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 "Ceux qui s'imaginent que la Torah et les mitsvot sont accessoires et ne comptent pas dans la construction du pays [d'Israël] commettent une grave erreur.

La terre d'Israël étant le palais du Roi, les péchés qui y sont commis sont nuisibles à l'extrême ..."

[le 'Hafets 'Haïm]

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"Afin que le pays ne vous vomisse pas" (A'harei Moth 18,28)

-> Rachi de dire : "la terre d'Israël ne peut conserver les pécheurs".

-> Le 'Hafets 'Haïm de nous enseigner : "Si nous ne prenons pas soin d'observer scrupuleusement la Torah, rien n'y fera, ni un état, ni la langue.
Il en a toujours été ainsi.
Nos ancêtres ont vécu en terre d'Israël, puis ils ont été exilés en raison de leurs péchés.

D. a affirmé [par l'intermédiaire du] prophète (Yé'hezkiel 39,23) : "Les nations sauront que c'est à cause de son iniquité que la maison d'Israël a été exilé, parce qu'ils M'ont été infidèles, Je leur ai caché Ma face, et Je les ai livrés dans les mains de leurs oppresseurs." "

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-> "La terre d'Israël n'est pas comme les autres terres, et ne peut pas tolérer ceux qui transgressent (les mitsvot) ...
C'est pourquoi, toute personne allant en Israël se doit de trembler, et doit doubler et tripler sa crainte du Ciel qu'elle avait en dehors d'Israël, car elle doit savoir qu'elle réside (maintenant) dans le palais du Roi."

[Chela haKadoch - Chaar haOtiot]

Il y écrit également que chaque juif doit désirer aller vivre en Israël : "comme un enfant courant vers les genoux de sa mère", et également le fait qu'à chaque instant on y pratique une mitsva (d'y habiter), ce qui fait que l'on doit constamment s'en réjouir.

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-> "La terre d'Israël est un lieu saint ... et comme le dit la guémara : "Quiconque est plus grand que son ami a un yétser ara plus grand que le sien" (guémara Soucca 52a).

Il en est de même des lieux particuliers.
Comme la sainteté est plus grande en Israël, il existe davantage de barrières et de forces contraires, et un yétser ara plus fort.
Par conséquent, [en terre d'Israël,] les épreuves et les défis y sont plus grands et peuvent conduire à la faute."

[le Sfat Emet]

[Il faut être davantage vigilant lorsque l'on est en Israël, car de même qu'il y a une potentialité accrue d'aller très très haut, il y a un attrait accru de descendre très très bas, et ce afin d'assurer la persistance du libre arbitre. ]

" Toutes les souffrances qui arrivent aux juifs le sont car ils ne désirent pas ardemment la terre d'Israël"

[midrach Téhilim 17,1]

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-> "L'unique objectif de toutes nos afflictions est de nous réveiller à retourner à notre sainte terre [d'Israël]."
[rabbi Yissa'har Shlomo Teichtal - Ein haBanim Sémé'ha]

-> Rabbi Yaakov Emden (le Yaavets - Siddour beit Yaakov) écrit que si le peuple juif traverse un exil aussi long, c'est une punition Divine pour les juifs pour leur faute monumentale : celle d'être indifférant à la terre d'Israël.
b'h, voir : http://todahm.com/2018/05/30/6484

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-> "A chaque fois que les juifs en exil ressentent qu'ils vivent dans des demeures permanentes, c'est un signe certain que des malheurs leur arriveront.
Par la colère et la haine, ils vont bientôt apprendre qu'ils ne sont que des invités non désirables dans les terres des non-juifs."
[Rav 'Haïm de Kosov]

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-> Nous allons voir b'h 2 illustrations de cela :

1°/ Rabbi Bounim de Peshischa dit qu'il y a 2 moyens de faire bouger un animal : soit en l'appelant verbalement, soit en le frappant (plus ou moins fortement).
Il demande : "Ne devons-nous pas tenir compte de l'appel de Hachem pour la terre d'Israël, et ne pas attendre jusqu'à ce qu'Il en vienne à nous frapper avec Son bâton?"

