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+ Hachem dit à Moshé : "Va vers le peuple et tu les sanctifieras aujourd'hui et demain, et ils laveront leurs vêtements" (Yitro 19,10)

-> Le séfer Beit Avraham explique que le yétser ara vient souvent voir une personne et lui dit : "Je sais que tu veux être droit et bon et que tu ne veux faire que ce qui est juste. Tu pourras le faire demain. Mais sois mon ami juste pour aujourd'hui. Écoute-moi encore un jour (ça va, c'est juste un seul!)."
Une personne doit se renforcer et dire au yétser ara : "vékidachtam hayom!" Je veux être sanctifié aujourd'hui!"
Dites-lui que vous ne pouvez pas l'écouter aujourd'hui et qu'il pourra réessayer demain.

[d'une certaine façon, il faut le prendre à son propre jeu : laisse moi me sanctifier juste une seule journée, juste aujourd'hui, et demain on verra pour peut être t'écouter. ]

"Moché et les Bné Israël choisirent alors de chanter ce cantique" (Béchala'h 15,1)

-> La difficulté évidente de ce verset est le choix du mot "yachir" au futur. La solution de Rachi est qu'après avoir vécu ces événements miraculeux, Moché et le peuple juif ont décidé de chanter, et c'est à cette décision que notre verbe fait référence.
Mais, demande le Sfat Emet, tout acte délibéré, tel que chanter, n'est-il pas précédé d'une décision de le faire? Pourquoi, alors, la Torah a-t-elle besoin de mentionner cela?

Pour répondre à cette question, il convient d'en aborder une autre, plus fondamentale. En tant que portion de la Torah, le Shirat HaYam n'est manifestement pas un simple poème de guerre, chaque strophe est saturée d'infini, chaque texte est chargé d'ésotérisme. Comment le peuple juif a-t-il pu le composer spontanément?

La réponse est que le juif est en réseau avec la Nuée spirituelle.
Chaque action, parole ou pensée à valeur religieuse qu'il entreprend active la spiritualité qui y est programmée. Et bien que les effets spirituels qui s'ensuivent ne soient pas de son fait, après tout, il n'a pas conçu ce système, ils lui sont attribués en tant que catalyseur.
C'est ce lien fondamental qui permet à un être humain de chair et de sang d'influencer le côté spirituel de l'existence tout en restant fermement ancré dans ce monde.

Moché et Israël ont été inspirés pour chanter un grand hymne à la louange d'Hachem, un hymne digne de l'occasion. En tant que simples mortels, une telle entreprise était hors de leur portée. Cependant, la décision même de le faire a mis en mouvement l'engrenage céleste, imprégnant leur prose d'une profondeur empyrée.
C'est pourquoi la décision de chanter, la pensée qui l'a motivée, est soulignée, car c'est l'étape critique qui a conféré au Cantique sa signification stellaire.

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-> Nos Sages (guémara Sanhédrin 91b) donnent une autre explication à l'emploi du temps futur de "Az Yachir" : ceux qui ont participé à ce chant sont destinés à chanter à nouveau, après la résurrection des morts.
En fait, la guémara y voit une source textuelle pour notre croyance en ce phénomène futur. Le lien essentiel qui existe entre ces deux événements reste inexpliqué.

Le Sfat Emet explique que l'ouverture de la mer Rouge a été l'occasion d'une perception singulière d'Hachem. Le peuple, même, comme on le sait, la plus humble des servantes, pouvait voir de manière si tangible la manifestation du Divin qu'il la pointait du doigt et déclarait : "C'est mon D.".

Le midrach (Chémot rabba 23,15) va même jusqu'à observer que pendant que Moché luttait sans succès pour voir directement la gloire d'Hachem (ar'éni na ét kévodé'ha - Chémot 33,8), une telle vision était accessible à tous. Qu'est-ce que cela signifie?
Moché a également participé à cette expérience à la mer, en fait, il a dirigé la nation dans son chant, alors pourquoi était-il si désespéré de se procurer à nouveau une telle vision?

