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 "Fais une lucarne à l'arche."   (Noa'h 6,16)

1°/ Le Avnei Azel rapporte qu'il est écrit dans le Zohar que le nom Noa'h renferme une allusion au Shabbath (car Noa'h veut dire : "repos").

Le Shabbath représente une bouée de sauvetage face au déluge qui bouleverse le monde.

Lorsque l'on ajoute la valeur numérique du mot : צהר (tsohar =lucarne =295) à celle du mot : תבה (téva =arche =407), on obtient le nombre 702 ( =295+407), qui est la valeur numérique du mot : שבת (Shabbath).
Quand tu feras "une lucarne à l'arche", ce sera comparable au Shabbath, qui sauvera du déluge ...

2°/ Le mot : téva (=arche - תבה) veut également dire : "mot".
Le Sfar Emet explique : "fais une lucarne au mot" comme :
= donne de la lumière au mot!
Utilise la puissance des mots pour sauver les hommes du déluge des soucis matériels dans lequel la génération est plongée ...
Fais que chaque mot de Torah et de prière qui émane de ta bouche éclaire et illumine ton entourage!

 

Source (b"h) : "mayana chel Torah" du rav Alexander Zoucha Friedman

-> La dimension du Shabbath est attirée dans les 6 jours de la semaine lorsqu’on apporte la lumière (צהר) dans les mots (תבה) de la Prière et de la Torah (par la force de l’intention – dans la Prière – et celle de l’approfondissement – dans l’étude), comme il est dit": Tu feras un éclairage à l’Arche" (tso'ar taassé laTéva - Noa'h 6,16).
[selon le Baal Chem Tov, le mot "Téva" (תבה) signifie aussi le : "mot" de la Prière et de la Torah]
Aussi, lorsque nous ajoutons la valeur numérique de Tsoar à celle de Téva, nous obtenons celle de Shabbath.

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=> Pourquoi Noa’h incarne-t-il le Shabbath?

1°/ Dans différents passages du Zohar, le personnage de Noa’h est comparé au Shabbath :
- "Noa’h correspond au jour du Shabbath" [Zohar - Pin’has 256a] ;
- "Noa’h c’est Chabbath" [Tikouné Zohar 54b] ;
- "Jusqu’à ce qu’arrive Noa’h qui est Shabbath" [Tikouné Zohar 138b].
Cela vient nous enseigner en particulier que Noa’h a été sauvé du Déluge par le mérite de l’observation du Shabbath
[Sfat Emeth - Noa’h 5638]

2°/ Le Imrei Noam (Noa’h 5) écrit : "Il est connu que Noa’h est une allusion au Shabbath, comme il est dit: "VayaNa’h bayom achichi" (Il s’est reposé le septième jour - וַיָּנַח בַּיּוֹם הַשְּׁבִיעִי - Yitro 20,11)
[le terme וַיָּנַח (VayaNa’h - il s’est reposé) rappelle le nom נח (Noa’h)].
De même, il est rapporté dans le Séfer Yetsira [4,11]: "Il [D.] a fait régner la lettre Tav sur la Grâce [‘Hen - חן] ... et Il en a formé le Shabbath". Cela correspond [au verset:] ‘Et Noa’h [נח] trouva grâce [‘Hen - חן] aux yeux de D.’ (Noa'h 6,8)
[à noter que חן (‘Hen – grâce) et נח (Noa’h) sont formés des mêmes lettres].