Le Méchéch Chochma (paracha Bé'houkotaï) a écrit 40 ans avant la 2e guerre mondiale :
"Il arrivera un jour où les juifs de Berlin penseront qu’ils vivent à Jérusalem.
A ce moment, il y aura des horreurs indescriptibles."

Il enseigne que cette attitude va amener une puissante tempête, une qui va les détacher de leurs racines, les posant parmi d'autres gens, dans une répétition de l'histoire juive, jusqu'à ce que les juifs réalisent que c'est uniquement la terre d'Israël qui est l'endroit où ils pourront trouver du repos.

[Hachem désire que nous venons résider en Israël.
Il nous accorde de longues périodes de calme, ainsi qu'un exil confortable (comme une magnifique salle d'attente, de transit!), nous appelant et attendant constamment notre retour en Israël.
Lorsque nous oublions que nous sommes en exil (c'est beau, c'est confortable, agréable, ...), alors Il est obligé de nous "taper" pour que nous bougeons en Israël ... ]

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2°/ Durant la période des croisades (1095-1291), beaucoup de juifs ont été tués dans les villes allemandes de Worms, de Mayence et de Spire.
Chacune de ces villes a subi de terribles tragédies, mais c'est à Worms, que les souffrances ont été les plus importantes.

Rav Yé'hiel Halperin (Séder haDorot) fait remarquer que Worms est une des communautés les plus anciennes en dehors d’Israël, et elle a commencé par se développer lorsqu'un groupe de juifs s’y est installé après la destruction du 1er Temple.

Lorsqu'on a annoncé à cette communauté, que le 2e Temple allait être reconstruit, leur réponse a été : "Vous restez où vous êtes dans la grande Jérusalem, pendant que nous restons ici dans notre petite Jérusalem".
Ils en sont arrivés à oublier où se situe leur véritable maison.

Rachi (guémara Kidouchin 69b) rapporte qu'à cette époque c'est seulement les pauvres et les opprimés qui sont allés en Israël avec Ezra haSofer.
Les autres ont préféré garder leur richesse, leur position sociale et autres avantages.

Selon le 'Hovot Yaïr (Rabbi Yaïr Bacharach), Rabbi Zeira était très peiné de constater qu'autant de juifs restaient en Babylonie (après y avoir été exilés) plutôt que d'aller en Israël avec Ezra haSofer, les appelant : "les Babyloniens fous" (guémara Beitsa 16a), car si les juifs étaient allés en Israël, il y aurait eu une délivrance définitive (la guéoula).

"Il n'y a pas de bénédiction dans une propriété que l'on possède en dehors d'Israël (èn baém béra'ha), mais cependant lorsque tu retourneras dans la terre de tes ancêtres, Je (Hachem) serais avec toi"

[midrach Béréchit rabba 74,1 - paroles de Rech Lakich ]

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-> "Celui qui construit une maison [permanente] afin d'agrandir son domicile en dehors d'Israël, sans avoir une pensée de revenir en Israël ... ne sera pas protégé du danger chez lui, car par cela il étend son séjour en dehors d'Israël."
[le 'Hatam Sofer - dans ses téchouvot sur Yoré Déa 138]

-> Le Chla haKadoch déplorait le fait que les riches construisaient de luxueuses maisons permanentes dans une terre impure (en dehors d'Israël), rendant apparent le fait qu'ils avaient complètement oublié la venue de la guéoula.