En réalité, une telle perception est hors de portée de l'homme, d'où l'échec de Moché à la réaliser.
À l'ouverture de la mer Rouge, cependant, les participants ont vécu une expérience tout à fait extraordinaire, leurs âmes se reliant à leur moi supérieur, habituellement inaccessible. Ce n'est que grâce à cette synchronisation que ces révélations ont été possibles.
En un sens, ils avaient donc subi un semblant de la future résurrection, qui consistera également en une reconnexion avec notre moi supérieur.
La Shirat Ha Yam était donc un présage pour la résurrection de morts, et y fait allusion de manière appropriée dans ses premiers mots.

"Le 3e jour, le matin venu, il y eut du tonnerre et des éclairs et une nuée épaisse sur la montagne, et un son de shofar retentit très fort (kol shofar 'hazak méod), et toute la nation qui était dans le camp trembla" (Yitro 19,16)

-> Le séfer Beit Aharon note que le mot "méod" (מאד - très), a les mêmes lettres que le mot "adam", homme (אדם).
Il explique que ce n'est pas un 'hidouch (nouveauté) qu'Hachem puisse produire de puissants sons de tonnerre et un shofar bruyant. Le 'hidouch de ce verset est plutôt qu'Hachem enseigne aux gens que nous devons toujours nous améliorer et devenir plus forts et plus puissants dans notre avodat Hachem, et utiliser cette force pour influencer les autres.
C'est la leçon que nous avons apprise lorsque nous avons reçu la Torah et qui s'applique à toutes les époques.

"Voici que je frapperai toute votre frontière de grenouilles" (Vaéra 7,27)

-> La dernière pensée que le Sfat Emet a partagée avec ses 'hassidim avant son décès le 5 de Shevat a eu lieu le Shabbat de la parachat Vaéra. Il a observé qu'un prophète peut tomber dans le piège d'imaginer qu'il a été choisi pour sa mission en raison de son pedigree ou de ses qualités personnelles. Il devrait prendre exemple sur l'humble grenouille qui fut également choisie pour exécuter les ordres d'Hachem, en fin de compte, toutes les créatures sont comme rien devant Hachem et nous n'avons aucune idée du choix qu'Il fait de ses agents.

La Soucca représente le bita’hon

"Yaakov se rendit à Souccot et se construisit une maison ... C'est pourquoi il appela le lieu Souccot" (Vayichla'h 33,17)

-> Nous pouvons nous demander pourquoi Yaakov a appelé l'endroit "Souccot" d'après les cabanes qu'il a construites pour son bétail. Pourquoi ne l'a-t-il pas plutôt appelé "Bayit", d'après les maisons qu'il a construites pour lui et sa famille, ce qui semblerait plus approprié?

Le séfer Béérot haMayim explique qu'une "soucca" symbolise le bita'hon. Lorsque quelqu'un s'assoit dans une soucca, il montre à tous qu'il n'a peur d'aucun homme. Il est assis en toute sécurité, protégé seulement par quatre murs minces, parce qu'il a confiance en Hachem pour le protéger.
En revanche, quelqu'un qui n'a pas de bita'hon craindrait les hommes et se cacherait derrière des murs fortifiés.

Par conséquent, lorsque le verset dit que Yaakov s'est rendu à Souccot, cela signifie que ses voyages ont pour but de nous enseigner comment avoir du bita'hon.
Il est ensuite dit : "vayiven lo bayit" (il construisit une maison).
Le mot "vayiven" peut être traduit par "compréhension" (havana), et le mot "bayit" peut être compris comme se référant à l'essence intérieure d'une personne.
Ainsi, le verset dit qu'il est parvenu à comprendre comment implanter le bita'hon en lui-même.