Ceci est en allusion dans le verset: "Tu donneras du jour (Tsoar צהר ) à l’arche" (Noa'h 6,16).
En effet, lorsque nous ajoutons la valeur numérique de Tsoar (צהר) à celle de Tévah (תבה), nous obtenons la valeur numérique de Chabbath (שבת).
=> Ainsi, le Sfat Emeth [5633] enseigne : "Le saint Shabbath ressemble à l’arche de Noa’h. En semaine, tout un chacun est préoccupé avec les questions liées à ce Monde. Le Shabbath, il y a une possibilité pour un juif
d’échapper, de laisser [les soucis de ce Monde] et de se placer sous les ailes de la Présence Divine (Chékhina), c’est-à-dire s’abriter sous la Souccat Chalom (symbole de la Source de Vie), tout comme Noa’h fut dissimulé dans l’arche ... Le Monde entier fut détruit et Noa’h dut recevoir une nouvelle vie à partir de la Source de la vie. [Ce renouvellement] se reproduit lors de chaque Saint Shabbath."

[Le nom de notre Noa’h provient du mot Ménou’ha, le repos. La Ménou’ha par excellence est celle que procure le Shabbath, comme l’enseigne Rachi (Béréchit 2,2): "Que manquait-il au Monde? Le repos (ménou'ha - מנוחה). Le Shabbath est venu, et avec lui le repos. Alors seulement l’œuvre de Création a été terminée et menée à bonne fin".
Le nom Noa'h (נח) rappelle justement le repos du Chabbath, comme il est dit : "Il se reposa (vayichbot) le 7e jour" (Béréchit 2,2). Le Targoum Onkelos traduit : "vayichbot" par véna'h (VéNa’h - ונח) [terme qui s’apparente
au mot נח - Noa’h].]

3°/ La première personne que la Torah rapporte comme "tsadik" fut Noa’h, comme il est dit: "Noa'h fut un homme juste intègre (Noa'h ich tsadik tamim aya - Noa'h 6,9).
Ainsi, Noa’h fut, à l’image du Shabbath pour le Temps (et du Temple pour l’Espace), l’éclairage bienfaisant de sa génération (ét a'or ki tov) [Zohar].

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-> De même que Noa’h symbolise le Shabbath, sa génération symbolise les 6 jours de la semaine.
Pour que la bénédiction du Shabbath se répande sur les jours de la semaine et leur attribue leur vitalité spirituelle, nous devons manifester notre désir et notre attente du Shabbath au quotidien [c’est l’attachement au Shabbath qui procure vie et bénédiction].
Ainsi, en s’opposant au tsadikim de la génération (Shabbath), les contemporains de Noa’h (les 6 jours de la semaine) ont provoqué leur propre destruction.
[Chem miChmouel]

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-> Le Shabbath nous protège du "Déluge" (les tourments) de ce Monde.
Durant Shabbath, nous nous occupons, principalement ; de l’étude de la Thora (la Pensée), de la Prière (la Parole) et des trois repas (l’Action).
Ces trois activités correspondent respectivement aux trois enfants de Noa’h : Chem (la Yéchiva de Chem), Yafét (la beauté de la langue grecque) et ‘Ham (l’esclave).
Grâce à celles-ci, le Shabbath nous protège des trois mauvais traits de caractère (midot ra'ot) : l’attirance pour les plaisirs (taavot), la recherche des honneurs (kavod) et la jalousie (kin'a).
Noa’h se protégea de ces 3 mauvaises midot, contrairement aux gens de sa génération [celles-ci correspondant aux 3 fautes qu’ils commirent : l’idolâtrie, l’inceste et le vol – Rachi sur Noa'h 6,11].
C’est pour cela qu’il fut sauvé contrairement à ces contemporains.
[Chem Michmouel]

Une synagogue est belle car …

+ Une synagogue est belle car ...

"Qu’elles sont belles tes tentes, Ô Yaakov, tes demeures, Ô Israël."  (Bamidbar 24 ;5)

Le Talmud dit : "Tes tentes", fait référence aux maisons de culte.

Elles sont magnifiques lorsqu’elles sont des "demeures", des lieux habités par les fidèles.
Cependant, si elles ne sont que de grands édifices dépourvus de fidèles, elles n’ont que peu de valeur.
[Rabbi Yaakov Yossef de Polnoah]

L’objectif principal d’une synagogue n’est pas d’être un chef d’œuvre architectural qui ravira les touristes ou fera la gloire de la communauté.

