Pourquoi un péché, même insignifiant, est-il "folie"?
Parce qu’il provoque une rupture du lien entre l’homme et D., inacceptable du point de vue de la raison.

=> Et pourquoi la faute provoque-t-elle une telle rupture?
Car lorsqu’un juif commet une transgression même légère, c’est un geste d’infidélité et une trahison envers le Mariage contracté au mont Sinaï.
Aucun juif ne désire cette infidélité qui crée une "rupture" avec son Créateur. Si un tel fait insensé est possible, c’est parce que l’homme succombe malheureusement aux aspirations de son yétser ara dont le nom שטן (Satan) s’apparente à celui de שטות (chtout - folie).

La phrase "Si une épouse se détourne de son mari" ne s’applique pas à la femme convaincue d’adultère, mais seulement à celle soupçonnée d’adultère. Ainsi, cette accusation est-elle de courte durée.
En effet, si, après que le nécessaire a été fait pour déterminer si le soupçon est fondé, l’épouse est déclarée innocente, non seulement elle est lavée de toute souillure, mais aussi retourne à son mari et connait la bénédiction.
Cet espoir concerne aussi l’homme qui a fauté. Il ne doit pas tomber dans le désespoir mais au contraire, il doit se souvenir qu’il peut toujours se rapprocher à nouveau du Créateur. Quand il fera téchouva et retrouvera la pureté de l’innocence, il s’efforcera de se rapprocher véritablement de Lui (Hachem), jusqu’à ce que "mari et femme soient unis", et que la présence du Divin soit révélée en son âme. [et à l'image de la femme Sota, il bénéficiera de la bénédiction Divine (d'une certaine façon, c'est la joie de papa Hachem de nous voir revenir près de Lui, de renouer nos liens d'amour/proximité par la téchouva)]
Telle est la délivrance personnelle, prélude à la Délivrance collective.
[Collel de Sarcelles - feuillet de la communauté 5783]

"Après la mort des deux enfants de Aharon" (A'haré mot 16,1)

=> Pourquoi le verset dit-il : "Après la mort des deux enfants de Aharon"? On sait bien que seuls deux de ses enfants sont morts. Le verset aurait donc dû dire : "Après la mort des enfants de Aharon"!

-> Le Zohar explique que l'âme de Nadav et Avihou ont obtenu leur réparation au moment où Pin'has a tué Zimri, qui s'adonnait à la débauche avec Kozbi Bat Tsour, une princesse de Midyan (voir fin de Parachat Balak).
Au moment où Pin'has les tua, il fut pris d'effroi, craignant que Zimri ne le mette à mort. Alors, son âme quitta son corps, du fait de cette peur. Et ce sont les âmes de Nadav et Avihou qui s'unirent pour ne former qu'une, qui s'introduisirent dans le corps de Pin'has pour lui redonner vie. C'est à partir de là que Pin'has devint Cohen et devint l'ange de l'alliance, que l'on connaît aussi sous le nom de Eliyahou hanNavi.

C'est ainsi que le verset dit : "Après la mort des deux enfants de Aharon", car ils moururent en tant que deux enfants d'Aharon. Mais par la suite, leurs âmes se réunirent en une seule âme pour devenir l'âme de Pin'has. Ainsi, certes, en tant que deux âmes, ils moururent, mais pas en tant qu'une.
Cela fait allusion au fait que ces deux âmes seront appelées à s'unir. Et alors, elles reviendront dans le corps de Pin'has pour lui donner vie. [Maguid Mécharim]

Pour faire allusion au fait que cette réparation des âmes de Nadav et Avihou en Pin'has se réalisera au moment où Zimri se débauchera avec une femme impie Midyanite, c'est pourquoi, la paracha précédente (Métsora) s'achève par les mots : "Et pour un homme qui s'accouple avec une femme impure".
Puis, la Torah enchaîne avec notre verset : "Après la mort des deux enfants d'Aharon". Allusion au fait que leurs âmes seront réparées lorsque Zimri se débauchera avec une femme impure, Kozbi Bat Tsour. Lorsque alors, Pin'has les mettra à mort, il recevra les âmes de Nadav et Avihou, ce qui sera pour eux une réparation.
[Zer Zahav]