[Le Chla écrit : "Si Hachem t'a donné de la richesse, construit une demeure modeste répondant à tes besoins essentiels, mais pas plus"]

"Il vaut mieux habiter dans les déserts de la terre d'Israël que dans les palaces en dehors d'Israël"

[Avraham Avinou - midrach Béréchit rabba 39,8]

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-> "On doit toujours habiter en terre d'Israël, même dans une ville où la plupart des gens sont idolâtres, et non en dehors, même dans une ville à majorité juive, car quiconque vit en terre d'Israël est semblable à quelqu'un qui a un D., et quiconque vit ailleurs est semblable à quelqu'un qui n'a pas de D."
[guémara Kétoubot 110b]

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-> "Mieux vaut un morceau de pain sec mangé en paix, qu'une maison pleine de festins accompagnés de disputes" (Michlé 17,1)

Le midrach (Yalkout Chimoni 2,956) commente :
- "Mieux vaut un morceau de pain sec mangé en paix" = rabbi Yo'hanan a dit : Cela désigne la terre d'Israël, car même si une personne mange du pain sec et du sel quotidiennement en demeurant en terre d'Israël, elle est assurée d'obtenir une part dans le monde futur.
- "qu'une maison pleine de festins accompagnés de disputes" = cela désigne ce qui est hors d'Israël ('houts laarets), qui est plein de violence et de vol."

-> "Il est plus grand d'être un simple ouvrier en Israël que d'être un rabbin en dehors d'Israël"

[Rabbi Yossef 'Haïm Sonnenfeld - rapporté par rabbi Hillel Danziger]

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-> "Toute personne qui a les moyens de venir vivre en Israël et ne le fait pas, devra rendre des comptes pour cela au Ciel"

[Rabbi Yossef 'Haïm Sonnenfeld]

"L'âme du peuple juif est sa sainte Torah, et son corps est la terre d'Israël.
[...]
La terre d'Israël sans Torah n'est qu'un bout de terrain, un corps sans âme ; seuls les 2 réunis en un, sont bons."

['Hafets 'Haïm al haTorah - paracha Bo]

"Une terre où coule le lait et le miel" (Ki Tissa 3,33)

Selon le 'Hatam Sofer (sur guémara 'Houlin 142b) bien que le sens simple de ce verset soit vrai (les fruits d'Israël sont bénis matériellement), il nous apprend quelque chose d'ordre spirituel.
En Israël, les fruits ont une intense concentration de sainteté.

Une Torah pure, sans aucune déformation, est dénommée : "du miel et du lait coulent sous ta langue" (Chir haChirim 4,11).
Ainsi, manger des fruits d'Israël, c'est faire rentrer en soi une sainteté, qui va nous permettre de davantage aimer Hachem et d'avoir davantage d'attachement à Lui.

Le 'Hatam Sofer fait remarquer que : "Où coule le lait et le miel" (זבת חלב ודבש - zavat 'halav oudvach), a les dernières lettres qui forment : שבת (Shabbath).
En effet, de même que la nourriture de Shabbath (notre Shabbath dans le temps) a une sainteté spéciale, il en est de même avec celle de la terre d'Israël (notre Sabbath dans l'espace).

D'ailleurs, c'est peut être pour cela que Moché a dit aux explorateurs : "Vous prendrez des fruits de la Terre" (Chéla'h Lé'ha 13,20).
Il avait conscience que le yétser ara allait tout faire pour que cette mission, très importante pour l'avenir du peuple juif, soit un échec.
Il avait également conscience que le fait de manger des fruits d'Israël allait donner davantage de forces pour surmonter les défis.

Malheureusement, au lieu de l'écouter en les mangeant, les explorateurs les ont ramené afin de pouvoir encore mieux dénigrer la terre.

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-> Une terre où coule le lait et le miel" : cette expression est aussi une allusion aux Secrets de la Torah, comme l’enseigne la guémara (‘Haguiga 13a) : "[A la question posée par les Sages à Rav Yossef : "Apprends-nous le récit du Char Céleste (la vision de Ezéchiel)?" celui-ci leur répondit: ]
"Le Miel et le Lait sous ta langue" (Chir haChirim 4,11), cela [signifie que] les choses qui sont plus douces que le Miel et le Lait (les Secrets de la Torah) doivent rester sous ta langue (cachées)".

