Faites preuve d'une grande compassion envers votre corps.
Aidez-le à se réjouir de toutes les intuitions et perceptions spirituelles que l'âme perçoit.
Votre âme voit et comprend toujours des choses très élevées. Mais le corps n'en sait rien.
Ayez de la compassion pour la chair de votre corps. Purifiez-la. Alors l'âme pourra l'informer de tout ce qu'elle voit et comprend en permanence.
[rabbi Na'man de Breslev - Likouté Moharan I, 22:5 ]
Catégorie : 7- Relation avec la matérialité
"Ceux qui les fabriquent deviendront comme eux, tous ceux qui leur font confiance"(Téhilim 115,8)
-> Ceci est dit à propos des fabricants d'idoles et de leurs adorateurs.
Le Messé'h 'Hokhma (Yitro) écrit que la confiance en Hachem définit notre identité (intérieure) : celui qui fait confiance à des choses inanimées devient spirituellement terne. À l'inverse, faire confiance à Hachem anime (donne de la vie à) l'âme.
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-> "Car tu es mon espoir, Hachem, ma confiance depuis ma jeunesse" (Téhilim 71,5)
-> Le Tanya (Iguéret haKodech 11) explique que "l'espoir" et la "confiance" ne sont pas des sentiments passifs, mais qu'ils sont enracinés dans le daat, la conscience intérieure que Hachem est la seule source de soutien.
Une relation de confiance avec Hachem tout au long de la vie apporte de la cohérence à toutes les étapes de la vie.
Notre relation notre monde matériel (par le Baal Shem Tov)
+ Notre relation notre monde matériel (par le Baal Shem Tov) :
-> Gardez à l'esprit que tout dans le monde est rempli du Créateur, béni soit-Il. Tout ce qui se produit à travers les pensées de l'homme à l'aide de divers dispositifs, même la chose la plus insignifiante qui se passe dans le monde, tout cela est par Sa providence, béni soit-Il.
Ainsi, cela ne devrait faire aucune différence pour vous que votre objectif ait été atteint comme vous le souhaitiez ou non. Comme tout vient du Créateur, vous savez qu'il est préférable pour vous que les choses ne se soient pas déroulées comme vous le souhaitiez.
Gardez à l'esprit que tout, que ce soit le monde des Sphères, le monde des anges ou le monde du Trône, n'est rien devant Lui. Car tout se trouve dans l'espace vide de Sa lumière restreinte, de Sa contraction de Soi, et tout a été créé par une seule parole.
Pourquoi alors devriez-vous être attiré par quoi que ce soit de désirable dans ces mondes alors que tout n'est qu'une seule parole de [D.] ? Il vaut mieux s'attacher au-delà des mondes, à ce qui est primordial, c'est-à-dire au Créateur, plutôt que de s'attacher à quelque chose qui est subordonné.
[toute chose prend racine dans le Divin, alors autant se réjouir directement à la racine, dans sa source qui est permise. ]
C'est ce que signifie le Zohar (II;134b) lorsqu'il dit : "Heureux les justes qui savent fixer leur volonté sur le Roi suprême, et non sur ce monde et ses vains désirs" ; car tous les mondes sont destinés à la destruction. [Sanhédrin 97a]
[ les mystiques s'accordent généralement à dire que cela ne doit pas être pris au sens littéral, mais fait référence à la destruction de tous les aspects négatifs et au renouvellement de l'univers à un niveau sublime de pureté - rav 'Haïm Vital - cité dans Ohr Hakhama sur Zohar II;10a ]
Gardez donc toujours à l'esprit de vous attacher au Créateur, d'un amour total qui soit plus grand que celui que vous portez à toute autre chose au monde ; car tout ce qui est bon dans ce monde trouve sa source en Lui.
Pensez (en vous-même) : "Je souhaite toujours apporter satisfaction à [D.], Le servir constamment".
Vos pensées doivent toujours être attachées au Monde Suprême, à [D.]. C'est ce à quoi fait allusion le verset "il ne quittera pas le sanctuaire" (Vayikra 21,12).
