Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

-> La mort n'est qu'un passage d'une maison [éphémère] à une autre [qui nous sera éternelle].
Si nous sommes intelligents, nous faisons tout notre possible pour faire de la dernière la plus belle des maisons.
[rabbi Ména'hém Mendel de Kotsk]

-> La mort n'est rien d'autre qu'un passage d'un coin de l'univers à un autre.
[Baal Chem Tov]

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-> "Je ne mourrai point, mais je vivrai" (Téhilim 118,17)

Il faut s'assurer de ne pas être un mort vivant.
[rabbi Its'hak de Vorka]

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-> D'après le 'Hafets 'Haïm, nous nous préoccupons tant d'avoir suffisamment pour ce monde, mais combien davantage doit-on alors se préoccuper d'avoir suffisamment pour après notre mort!

-> Le rabbi de Loubavitch dit que chaque juif à l'image de D. doit faire "revivre le morts", c'est-à-dire insuffler de la vie et de la vitalité dans chaque juif (et cela commence par nous-même!).
C'est comme faire une résurrection d'un corps mort (apathique) par un esprit vivant.

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-> Je n'ai pas peur de la mort. En effet, c'est ce pour quoi je suis né.
Par contre, j'ai peur de devoir mourir comme un animal. Ce n'est pas du tout pour cela que je suis né.

[rabbi Moché haCohen de Razvadov]

[à chaque instant, à nous de surmonter notre nature animale, et d'agir avec toute la noblesse d'un juif! ]

"Israël, c'est par toi que Je Me couvre de gloire" (Yéchayahou 49,3)

-> Hachem déclare que Sa source de fierté dans l'univers est Israël (les juifs).
[rav Nathan Scherman]

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-> Nos Sages (Tana déBé Eliyahou rabba 1,7) affirment : "Hachem est content de Sa part (saméa'h bé'helko)"
Pour le Gaon de Vilna, cela signifie que Hachem est content des juifs (qui s'appellent la part de Hachem) quelque soit leur niveau.

-> Le Arizal (16e siècle) dit à son élève rabbi 'Haïm Vital que la grandeur d'âme ne dépend pas des actions comme les perçoit l'homme, car c'est Hachem qui sonde les cœurs.
Il disait qu'à son époque (il y a 500 ans, dans la ville sainte de Sfat!), une petite action vaut de nombreuses actions des précédentes générations, car l'impureté et le mal ont beaucoup augmenté à notre époque.

Si tu veux savoir quelle est ta mission unique, ne cherche pas plus loin que le domaine même dans lequel ton yétser ara te pousse le plus à fauter.
[rav Tsadok haCohen]

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-> Le trait de caractère qui nous demande le plus d'efforts, de lutte à améliorer, est précisément là où nous avons le plus grand potentiel de pureté.
C'est ces fautes que nous faisons le plus souvent, celles qui nous attirent le plus, que nous sommes ici à réparer.
[Gaon de Vilna - Even Chléma 1]

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-> Un mauvais trait de caractère peut agir comme un feu qui détruit tout ce qui se tient sur son passage ; maîtrisant notre intelligence et détruisant notre âme.
[rav Yé'hezkel Levenstein]

-> La fondation du futur de la vie d'une personne, n'est pas son intellect ou bien son étude de la Torah, mais ce sont ses traits de caractère (midot).
[rav Michel Yéhouda Lefkowitz]

-> La Torah toute entière dépend de l'amélioration des traits de caractère.
[Or'hot Tsadikim]

C'est uniquement au sujet de la fête de Yom Tov de Souccot qu'il est écrit : "vous la célébrerez ... 7 jours chaque année (Emor 23,42).
Cela implique que ces 7 jours de joie constituent le récipient diffusant la joie pendant toute l'année.