Adrian dit à Rabbi Yéhochoua : "Grande est la brebis (le peuple juif) qui se tient au milieu de 70 loups."
[Rabbi Yéhochoua] répondit : "Grand est le berger (Hachem) qui la sauve et la protège et qui les détruit sous ses yeux."
[midrach Tan'houma - Toldot ]

"Maintenant donc, de grâce, que la puissance de Hachem se déploie, comme Tu l’as déclaré en disant … Oh! Pardonne le crime de ce peuple selon Ta clémence infinie … Hachem répondit : Je pardonne, selon ta demande" (Chéla'h Lé'ha 14,17-20)

-> Le Ohr ha’haïm enseigne :
Lorsqu’un verset s’ouvre par le terme véata (maintenant donc), cela se réfère au repentir des réchaïm, qui entraîne une sanctification du Nom divin dans le monde. En effet, quand les ¨réchaïm se rebellent contre Hachem, puis se repentent et améliorent leur conduite, le pouvoir du mal se trouve annihilé et, simultanément, celui de la sainteté se renforce dans le monde.

C’est pourquoi nos Sages (guémara Béra'hot 34b) affirment : "Là où les repentis se tiennent, les justes parfaits ne peuvent se tenir". Car, les repentis ont le mérite de sanctifier le Nom divin à un niveau supérieur à tous.

Dans notre verset, en employant le terme véata, Moché demande à Hachem d’accepter le repentir des enfants d’Israël et de leur pardonner leur péché, car, par ce biais, Sa puissance se trouvera amplifiée et Son Nom glorifié, comme le souligne la suite des versets précités : "Mais aussi vrai que Je suis vivant et que la majesté de Hachem remplit toute la terre".

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-> Le Rambam (Hilkhot Téchouva 7,7) de dire :
"Quelle est formidable/merveilleuse la téchouva!
Un jour, une personne peut être séparée de D., et le jour d'après, elle peut être attachée à la présence divine."

-> Le Rambam de nous dire aussi (Hilkhot Téchouva 7,4) :
"Une personne qui a fait téchouva est aimée et chérie par D., comme si elle n'avait rien transgressé".

=> Quelque soit les fautes que nous avons pu faire, la téchouva nous permet non seulement de sanctifier le Nom Divin, mais également d'être aimé et adoré par Hachem.
[c'est renforcer la sainteté et la présence Divine dans le monde]

Les Téfilines

+ Les Téfilines :

Les êtres malfaisants et les nations du monde ont peur de celui qui met les Téfiline.
En effet, il est dit : "Et tous les peuples de la terre verront que le nom d'Hachem est associé au tien et ils te craindront" (Ki Tavo 28,10), et selon Rabbi El'azar, ce sont les Téfiline de la tête qui inspirent la crainte aux peuples étrangers.

De même, quand les Sages affirment que les Tsadikim (Justes) seront assis dans le monde futur avec une couronne sur la tête, ils font allusion aux Téfiline.
[rav 'Haïm Vital - Chaaré Kédoucha 2,6]

+ Ce qui empêche nos prières de se réaliser :

Selon le rav Saadia Gaon, il y a 7 raisons pour lesquelles les prières ne sont pas exaucées :
1- Le décret édicté à son encontre a déjà été scellé.
2- Sa prière est récitée sans ferveur.
3- Il déteste la Torah et fait fi de ses commandements.
4- Il reste sourd aux cris de détresse des pauvres.
5- Il se nourrit du fruit du vol et de l'escroquerie.
6- Il prie en état d'impureté ou de malpropreté.
7- Il prie sans s'être repenti de ses fautes.