[Nous sommes là où se trouve votre pensée. Ainsi, lorsque notre pensée est concentrée sur le monde Suprême, nous ne le quittons jamais vraiment.]
Lorsque vous devez parler longuement de questions mondaines, pensez que vous descendez du Monde Suprême vers le bas. Soyez comme quelqu'un qui quitte sa maison pour aller dehors avec l'intention de revenir immédiatement, en pensant tout au long de son départ : "Quand pourrai-je rentrer chez moi?"
De même, même lorsque vous parlez de questions relative à ce monde, pensez toujours au monde Suprême, car c'est là que se trouve votre demeure principale auprès du Créateur, et ramenez immédiatement vos pensées à leur attachement originel.
David dit ainsi à son fils Salomon : "Je m'en vais par le chemin de toute la terre (I Méla'him 2,2), c'est-à-dire comme une personne en voyage dont l'esprit et le désir sont tournés vers le retour à la maison dans la plus grande hâte.
[Baal Shem Tov - Tsava'at haRivach - 84 ]
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-> Sans l'effusion et la vitalité d'Hachem, l'homme est incapable de faire le moindre mouvement. [Likiutim Yékarim, sect.54 ; Kéter Shem Tov, sect.200 ]
En ce sens, on peut donc dire que "le Créateur est dans chaque mouvement, et qu'il est impossible de faire le moindre mouvement ou de prononcer la moindre parole sans la capacité conférée par le Créateur. C'est en effet le sens de "toute la terre est remplie de Sa gloire" (Yéchayahou 6,3)". [Maguid Dévarav LéYaakov - sect.38 ; Kéter Shem Tov, sect.273 ]
-> "Les justes (tsadikim) ... considèrent ce monde comme insignifiant, et leur séjour ici n'est que temporaire ... Tout comme un étranger aspire à retourner dans son lieu de naissance, eux aussi aspirent à retourner à leurs racines et à leur origine"
[rabbénou Bé'hayé - Kad Hakéma'h]
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-> Voici un autre enseignement du Baal Shem Tov (Tsava'at haRivach - 90) :
Si vous voyez soudainement une belle femme, réfléchissez : "D'où vient sa beauté? Si elle était morte, elle n'aurait plus cette apparence ; d'où vient donc sa [beauté]?
Il faut nécessairement dire qu'elle vient de la force divine qui se diffuse en elle. C'est elle qui lui donne sa beauté et son teint rouge. La racine de la beauté se trouve donc dans la force divine.
Pourquoi alors devrais-je être attiré par une simple partie? Je ferais mieux de m'attacher à "la racine et au cœur de tous les mondes" (Hachem) où se trouvent toutes les formes de beauté."
Il en va de même lorsque l'on observe d'autres objets physiques, tels qu'un récipient.
Dites-vous : "D'où viennent la beauté et la forme de ce récipient? Sa substance matérielle est clairement sans valeur. Cependant, sa beauté et sa forme, sont la réalité spirituelle et vitale du récipient, qui est une partie divine d'En Haut [car la vitalité de toutes les choses physiques est une partie divine d'En Haut - tout élément/objet dans ce monde doit avoir une étincelle de divinité (plus ou moins importante) rien que pour pouvoir exister. ].
De même, lorsque vous mangez, gardez à l'esprit que le goût et la douceur des aliments proviennent de la force vitalisante (qui lui donne sa vie) et de la douceur d'En Haut, et que c'est là leur vitalité. Car la matière inorganique possède elle aussi une force vitale (étincelle de divinité), comme le prouve le fait qu'elle existe et qu'elle est durable.
Il s'ensuit donc que la vitalité divine d'En Haut se trouve partout.
En considérant les choses de cette manière, vous les regardez avec votre esprit, et cela n'est pas fait pour vous faire plaisir, mais en relation avec l'Ein Sof (Hachem), béni soit-Il. Cela est efficace pour nier les pensées (inappropriées).