De même, dans notre kiddouch de Yom Tov, nous faisons référence à nos fêtes comme des "moadim lésim'ha" (un moment fixé pour se réjouir), plutôt que "moadim bésim'ha" (un moment fixé de réjouissances). Cela nous enseigne que nos Yamin Tovim ne sont pas uniquement des jours où l'on se réjouit, mais également des jours où l'on va stocker de la joie pour le restant de l'année

[Sfat Emet]

Une personne peut penser que le but de son comportement est de sanctifier le Nom de Hachem, alors qu'en réalité son but est de sanctifier son propre nom.

[rav Israël Salanter]

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-> Le rav Dessler (Mikhtav méEliyahou vol.3) nous avertit que de nombreuses personnes pensent à tord qu'elles essaient d'amener de l'honneur à Hachem, alors qu'en réalité elles sont focalisées à obtenir du respect et de la reconnaissance pour elles mêmes.
Une telle personne est focalisée (consciemment ou inconsciemment) sur ce que le monde extérieur peut lui faire gagner (ex: des honneurs).
Celui qui désire véritablement créer du kiddouch Hachem a un autre indicateur : est-ce que mes actions sont en accord avec la véritable Volonté de D.

-> Il existe une seule définition juive du kiddouch Hachem (sanctification du Nom de D.) : vivre en accord avec les ordres de D., à la fois selon la lettre et selon l'esprit ...
Pour en rester convaincu, nous devons avoir en tête les paroles de rabbénou Yona : "Mieux vaut subir des moqueries pendant toute sa vie sur terre que d'être raillé par Hachem fût-ce un seul instant dans le monde à venir."
[rabbi Nathan Scherman]

[on peut avoir tendance à se créer le Hachem que nous voulons, pour mieux en venir à adorer notre égo.]

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-> "Aux yeux de l'homme, toutes ses voies paraissent droites, mais D. sonde les cœurs." (Michlé 21,2)

-> Nos Sages (guémara 102b) rapporte que Achav était à la fois un frère (ach) de Hachem, et à la fois un père (av) de l’idolâtrie.
Cet exemple illustre à quel point nous pouvons en venir à se mentir à soi-même, en ayant des actions totalement opposées.

-> Il n'y a pas de plus grande faute que de penser que nous n'avons aucune faute.
[rabbi Sim'ha Bounim de Peshischa]

Procéder à une évaluation de soi-même fréquemment est la seule chose qui sauve un homme du Guéhinam.

[Ram'hal]

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-> Une personne qui n'étudie pas les ouvrages [juifs] d'amélioration personnelle (moussar) est considérée dans la même catégorie que quelqu'un qui a commis un suicide.
[rav Hillel de Kolomaya]

-> Selon nos Sages une des pires fautes est le suicide personnel : ce que l'on fait lorsque nous n'exploitons pas au maximum nos capacités personnelles, notre temps, ...
[en effet, à chaque fois nous tuons une potentialité de vie octroyée par Hachem, en ne lui permettant pas d'exister réellement. On tue alors une partie de nous même!]

A chaque fois qu'une personne est capable de dominer son yétser ara et de faire le bon choix, alors elle amène de la gloire à Hachem.

[Zohar - paracha Térouma]

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-> La guémara ('Houlin 91a) dit que lorsque Yaakov se battait contre l'ange, la poussière de leur bataille s'élevait jusqu'au Trône Divin.
Certains commentateurs expliquent que Yaakov se battait contre son yétser ara, et l'odeur agréable de cette lutte s'élevait vers Hachem et Lui amenait de la satisfaction.

=> Lorsque l'on se bat contre notre yétser ara, il faut se focaliser sur le positif : nous renforçons la gloire de D. dans ce monde, et chaque miette d'effort que nous faisons s'élève jusqu'à Hachem et Lui apporte une satisfaction énorme, ...

Certes c'est fatiguant de lutter contre notre yétser ara, mais plus on y mettra d'efforts, plus cela sera apprécié par D. et grandira encore davantage Son Nom!