Pour qu’une synagogue ait de la valeur, elle doit être un lieu de résidence, habitée de manière régulière par les fidèles qui y prient et qui cherchent à se rapprocher de D.
Elle doit être une maison d’étude, où la parole de D. est recherchée et enseignée en permanence.

Il existe une relation de réciprocité entre l’homme et D.
Si nous résidons dans Sa maison, Il résidera dans la nôtre.

La synagogue doit être un lieu vivant, un endroit avec lequel nous nous identifions, un lieu de vie.

=> Se sont ses fidèles qui font la beauté d'une synagogue, et non son architecture ...

 

Source (b"h) : issu d'un dvar Torah du rav Avraham Twerski

Quelques paroles du ‘Hafets ‘Haïm sur notre relation avec la Torah …

+ Quelques paroles du ‘Hafets ‘Haïm sur notre relation avec la Torah …    (paracha béréchit & lé’h lé’ha) :

1°/ Un jour, au moment où l’on levait le rouleau de Torah après la lecture publique, le ‘Hafets ‘Haïm expliqua : "Normalement, on ne serait pas obligé de se mettre debout, puisque le Rouleau se trouve sur l’estrade, considérée comme un domaine à part.
Mais il faut se lever en signe de respect devant les mondes qui défilent devant nous quand on déroule le Livre de la Torah. "

2°/ Le ‘Hafets ‘Haïm citait le passage du Yalkout (Béréchit 1) : "La Torah  est le maître-plan de la Création. De même qu’un roi ne bâtit pas son palais sans l’aide d’un architecte, D. a crée le monde en regardant la Torah.
Car le mot Béréchit peut se décomposer en Bi-Réchit, comme si la Torah disait : 'C’est par moi ( =bi = en me prenant pour modèle), que D. a créé les Origines ( =réchit)'. "

De même, il est écrit dans le Zohar : "Il m’a regardé et Il a créé le monde."

3°/ Le ‘Hafets ‘Haïm disait : "D’après le midrach Rabba (sur Lé’h Lé’ha), Avraham est parvenu à la foi en la Providence par la recherche intellectuelle. .
Pour lui, cette démarche était obligatoire, parce qu’il était le 1er croyant, sans aucun patrimoine spirituel.
Mais nous, descendants des Hébreux qui ont reçu la Torah au mont Sinaï, avons-nous besoin de perdre notre temps à recommencer cette recherche intellectuelle depuis le début ? "

4°/ Le ‘Hafets ‘Haïm rapporte que d’après les écrits ésotériques, sans le péché originel, D. aurait donné la Torah dans le paradis terrestre, et Adam se serait consacré tout au long de l’histoire, pendant 6 000 ans, à l’étude de la Torah.
En effet, il est écrit : "L’homme naîtra pour le labeur", et la guémara (Sanhédrin 99b) y voit une référence à l’étude assidue de la Torah, suffisamment riche pour occuper une vie de 6 000 ans !!

 

Source (b"h) : le " 'Hafets 'Haïm al haTorah" du rav Chmouel Greineman

"Je ferai de toi une grande nation, Je te bénirai, je rendrai ton nom grand et ce sera une bénédiction (vééyé béra'ha)" (Lé'h Lé'ha 12,2)

-> Le séfer Yitav Lev se demande ce que signifient les derniers mots du verset : "Et ce sera une bénédiction" (vééyé béra'ha).
Il explique en citant le Ramban sur le verset qui dit qu'Its'hak aimait Essav parce que : "Son piège (tsayid) était dans sa bouche" (ki tsayid béfiv - Toldot 25,28).
Essav était appelé par l'adjectif qui le décrivait le mieux "un trappeur" (tsayid).
De même, David a dit de lui-même : "Je suis prière" (vaani téfila - Téhilim 109,4). David a tant prié jusqu'à ce qu'il dise qu'on l'appelait "téfila".