C'est un principe établi que ce que vous pensez pendant la journée affecte les pensées que vous avez lorsque vous dormez et rêvez. Ainsi, en suivant la procédure ci-dessus tout au long de la journée, vous mériterez de voir dans vos rêves la force de vie de cet objet physique. Votre vision (perception empirique) pendant la journée n'est que physique ; mais lorsque votre pensée s'attarde sur la réalité spirituelle inhérente au matériel, alors dans votre rêve, vous verrez la spiritualité nue, dépouillée de son vêtement (extérieur). Car [le terme] 'halom (rêve) est une expression de "périodes de 'halim" (Roch Hachana 28a), qui signifie fort, solide.
Pendant la journée, la force de vie de l'homme est faible parce qu'il est lié à son corps [matériel] ; c'est pourquoi il ne voit pas la force de vie inhérente aux matières physiques.
Cependant, la nuit, la force de vie s'étend au-delà du corps ; elle est donc forte et permet de percevoir la force de vie (étincelle de divinité) elle-même.
Cela peut conduire à des niveaux de prophétie. Ainsi, il est écrit de tous les prophètes que "je lui parle dans un rêve" (Béaaloté'ha 12,6), à l'exception de Moché, notre maître, qui était capable de percevoir la force vitale de la matière physique même lorsqu'il était éveillé.
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-> La force de vie de toute chose est une étincelle de la Chékhina.
Et cela même la matière inorganique (c'est-à-dire la poussière, les pierres, ...), qui se doit de possèder nécessairement une force de vie spirituelle, tout comme les végétaux, les animaux et les êtres humains.
[rabbi 'Haïm Vital - Eits 'Haïm 39,3 ; voir aussi Tanya - Chaar Hayi'houd, chap.1-2 ]
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-> Toute chose prend racine dans le Divin, alors autant se réjouir directement à la racine, dans sa source qui est permise.
En ce sens, le Baal Shem Tov donne une exemple : "Si j'aime cet 'chose', comme par exemple une femme, qui n'est qu'une "goutte putride" (Avot 3,1), combien plus devrais-je aimer Hachem!"
De même (selon le Baal Shem Tov), lorsque vous voyez quelque chose qui vous fait peur, dites-vous : "Pourquoi devrais-je avoir peur de cela? Ce n'est qu'un être humain comme moi, sans parler d'un animal ou d'une bête. Puisque le D. redoutable, est investi dans cet être [lui permettant d'exister], à combien plus forte raison devrais-je craindre [D.] Lui-même!"
La matérialité empêche une personne de voir la bonté d’Hachem
+ La matérialité empêche une personne de voir la bonté d'Hachem :
-> L'une des raisons pour lesquelles les yeux d'une personne sont aveuglés, l'amenant à penser que ce qui lui arrive est mauvais, est qu'elle est plongée dans les affaires de ce monde. En se concentrant jour après jour sur la matérialité, elle devient matérialiste et incapable de percevoir la main d'Hachem qui guide les événements.
Ensuite, lorsqu'elle voit quelque chose qui lui semble incompréhensible, elle pose des questions hérétiques au lieu de réaliser que ses yeux la trompent.
La vraie question concerne sa propre personne : pourquoi s'est-elle autant éloignée? Si cette personne ne cesse pas de courir après les futilités de ce monde, elle peut tomber si bas qu'elle en devient aveugle même aux miracles manifestes d'Hachem, qui sont clairement surnaturels.
Le rav Elimélé'h de Lizhensk (Noam Elimélé'h - sur Dévarim 1,32-33) enseigne :
"Lorsqu'une personne est préoccupée jour après jour par les choses matérielles et les affaires de ce monde, elle devient tellement matérialiste qu'elle ne croit même plus aux miracles et aux prodiges qui sont visiblement évidents."
Le même principe s'applique également dans le sens inverse et, conformément à la règle selon laquelle une mesure positive est toujours plus grande.