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-> Lorsque Yaakov s’est battu contre l’ange d’Essav, il est écrit : "un homme [ange] lutta avec lui" (vayéavék ich imo – וַיֵּאָבֵק אִישׁ עִמּוֹ), et le mot : "vayéavék" (lutta – ויאבק) a la même guématria que : kissé hakavod (Trône de Gloire d'Hachem - כסא הכבוד) [en comptant le 1 du kollel].
[le Baal haTourim]

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-> Malgré les multiples tentations qu'exerce le mauvais penchant sur l'homme pour le faire fauter, dans son for intérieur et dans le fond de "son cœur", le yétser ara souhaite que le juif le domine afin de satisfaire Hachem.
Ainsi, lorsque le juifs gagne contre son penchant et ne succombe pas à la tentation, le mauvais penchant en éprouve une très grande joie car cela permet de réaliser doublement la volonté du Créateur :
1°/ Lui-même accomplit le rôle que lui attribua le Créateur, c'est-à-dire éprouver l'homme.
2°/ L'homme remplit la volonté du Créateur en n'écoutant pas les conseils de son penchant.

A ce moment-là, une très grande joie remplit les cieux et le mauvais penchant a le mérite de réciter un cantique devant son Créateur, car alors il a rempli sa mission d'une façon pleine et entière.
Mais si le juif succombe aux incitations du mauvais penchant, cela est considéré comme une rébellion contre la volonté Divine et cela entraîne une grande "souffrance" pour le Maître du monde.
Dans ce cas, à cause de cette "douleur", l'ange n'a pas le mérite de réciter un cantique.

[basé sur le Maguid de Koznitz (dans son Avodat Israël) ; rapporté par le rabbi Pin'has Friedman]

-> Le rabbi Pin'has Friedman ajoute :
Au sujet du combat entre Yaakov et l'ange, nos Sages disent que la poussière de leurs pieds monta jusqu'au Trône Divin, toute la nuit jusqu'au matin ... (cf.Vayichla'h 32,27) ... et alors selon la guémara ('Houlin 71b), [l'ange devait partir car] : "Depuis l'instant où j'ai été créé, le moment pour moi d'entonner un cantique n'est jamais venu jusqu'à ce jour".
La raison est que c'est précisément maintenant après que Yaakov l'ait vaincu d'une victoire complète et entière, qu'est arrivé le moment tant attendu de dire un cantique devant le Créateur sur cette grande victoire.
En effet, ici, ce n'est pas seulement le mauvais penchant qui remplit sa mission en combattant Yaakov, mais ce fut également la victoire de Yaakov sur le mauvais penchant. Cela réjouit pleinement le Créateur et donc méritait un cantique.

A ce sujet l'Admour de Belz dit : après la victoire de Yaakov contre l'ange d'Essav, il est écrit : "Yaakov demanda (à l'ange) et dit : dis-moi ton nom ; il répondit : pourquoi demandes-tu mon nom, et il le bénit là-bas".
D'après le sens littéral lorsqu'il est écrit "il le bénit là-bas", c'est l'ange qui bénit Yaakov d'après sa propre demande : "Je ne te laisserai pas partir jusqu'à ce que tu 'aies béni".
Cependant dans la traduction de Yonathan ben Ouziel, il est écrit : "Yaakov le bénit là-bas" = c'est-à-dire qu'en fait, c'est Yaakov qui bénit l'ange et non pas le contraire.

Sur ce point, l'Admour de Belz s'étonne : "Existe-t-il une sorte de bénédiction qui conviendrait pour bénir l'ange d'Essav, le mauvais penchant (yétser ara)?"
L'admour explique que lorsqu'est arrivé le moment pour l'ange d'Essav de chanter un cantique par le mérite d'avoir été vaincu par Yaakov, alors Yaakov le bénit : "Que tu puisses toujours mériter de te soumettre devant les enfants d'Israël et de dire des cantiques sur leurs victoires". Amen!