Nous voyons que les gens sont nommés d'après leur caractéristique principale. De cette façon, dans notre verset, Hachem dit à Avraham que "tu seras une bra'ha" (vééyé béra'ha) = tu seras tellement béni par Hachem que tu seras connu comme une "bra'ha" (bénédiction).

Les plans d’une personne sont sans valeur

+ Les plans d'une personne sont sans valeur :

"Quand à Yossef, il était le gouverneur du pays, c'est lui qui fournissait toute la population du pays" (Mikets 42,6)

-> Le Chla haKadoch (Déré'h 'Haïm To'hakhot Moussar) explique comme suit :
Le prophète (Yéchayahou 55,8) dit au nom d'Hachem : "Mes pensées ne sont pas vos pensées".
Les pensées et les projets d'une personne n'ont aucune valeur. Une personne peut penser que quelque chose est bon pour elle alors qu'en réalité, c'est mauvais, et une personne peut penser que quelque chose est mauvais alors qu'en réalité, c'est bénéfique pour elle.
Un exemple de cela est la façon dont les tribus (shévatim) ont vendu Yossef pour en faire un esclave en Égypte (Téhilim 105,17). Ils pensaient ne plus jamais entendre parler de lui. Cependant, ils ont fait en sorte qu'il devienne roi.

C'est pourquoi il faut toujours servir Hachem simplement (tamim tiyé im Hachem Eloké'ha - Choftim 18,13) et subordonner sa volonté à celle d'Hachem (Pirké Avot 2,4).
Lorsque quelqu'un pense que quelque chose est mauvais, il doit reconnaître que ce n'est pas vraiment mauvais car Hachem ne fait que le bien.

+ "D. dit à Noa'h : 'Je maintiendrai Mon alliance avec toi, et les humains ne seront plus jamais anéantis par les eaux du déluge' " (Noa'h 9;11)

Nous allons voir (b"h) ci-après un dvar Torah du rav Chakh (Yarhé Kala - août 1983).

Rabbi Yéhouda dit dans le midrach : "Un déluge d'eau ne se produira plus jamais ... mais un déluge de soufre et de feu reste encore possible."

Effectivement, que de déluges de feu nous avons endurés!
Et cela depuis la 1ere guerre mondiale.

Depuis lors, un déluge de feu terrifiant n'a pas cessé de nous emporter, et nous gardons encore en nous la marque indélébile de millions et de millions d'êtres humains aux fours crématoires.

Quelle est la cause de tous ces malheurs?
De façon extrêment succinte et incisive, notre paracha nous en donne la raison : "Car toute chair s'est corrompue sur la terre."
Ce verset nous met en garde : à nous de rester vigilants!
Nous pouvons épargner au monde un déluge de feu en ne répétant pas les graves erreurs des générations antérieures.

Comment se sont-elles corrompues?
Par l'absence de droiture et le manque de tsniout.

"Pourquoi la Torah commence par la lettre bét (béréchit)?
Pour nous enseigner que nous n'en connaissons pas même la 1ere lettre."

[le Baal Chem Tov]

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-> Le Sfat Emet (commentaire sur Shavouot) nous enseigne :
La Torah commence avec la lettre : "bét", et cela a une profonde signification : le "bét"(ב) est fermé de 3 côtés et ouvert sur le 4e.
Il ferme ce qui est au-dessus, en-bas et derrière lui, comme un signe que les choses qui sont hors de l'univers ou qui concernent l'existence céleste qui ont précédé la Création sont fermées à la compréhension.
Il est vain de spéculer sur de tels concepts ésotériques.

Le "bét" (ב) est ouvert du 4e côté, faisant face à toute la Torah, comme pour nous dire : "Commencez par étudiez la Torah. C'est la source de toute compréhension et connaissance. Alors, vous trouverez toutes les réponses".