Le rav Elimélé'h indique un moyen d'atteindre la sainteté et de se libérer des chaînes de la futilité de ce monde, est de prêter attention aux grands miracles et aux merveilles que Hachem accomplit constamment pour nous. Grâce à cela, nous devenons purifiés et sanctifiés avec une grande sainteté."
Bien que, d'une part, la matérialité de ce monde nous empêche de discerner les merveilles d'Hachem, le résultat est qu'en contemplant activement la grandeur d'Hachem telle qu'elle se manifeste à travers Ses miracles, nous pouvons devenir grandement purifiés et sanctifiés.
=> Nous voyons que lorsqu'une personne contemple les miracles et les merveilles que Hachem accomplit pour elle à chaque instant (petits comme grands), cela inspire son âme à atteindre des niveaux élevés de sainteté, comme l'enseigne le Noam Elimélé'h, car les merveilles d'Hachem ont le pouvoir particulier d'étonner une personne et de laisser une impression sur son âme.
[rabbi David Abou'hatséra - maamaré Emouna ouBita'hon]
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-> Le rabbi Mendel de Kotzk disait que les grands immeubles cachent le ciel, et laissent la sensation à l'homme qu'il maîtrise les choses (c'est bon Hachem on n'a pas vraiment besoin de toi, on gère!).
On peut éventuellement ajouter que le rav Elimélé'h nous recommande de trouver pleins de bontés, de miracles, qu'Hachem fait pour nous. En effet, c'est comme si on faisait des trous dans ces immeubles nous coupant du Ciel, et que malgré la matérialité qui nous enveloppe de partout, on sait que derrière il y a le Ciel, papa Hachem qui nous aime, qui fait tout ...
On met alors de la vie, on fait battre notre coeur de juif(ve).
-> Cela peut également se retrouver dans le Shéma Israël, où l'on va se couvrir les yeux pour amoindrir l'influence du monde matériel, pouvant alors pleinement se focaliser sur l'Unité d'Hachem, en ressentant à quel point Il nous comble de miracles à chaque seconde, à quel point toute chose de ce monde n'existe et ne dépend que de Lui.
Notre relation avec l’argent & idolâtrie
+ Notre relation avec l'argent & idolâtrie :
-> Rabbi Yaakov Abou'hatséra (Pitou'hé 'Hotam - Chémini) déplorait que le désir d'argent aveugle les gens. Il avertissait que ce désir équivaut à l'idolâtrie, une sorte de Veau d'or, et reflète un manque de confiance en Hachem.
-> De même, rabbi Elimélé'h de Lizhensk (dans Iguéret HaKodech) enseigne qu'il était impossible [à nos Sages] de détruire complètement la force spirituelle derrière la tentation à l'idolâtrie, elle était simplement redirigée, et maintenant elle sème la confusion dans l'esprit des gens en les poussant à courir sans limite après l'argent et la richesse.
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-> Rabbi Yaakov Abou'hatséra (Pitou'hé 'Hotam - Chémini), le Abir Yaakov, écrit :
"En raison de nos nombreux péchés, cette mauvaise chose [la recherche de la richesse] aveugle les yeux des gens et engourdit leur cœur, les éloignant du service d'Hachem.
Grâce à cela, le yétser ara a trouvé un argument puissant pour convaincre tous les individus, lui permettant de régner sur eux et de les asservir, petits et grands. À cet égard, chaque génération est pire que la précédente : l'homme riche augmente ses revenus, et son œil n'est jamais rassasié par sa richesse, tandis que l'homme pauvre ne diminue pas ses efforts, car il dit que travailler jour et nuit ne lui suffira pas pour subvenir aux besoins de sa famille.
Par conséquent, aucun individu n'atteint la paix ou la sérénité dans ses pensées ou ses actes. C'est pratiquement l'idolâtrie de notre époque, à D. ne plaise.
En conséquence, la sainte Torah est niée et les prières sont également négligées, car les gens suivent de nombreux chemins tortueux, celui-ci partant en mer, celui-là voyageant sur la terre ferme, et ainsi de suite ...