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-> Le Ben Ich 'Haï (Ben Yéhoyada) nous explique que pour mener son combat physique avec Yaakov, le Satan dut se vêtir d’un corps matériel et descendre dans ce bas monde. Le danger encouru par cette chute vertigineuse (du Ciel à la terre), s’est accru lorsque le Patriarche le saisit pour lui porter un coup mortel. De toute son existence, jamais le Satan ne s’était trouvé dans une situation aussi défavorable.
Ainsi, lorsqu’il réussit à s’échapper des mains de Yaakov, fallait-il qu’il remonte au Ciel afin de remercier Hachem pour le miracle dont il fut gratifié, à l’instar d’un malade qui guérit ou un détenu qui sort de prison qui se doivent de réciter la bénédiction du "Gomel" en guise de remerciement à Hachem pour Ses Bontés octroyées.
La louange devant D. que devait réciter le Satan, à l’aube du jour qui suivit son combat avec Yaakov, fut une première dans toute son existence.

-> sur ce verset, voir également : https://todahm.com/2015/12/27/4179-2

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-> b'h, également : https://todahm.com/2020/09/21/15139

Les souffrances de l'exil pourraient conduire le juif au désespoir.
Cependant, ce désespoir provient seulement de son être physique.
Lorsque le juif est à l'écoute de son âme et se rend compte qu'elle dit : "Hachem est mon lot", il aura foi en son Créateur malgré toutes ses souffrances.

[Méam Loez - Eikha 3,24]

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-> On ne peut saisir la bonté de D. que si l'on recherche ... son âme.
Tant qu'on recherche des gratifications matérielles, on ne se sent jamais satisfait.
Quand on "recherche son âme", on peut connaître le bien véritable et comprendre que les difficultés sont des présents de D. destinés à nous élever et à nous purifier.
[rabbi Yonathan Eibschutz - Eikha 3,25]

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-> L'homme doit accepter la souffrance avec amour, puisqu'il sait que c'est D. qui l'a décrétée.
[Rachi - Eikha 3,28]

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-> "Quand Il [D.] a frappé, Il exerce Sa piété selon l'étendue de Sa bonté" (Eikha 3,32)
Rachi commente : L'attribut Divin de rétribution n'est qu'un moyen par lequel D. accordera Sa pitié par la suite. La punition expie la faute et rend l'homme digne de recevoir les bontés de D.

Selon le Alchikh haKadoch, ce verset veut dire : "Lorsque l'homme médite [sur ses fautes et se repent], Hachem exerce Sa pitié selon l'étendu de Sa bonté".

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-> Bien que le prophète Yirmiyahou (à qui l'on attribue le livre de Eikha) se soit lamenté de toutes les difficultés d'Israël, il considère ces tourments comme "les bontés de D." (Eikha 3,22).
Toutes les souffrances sont des bénédictions cachées destinées à élever Israël à un niveau supérieur de service de D.
[Méam Loez - Eikha 3,22]

-> b'h, notre relation avec les souffrances : https://todahm.com/2017/12/11/notre-relation-avec-les-souffrances

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-> "De quoi donc se plaindrait l'homme vivant, si ce n'est de ses péchés?" (Eikha 3,39)

-> Le midrach (Eikha 3,13) commente :
De quoi se plaindrait un homme vivant? N'est-ce pas suffisant qu'il soit vivant?
Rabbi Lévi dit : Hachem déclare : Ta vie est dans Ma main ... et tu te plains?
Rabbi Bérakhya dit : Pourquoi se plaindre de sa vie en ce monde? Il faut se plaindre de ses péchés! ...

La tendance à se plaindre est héritée d'Adam harichone. Bien que D. lui ait donné tout ce dont il avait besoin au Gan Eden, il a fauté et s'est plaint, en accusant 'Hava de la faute qu'il a commise ...
La foi parfaite en Hachem implique d'accepter Sa volonté même lorsque les événements semblent mauvais.

-> Rachi commente :
L'homme doit comprendre qu'il est jugé par D., qui est Juge équitable.
[Ainsi, de quoi les hommes se plaindraient-ils? Si un homme ressent le besoin de déplorer sa situation, il doit se rendre compte que sa propre conduite est en faute.]