Il est ensuite dit qu'il a fait des succot pour son bétail. Cela signifie qu'il a également enseigné le concept de bita'hon à ses serviteurs et à ses biens. Le mot "bita'hon" a pour racine "tikcha" (coller). Cela indique que celui qui a du bita'hon se connecte et s'accroche à Hachem.
Ainsi, lorsque le verset conclut qu'il a appelé "le lieu" (hamakom) Souccot, cela signifie qu'il a appelé l'omniprésent, c'est-à-dire Hachem, par le nom de "Souccot".
Il a donné à Hachem un nom qui représente le bita'hon, car lorsque l'on a du bita'hon, on se connecte vraiment à Hachem.

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-> Le rav Ména'hem Mendel de Rimanov explique que lorsqu'il est dit "il appela l'endroit Souccot", la signification est qu'il appela l'endroit à partir duquel les prières sont acceptées par ce nom, qui représente le bita'hon, parce que celui qui a du bita'hon est capable de faire la prière et de se connecter à Hachem.

Lorsque le fardeau de la vie devient trop lourd

+ Lorsque le fardeau de la vie devient trop lourd :

-> Yaakov demande à Hachem de le protéger contre Essav en rappelant la promesse d'Hachem : "Je te ferai assurément du bien" (hétev étiv ima'h - Vayichla'h 32,13)
Cependant, il précède cela en proclamant : "Je ne suis pas digne de Ta bonté" (katonti mikol ha'hassadim - Vayichla'h 32,111) et selon Rachi (katonti) : j'ai peut être perdu le mérite de Ta protection à cause de mes fautes".
Pourquoi Yaakov a-t-il considéré qu'il s'agissait là d'une prière impérieuse? Bien qu'il se souvienne de l'engagement d'Hachem à le protéger, il admet qu'il ne le mérite peut-être pas. Cela signifie que même avec la promesse, il n'en est pas digne. Qu'espère-t-il obtenir en faisant cette remarque?

Toutes les douleurs ne sont pas égales. Parfois, nous souffrons, mais nous pouvons nous en sortir.
Malgré la difficulté, nous pouvons trouver la force et vivre au jour le jour, même en souffrant.

Il y a d'autres moments, cependant, où les choses semblent impossibles. Notre douleur est si intense que nous n'arrivons pas à comprendre comment nous nous en sortons. Lorsque le quotidien semble intolérable et la souffrance écrasante, la difficulté de vivre atteint un tout autre niveau.
Nous avons l'impression qu'Hachem nous a abandonnés et que nous sommes seuls avec notre fardeau. Nous n'avons parfois aucun moyen d'expliquer comment nous pouvons survivre.

Pourtant, il y a une explication. L'explication, c'est qu'Hachem nous porte.
Dans ces moments-là, lorsque la douleur est insupportable, la seule façon d'expliquer notre survie est qu'Hachem nous tient debout. Le sentiment d'impossibilité peut être exact. Nous ne pouvons pas y arriver seuls. La seule façon de continuer est qu'Hachem nous soutient.

Hachem est avec nous dans la souffrance. Cependant, lorsque la douleur devient intolérable, il n'est pas seulement avec nous, il la porte avec nous.
Il partage notre fardeau parce qu'il est trop lourd pour que nous puissions le porter seuls.

Yaakov disait à Hachem : "Même si je ne suis pas digne d'être sauvé de mes souffrances (katonti), sauve-moi pour Ton honneur. Tu es avec moi dans ma douleur (hétev étiv ima'h), et Tu portes ma douleur avec moi. S'il est vrai que je ne mérite pas d'être sauvé, pourquoi dois-Tu porter mon fardeau?
Dans les moments où le fardeau de la vie nous semble trop lourd, le fait que nous nous en sortions, même si c'est à peine, signifie que quelqu'un d'autre (Hachem) nous aide. Savoir cela peut nous donner de la force".
[rav Kalonymos Kalman Shapira - le rabbi de Piaseczno - Aish Kodech - Vayichla'h 5701 (1940)]

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=> Lorsque le paquet de la vie est trop lourd, le fait même que nous le portions encore est la preuve qu'Hachem le porte avec nous.