Ceux qui sont consumés par la soif d'acquérir des richesses, au point de négliger la Torah et la prière dans leur quête, nient tout simplement la Providence de Hachem, le fait qu'Il nourrit et soutient tout le monde, et que par Sa volonté, Il augmentera ou diminuera [la parnassa d'une personne] ; tout ce qu'Il souhaite, Il le fera.
S'ils croyaient en Son contrôle absolu, comment auraient-ils pu négliger de Le prier?
Ils sont certainement des incroyants, ignorant le verset qui s'exclame : "Tu te souviendras d'Hachem, ton D. : c'est Lui qui te donne la force de faire fortune" (Ekev 8,18).
Ceux qui comptent sur Hachem sont reconnaissables à leurs bonnes actions : Ils ne manquent pas une seule prière ; s'ils ont un horaire fixe pour l'étude de la Torah, ils ne le manquent jamais ; et ils ne sont pas consumés par la cupidité comme les autres, mais placent leur confiance en Hachem.
Ceux qui sont avides d'argent sont aveuglés, car ils ont vu mais n'ont pas réfléchi au fait que tous ceux qui convoitent l'argent finiront sans rien (on emporte rien de matériel après la mort) ; tous leurs efforts auront été vains."
En chaque juif réside une âme sainte qui ne souhaite que faire la volonté d'Hachem de toutes ses forces.
Mais cette âme est recouverte de nombreux voiles qui ont parfois leurs propres désirs et influencent les actions d'une personne. Cela est particulièrement vrai si ces pulsions sont influencées par un environnement qui ne suit pas la voie d'Hachem.
[rabbi Yaakov Ades]
Si une personne mange avec gloutonnerie, ou sans la motivation appropriée, et se repent immédiatement, son repas est élevé vers la sainteté comme les offrandes de pain mangées par les Cohanim.
[rav Avraham Kook - Orot haTéchouva 14,8-10 & 14,5 ]
Hachem siège dans les Hauteurs de l'univers et distribue de la nourriture à chaque créature.
[en ce sens dans le Hallel nous louons Hachem pour Sa bonté : "Qui donne la nourriture à toute chair" (noten lé'hem lé'hol bassar - Téhilim 136,25) ]
[guémara Pessa'him 118a]
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-> La guémara (Avoda Zara 3b) rapporte que Hachem veille à la subsistance de la plus petite créature à la plus imposante.
[depuis les mondes Supérieurs, Hachem veille sur chaque chose qui se déroule dans ce monde. Rien ne peut se passer sans un décret Divin le permettant (ex: se cogner le petit doigt), que ce soit la plus petite et routinière des choses, ou bien la plus grande et exceptionnelle. ]
"Avant de manger et de boire, une personne a deux cœurs, mais après avoir mangé et bu, elle n'a plus qu'un seul cœur" (guémara Baba Batra 12b).
-> La guémara ne dit pas quel cœur reste après avoir mangé et bu, car cela dépend : Si quelqu'un mange et boit juste pour satisfaire son désir physique et sa convoitise, alors le yétser ara est aux commandes, et le cœur après avoir mangé et bu est un cœur insensé qui suivra le yétser ara.
A l'inverse, si quelqu'un mange et boit avec sainteté, c'est-à-dire en se lavant les mains avant et après et en récitant des bénédictions, dans le but de servir davantage Hachem, alors son repas et sa boisson complètent son cœur et le rendent tout entier à son Père céleste.
[rav Tsadok haCohen]
Injecter de l’âme dans notre nourriture lors de nos repas
+ Injecter de l'âme dans notre nourriture lors de nos repas :
"Vous servirez Hachem votre D. et Il bénira ton pain et ton eau" (Michpatim 23,25)
-> Lorsque nous prononçons des paroles de Torah au cours de nos repas, ces paroles deviennent l'âme de l'aspect physique (de la nourriture) qui se trouve sur la table.
Nous devons toujours parler beaucoup de Torah pendant nos repas, pendant la semaine, et d'autant plus, le Shabbath.
[Baal Chem Tov - Kéter Chem Tov - partie 2, p.4b]