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-> Lorsqu'une personne souffre, que D. préserve, elle ne doit pas dire que les choses sont "mauvaises", mais plutôt, que la situation est "amère".
En effet, Hachem ne fait jamais rien qui est mauvais.
C'est à l'image d'un médicament qui peut être très amer à prendre, mais qui nous est très bénéfique au final. De même tout événement qui nous arrive, dans ses moindres détails, a été décrété/administré par Hachem, et au final tout est pour notre meilleur bénéfice, même si sur le moment cela peut nous paraître amer.
[rav Moché de Kobrin]

Chaque miette de douleur ou de plaisir qu'une personne va vivre au cours de l'année est déterminée à Roch Hachana.
[Stéïpler - Karyana déIgrasa 2,26]

-> Rabbi Pessa'h Eliyahou Falk (Makhzé Eliyahou - Introduction à la partie 2) commente cela par un exemple.

Si quelqu'un fait une faute (avéra) qui lui apporte du plaisir, alors en plus des conséquences négatives liées directement à la réalisation d'une faute, il va également réduire le montant global de plaisir qu'il aurait dû recevoir cette année de façon permise.

[D'un côté, on peut souffrir pour étudier la Torah (faire des actes de bonté, ...), et par là se dispenser d'autres souffrances.
D'un autre côté, on peut prendre plaisir dans nos fautes, et alors on aura moins de plaisir dans notre vie (ex: avec notre famille).]

Hachem calcule les émotions de chaque personne avec une telle précision, que l'on ne peut ressentir quoique ce soit sans Son accord.
Tout est fait par amour et miséricorde, et seul Hachem sait ce que chacun a véritablement besoin.

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-> Puisque nous devons tous avoir des soucis et des préoccupations dans la vie, cela a plus de sens de porter le fardeau de luttes spirituelles, qui vont au final conduire à des bénédictions et du bonheur, plutôt que de perdre nos efforts dans des soucis quelconques de ce monde, qui vont épuiser émotionnellement une personne et lui offrir si peu en retour.
['Hafets 'Haïm]

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-> b'h, au sujet de la parnassa déterminée à Roch Hachana : https://todahm.com/2019/10/03/10940

[En entendant] chacun des commandements sortir de la bouche d'Hachem, les Bné Israël ont rendant l'âme, [et Hachem] fit descendre la rosée qui, dans l'avenir, ressuscitera les morts et ressuscita ces morts.

Au fur et à mesure que chaque commandement sortait de la bouche d'Hachem, le monde entier s'emplissait de l'arôme des épices parfumées.
Si le monde en était déjà si rempli après le premier commandement, où est allé cet arôme pour qu'il se remplisse à nouveau après le deuxième commandement?
Hachem a libéré un vent de sa réserve dont les courants ont dissipé chaque vague de parfum à tour de rôle.
[guémara Shabbath 88b]

=> Mais pourquoi l'âme des juifs s'est-elle éteinte en entendant les commandements?

-> Pour répondre à cette question, examinons la transition que le peuple a effectuée à ce moment-là (du don de la Torah au mont Sinaï).
Au départ, ils étaient des non juifs justes qui n'étaient pas encore obligés par la Torah et ils sont devenus des juifs observant la Torah.
L'âme d'un non juif qui observe les 7 lois noa'hides, aussi précieuse soit-elle, est insignifiante par rapport à l'âme d'un juif qui observe l'ensemble des 613 commandements.
La "transplantation" qui s'est produite au Sinaï, la greffe de cette nouvelle âme juive sur l'âme beaucoup plus petite qu'ils avaient auparavant, a été une expérience si traumatisante qu'ils ont perdu conscience, leurs âmes ont expiré.
[Sfat Emet - Shavouot 5649 ]

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[issu du dvar Torah : https://todahm.com/2024/06/07/42514 ]