[Le mot ‘Halav (lait - חלב) est l’acronyme de ‘Hokhma (Sagesse - חכמה), Lav (32 - ל"ב) [allusion aux 32 Sentiers de la Sagesse].
De même, le mot Dvach (miel - דבש) est l’acronyme de Daat (Savoir - דעת), Bina (Entendement - דעת) et Sékhel (Esprit - שכל).
Tout cela est une allusion au fait que "la Terre d’Israël (où coulent le Lait et le Miel) rend sage" (guémara Baba Batra 158b).
'Hatam Sofer]

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-> "[Une Terre] qui ruisselle de Lait et de Miel" = cette expression est mentionnée 16 fois dans la Torah et 5 fois dans les Prophètes – selon le Baal Hatourim sur Dévarim 6,3.
La première citation de cette formule apparaît dans l’épisode du "Buisson Ardent", lorsque D. annonça à Moché la Délivrance de Son Peuple : "Je suis descendu pour le délivrer de la main des Egyptiens, et pour le faire monter depuis cette contrée-là vers une contrée belle et spacieuse, vers un Pays qui ruisselle de lait et miel".
[de même, lorsque les explorateurs revinrent de leur séjour, ils commencèrent leur récit par les termes suivants :
"Nous sommes entrés dans le Pays où tu (Moché) nous avais envoyés : oui, vraiment, il ruisselle de Lait et de Miel, et voici son fruit" (Chéla'h Lé'ha 13,27)]

-> Le midrach (Mékhilta de RachBi, 13,5) enseigne :
"Rabbi Elièzer a dit : Le lait, c’est le lait des fruits. Le miel, c’est le miel de dattes.
Rabbi Akiva a dit : Le lait, c’est vraiment du lait, aussi est-il dit : ‘En ce jour, les montagnes ruisselleront du jus de la vigne, les collines feront couler du lait’ (Yoël 4,18). Le miel, c’est le miel du bois (fabriqué par les abeilles), aussi est-il dit : ‘En arrivant dans le bois, le Peuple vit du miel ruisselant’ (Chmouël I 14,26)".

-> "Tu écouteras donc, Israël, et tu observeras avec soin, afin de prospérer et de multiplier sans mesure, ainsi que Hachem, D. de tes pères, te l'a promis, dans ce pays ruisselant de lait et de miel" (Vaét'hanan 6,3).
Rabbi Elièzer et Yonathan Ben Ouziel (Vaét'hanan 6,3) semblent être du même avis (la référence aux fruits d’Israël) puisque ce dernier "traduit" notre expression par : "Une Terre dont les fruits sont gras comme le lait et doux comme le miel".
De même, Rabbi Akiva et Onkelos sont du même avis (la référence à la Terre elle-même), puisque ce dernier traduit l’expression par : "Une Terre qui fabrique du lait et miel".

-> Le guémara (Ketouvot 112a) raconte : "Rami Ben Ezéchiel passait un jour à Bné Brak lorsqu’il remarqua des chèvres qui broutaient sous un figuier ruisselant de miel, tandis que de leur mamelles tombaient des gouttes que de leurs mamelles tombaient des gouttes de lait. Et le lait se mêlait au miel. ‘Une Terre qui ruisselle de
lait et miel’, se dit-il"
[le lait fait ici référence au lait de l’animal, tandis que le miel se réfère au miel des fruits].
C’est à la suite de cette vision que Rami Ben Ezéchiel comprit que l’expression: ‘Une Terre qui ruisselle de lait et miel' signfiie : "une Terre où se mélange le lait (de la mère) avec le miel (de la Terre)".
[Chvout Yaakov]

"Tu te lèveras et tu monteras vers l'endroit que Hachem ton D. choisira" (Choftim 17,8)

-> Le Sifri de commenter : "Cela nous enseigne que la terre d'Israël est plus élevée que toutes les autres terres, et que le Temple est plus élevé que toute la terre d'Israël."