Les 10 Commandements commencent par la lettre : "aléph" (א) du mot : "anokhi" ("Je suis"), qui est ouvert de tous les côtés. Car dans la sagesse des lois de la Torah, un juif peut reconnaître le Créateur dont la Présence emplit toute l'existence, s'étendant dans les 4 directions, en-haut et en-bas, à l'infini.

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-> Il est écrit dans le Likouté Si’hot :
Le "bét" (ב) est la 2e lettre de l’alphabet hébreu ; pourtant, D. choisit de commencer la Torah par cette lettre. Il aurait été logique, à première vue, de commencer par le mot Elokim (אלקים), Hachem créa le Ciel et la Terre, qui a un Aleph à sa tête.
En fait, un enseignement important découle du fait que la Torah ne commence que par la 2e lettre de l’alphabet : La Torah a la qualité d’être précise ; rien ne peut y être considéré comme involontaire ou accidentel.
L’usage de la 2e lettre sous-entend, en fait, que l’étude ne représente que la 2e phase de l’approche du juif à la Sagesse Divine. Avant de s’engager dans l’étude, le Juif doit d’abord se préparer convenablement. Ce n’est qu’après avoir passé cette étape préparatoire qu’il est assuré que son étude s’inscrira sous la forme appropriée
à la volonté de D.
C’est en prenant conscience de la sainteté contenue dans la Torah que l’homme se prépare à l’étudier. Un juif doit se rappeler constamment que Hachem nous donna Sa Sainte Torah dans le but précis de nous relier à Lui.
L’étude est le moyen qui nous permet de nous unir avec Lui. Sans cette prise de conscience préalable. Sans la préparation adéquate, il serait capable d’oublier que la Torah est sacrée et que son objet principal est de nous permettre de nous rattacher à D., le Donneur de la Torah.
En résumé, la Torah que nous étudions ne constitue donc que le beit; alors que le but fondamental est de se relier à D. (le Un, l'Unique), le Aleph.

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-> b'h, également sur la lettre "bét" (ב), dans le divré Torah : https://todahm.com/2022/10/27/37633

Pourquoi nous laisses-Tu si longtemps en exil?

+ Rabbi Lévi Its'hak de Berditchev butait toujours à la lecture du verset : 'Ne lésez ni veuve ni orphelin' (Chémot - paracha Michpatim - 22;21)
Il pleurait même en disant :
"Maître du monde! Tu nous ordonnes si sévèrement de ne pas offenser la veuve et l'orphelin.
Ne sommes-nous pas orphelins, nous?
N'est-il pas écrit que nous sommes des orphelins sans père ("yétomim ayinou vé'èn av" - livre d'Eikha 5;3) ?...
Où est Ta pitié?
Pourquoi nous laisses-Tu si longtemps en exil? "

+ "Et D. dit à Adam : 'Où es-tu?' " (Béréchit 3;9)

Un chef des gardes d'une prison en Russie, demanda au rabbi Chnéour Zalman (qui y était en attente d'un procès pour trahison à cause de son enseignement) :
"Pourquoi D. a-t-Il demandé à Adam : 'où es-tu?'
Ne le savait-Il pas?"

Rabbi Chnéour Zalman répondit :
"La Torah n'est pas un simple livre d'histoire, mais plutôt un enseignement s'adressant à tous les hommes de tous les temps.
A chaque époque, D. demande à l'homme : "Où es-tu? Où te trouves-tu dans ton monde? Qu'as-tu accompli avec les jours qui t'ont été attribués?"  "

==> Tous les jours, D. demande à l'homme : "Où es-tu?"
Tous les jours, l'homme doit se tenir prêt à rendre compte  de sa vie.

Source (b"h) : compilation personnelle issue d'un dvar Torah du rav Avraham Twerski

+ "Elle (la Torah) n'est pas au ciel" (Dévarim - Nitsavim 30,12)

= "La Torah ne se trouve pas chez ceux qui croient atteindre le ciel"

[Rabbi Menachem Mendel de Kotsk]