Hachem tire du plaisir de la Torah chélo lichma

+++ Hachem tire du plaisir de la Torah chélo lichma :

"Si par hasard mon père me touche, je serai à ses yeux comme un trompeur, et, au lieu de bénédiction, , c'est une malédiction que j'aurai attirée sur moi" (Toldot 27,12)

-> Le séfer Zéra Kodech dit que ce verset est une indication qu'une personne doit étudier la Torah même si c'est "chélo lichma" (pour des intérêts personnels).
La guémara (Sanhédrin 105b) décrit la Torah et les mitsvot comme étant "délicieuses" pour Hachem.
En conséquence, le verset (Toldot 27,7) qui parle d'apporter des "matamim" (choses délicieuses) au "Père" (Its'hak, les demandant au moment de donner ses bénédictions) peut être compris comme disant que l'on peut offrir sa Torah à Hachem "pour qu'Il le bénisse", ce qui signifie que l'on peut étudier la Torah pour des motifs personnellement intéressés et être quand même récompensé.

Bien qu'une certaine malhonnêteté soit inhérente à une telle étude, tout comme Yaakov a essayé d'obtenir les bénédictions en trompant son père, on peut toujours tirer le bénéfice des bénédictions qu'Hachem fournit même pour la Torah chélo lichma.

Le verset utilise le mot "yémouchéni" (me touche) comme une allusion à la guémara (Erouvin 13b) qui dit : "On a conclu qu'il aurait été préférable pour une personne de ne pas naître ; cependant, maintenant que quelqu'un est né, il devrait inspecter ses voies, et certains disent qu'il devrait ressentir (yémachmech) ses voies (avec lesquelles il se conduit)".
Le 'Hozé de Lublin explique le mot "yémachmech" comme signifiant que l'on doit ressentir ses actions pour voir si elles sont vraiment pures et si elles ont été faites avec les meilleures intentions.
Ainsi, le verset peut être lu comme disant que Its'hak a dit à Rivka qu'il était inquiet que sa Torah et ses mitsvot soient "chélo lichma" parce qu'elles n'ont pas été faites avec les meilleures intentions et que, par conséquent, il recevrait une malédiction au lieu d'une bénédiction.

Rivka répondit qu'elle serait prête à accepter cette malédiction, ce qui signifie que même la Torah chélo lichma est digne d'une bénédiction divine [et elle est appréciait par Hachem].

-> Dans le même ordre d'idées, le rabbi de Shinov dit que si l'on étudie la Torah à notre époque (avec la yéridat hadorot) avec l'intention d'être reconnu comme une personne érudite et honorable, cela est toujours considéré comme de la Torah lichma.

L’étude de la Torah permet d’adoucir les jugements difficiles

"Voici la descendance d'Its’hak, fils d’Avraham" (Toldot 25,19)

-> Rachi commente : "Voici la descendance de d'Its’hak" = Yaakov et Essav, dont il est question (amourim) dans cette paracha.

-> Le Maor vaChémech explique en citant le midrach (Béréchit rabba 65,20) qui dit que les nations du monde ont demandé à Avnimot Hagardi et Bil'am si elles devaient faire la guerre au peuple juif. Ces deux philosophes ont répondu : "Allez dans leurs baté knesset (synagogues) et baté midrach (lieux d'étude de la Torah). Si vous voyez des enfants faire du bruit avec leur bouche, vous ne pourrez pas les vaincre, comme il est dit : 'La voix est la voix de Yaakov' (Toldot 27,22). Tant que Yaakov aura sa voix, les mains d'Essav seront incapables de les battre".