D'un point de vue géographique, l'Everest est le point le plus élevé du monde, comment comprendre l'affirmation du Sifri?

Le Kaftor vaFérach (Rabbi Ashtori haParchi) explique que Hachem a a créé le monde à partir de la Pierre de Fondation (éven shétiya), qui est située sur le mont du Temple, là où se tenait le Saint des Saints.
Ainsi, c'est de cette pierre que s'est développée Jérusalem, puis la terre d'Israël, et seulement ensuite le restant du monde.

Puisque la terre est ronde, quel pays peut se déclarer comme étant au-dessus des autres (la Chine, les Etats-Unis, ...)?

La seule façon de répondre est de demander à Son Créateur, par où a-t-Il commencé sa formation.
Le 1er endroit qui a émergé est le plus élevé, puisqu'étant l'ADN, qui par effet effet domino va créer Jérusalem, puis Israël, puis le restant du globe.

=> Ainsi, le monde ressemble à un Etrog, dont le Temple est la tête couronné qui règne sur l'ensemble du globe, et dont l'Everest n'est qu'une bosse sur un des côtés.

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-> Le roi Chlomo décrit le monde comme : "La terre [d'Israël] et ses cours" (Michlé 8,26).

Ce qui montre à quel point Israël en est son centre principal.

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-> "Je me suis fait des jardins et des vergers et j'y ai planté toutes sortes d'arbres fruitiers" (Kohélet 2,5)

Le roi Chlomo rapporte qu'il a planté en Israël toutes les sortes d'arbres et de végétations qui existent au travers le monde.

Comment cela est-il possible, sachant qu'un climat approprié est nécessaire à chaque fois?

Rachi, répond en citant le midrach Tan'houma (Kédochim 10).
Comme on a pu le voir précédemment, le monde entier s'est développé à partir d'Israël.
La terre d'Israël, qui est la base du développement du monde entier, possède une multitude de canaux, dont chacun est relié à un endroit du monde qu'il permet d'alimenter.

Le roi Chlomo dans sa sagesse, a pu identifier le lien de correspondance pour chacun de ces canaux, et il y a planté les arbres et les végétations appropriés.
Par exemple, il a mis un poivrier d'Ethiopie (Koush), sur le canal menant à l'Ethiopie, afin qu'il puisse avoir les minéraux et le climat propices à un développement optimal.

=> Face à toutes les merveilles que l'on peut trouver à travers le monde, on doit se dire qu'elles proviennent toutes d'Israël.
Sachons l'apprécier à sa juste valeur!

"Il n’y a pas d’autre joie que le fait d’habiter en terre d’Israël"

[le Or ha’Haïm haKadoch – paracha Ki Tavo -> En sim’ha éla bichivat érets Israël ]

-> "C'est seulement en terre d'Israël que la joie peut être complète, et il est aussi possible de se sanctifier à un haut niveau de sainteté, chose qui est impossible dans les pays étrangers"
[le Noam Elimélé'h]

-> "Celui qui vit en terre d'Israël doit toujours être joyeux"
[Rabbi Elazar Azikiri - 16e siècle - auteur du Séfer 'Harédim]

-> "Celui qui vit en terre d'Israël doit constamment éprouver de la joie pour cette mitsva, et toutes les souffrances qu'il endure devraient lui paraître insignifiantes vu l'amour qu'il éprouve pour cette mitsva"
[Pélé Yoets]

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-> "Tout n’est rien comparé à l’amour pour la terre d'Israël."
[akol ayin kénégued érets Israël - le rav Eliezer Papo, auteur du Pélé Yoetz, dans son livre Orot Eilim]

"Il n'y a pas d'amour comme celui pour la terre d'Israël"

[midrach Bamidbar Rabba 23,7]