Its’hak avait un fils nommé Essav qui était un homme racha et voulait détruire le peuple juif. Rachi fait allusion à la manière de le vaincre. Il dit que Yaakov et Essav sont des "amourim" dans la paracha. Le mot "amourim" évoque le fait de rendre quelque chose doux (comme dans Ki Tavo 26,17).
En conséquence, Rachi dit que lorsque les enfants de Yaakov lisent "la Paracha", c'est-à-dire qu'ils étudient la Torah, ils peuvent rendre les jugements sévères doux et agréables et aucune nation ne sera en mesure de leur faire du mal.

+ La paracha Térouma nous parle de la résidence de D. sur terre, qui peut se comprendre comme la famille, le couple.

-- Le nom de D., dans son attribut de miséricorde s'écrit : יהוה

- Pour former un couple, il faut une femme (אשה) et un homme (איש).
On remarque que chacun amène une lettre du nom de D. (יה), et que sans cette présence de D., l'un et l'autre forme le même mot : le feu (אש).
Pour avoir un couple épanoui, il faut : l'homme + la femme + D.

- Pour formaliser, l'acte de mariage juif, il faut la kétouba (contrat de responsabilité de l'homme envers son épouse).
La kétouba (כתובה) = un simple écrit (un ktav - כתב), auquel on associe les 2 lettres : וה
Ces 2 lettres du nom de D. viennent donner toute sa valeur à ce simple bout de papier (ktav), et elles s'associent aux 2 lettres contenues dans le mot femme et homme, pour former en totalité le nom de D.

Ainsi, le fait d'avoir un foyer dans la paix (sans le feu de la discorde- אש) et avoir une kétouba écrite selon les lois de la Torah, permet à la présence de D. de résider parmi les êtres humains.

[Le Gaon de Vilna fait remarquer que le mot guèt, désignant le contrat de divorce, est formé de 2 lettres : 'guimél' et 'tèt', qui ne se suivent dans aucun mot de la Torah écrite.
Le guimel et le tèt, ne peuvent s'unir ... ]

 

Source (b"h) : issu de dvar Torah du Rav Mena'hem Berros + du livre "Binéoth Déché" du Rav David Chaoul Greenfeld (pour la remarque du Gaon de Vilna)

+ "Lorsque tu verras l'âne de celui que tu hais accroupi sous son fardeau, t'abstiendrais-tu de l'aider? Tu l'aideras sûrement! (azov ta'azov immo)" (Michpatim 23;5)

Le Rav Nathan Tsvi Finkel, le Saba de Slabodka demanda à un de ses disciples peu de temps après son mariage : "Aidez-vous votre femme dans les préparatifs de Shabbath?
- Certainement! répondit-il.
Je sais que nos Sages (guémara Shabbath 119a) ont insisté pour que nous fassions tous quelque chose pour honorer ce saint jour, et ils ont même expliqué clairement ce qu'ils avaient eux-mêmes l'habitude d'accomplir. Je connais mes devoirs!"

Le Saba de Slabodka sourit : "Est-ce pour cela que vous aidez votre épouse dans les préparatifs?! s'exclama-t-il.
N'avez-vous pas d'autre motif que l'insistance mise par nos Maîtres pour que nous honorions tous le Shabbath?
Il existe pourtant une raison bien plus fondamentale d'aider votre femme, qui n'est pas moins qu'un commandement de la Torah!!

En effet, la Torah ordonne explicitement [dans notre verset] : "tu l'aideras sûrement".
Si l'on a l'obligation d'aider au déchargement de l'animal de son ennemi qui croule sous sa charge, n'est-il pas évident, a fortiori, qu'il faut seconder sa femme envers laquelle on a beaucoup d'obligations?
Surtout le vendredi, quand elle travaille tant pour que tout soit prêt avant l'heure de l'allumage des bougies/lumières!

Existe-t-il une meilleure occasion d'accomplir la mitsva de bienfaisance envers son prochain?

Avoir conscience de ses obligations envers D., c'est bien!
Mais, il ne faut pas oublier celles que l'on a envers sa femme!".

 

Sources (b"h) : issu du livre "Talélei Orot" du Rav Yissa’har Dov Rubin