"Quand quelqu'un est connecté en Haut [à Hachem], il ne tombe en bas [dans ce monde]."
[rabbi Meïr de Prémichlan]
"L'essence du Shabbath est de connaître et de ressentir l'amour d'Hachem"
[rav Noa'h Weinberg]
La téchouva c'est autant retourner vers [son vrai] soi-même, que retourner vers Hachem.
[Rav Avraham Its'hak Kook ]
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-> "N'aspire pas à devenir un tsadik [un "produit" fini].
Aspire à ETRE un baal téchouva [à toujours vouloir s'améliorer!]"
[rav Tsadok haCohen]
En ce sens, le rabbi Mena’hem Mendel de Kotzk disait : "Une pensée de téchouva est un signe que nous sommes toujours en vie".
[nous ne sommes pas des anges, et tant qu'il y a de la téchouva, il y a de la vie! Quelqu'un qui se voit comme un tsadik, comme une personne parfaite, alors il ne fait plus téchouva, et il n'est plus vraiment vivant!]
"Tout celui qui aide un autre juif est considéré comme s'il aidait Hachem"
[Zohar]
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-> Le Baal Chem Tov dit que si une seule fois dans notre vie on a donné à une personne assoiffée un verre d'eau, alors cela est une raison suffisante pour danser pendant 70 ans!
[rabbi Shlomo Carlebach]
[on ne se rend pas compte de la grandeur de pouvoir faire du bien à autrui.]
Avec de la émouna et de la gratitude, une personne est au paradis [dans ce monde]. C'est aussi simple que cela!
[rav Shalom Aroush]
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-> La gratitude nous permet par exemple de se focaliser sur tout ce que l'on a.
De plus, le rav Aroush dit : "Si une personne apprécie remercier Hachem, [alors Hachem fera qu'] elle aura beaucoup d'autres raisons de [Le] remercier".
[le Zohar enseigne également que plus on se "force" à toujours être joyeux, plus Hachem nous donne de réelles raisons d'être joyeux!
L'inverse est également vrai : si l'on se plaint constamment, si l'on est facilement triste de notre vie, alors Hachem nous donne de réelles raisons de se plaindre, d'être triste.]
Rabbi Na'hman de Breslev enseigne : "Les gens qui remercie Hachem pour tout, alors tous leurs problèmes sont annulés".
De son côté, la émouna va nous permettre de développer notre conscience d'à quel point papa Hachem aime infiniment tout juif, indépendamment de ce qu'il a pu faire dans sa vie.
En ce sens, le rabbi David Ashear dit : "La émouna peut prendre une personne qui se sent seule et abandonnée, et la faire se sentir bien-aimée".
De plus selon nos Sages, le plus nous avons de la émouna dans la pratique (le bita'hon), le plus nous donnons à Hachem de la force pour nous combler du meilleur.
On peut citer par exemple :
- "Le plus nous reconnaissons que nous ne contrôlons pas [mais uniquement Hachem], le plus nos chances de recevoir l'aide d'Hachem sont grandes" ['Hazon Ich]
-> "Le plus nous avons confiance en Hachem, le plus il nous aide" [le rabbi de Loubavitch].
-> "Lorsque quelqu'un a confiance en Hachem, Hachem l'aidera d'une façon qu'il n'a jamais imaginée" [rabbi Pin’has de Koritz]
Si quelqu'un est trop "fatigué" pour te faire un sourire, alors donne-lui en un, car personne n'a autant besoin d'un sourire que celui qui n'en a pas à offrir.
[rav Shimshon Raphael Hirsch]
"Le peuple juif ne sera délivré que par le mérite du Shabbat"
[midrach Vayikra Rabba 3,1]
Lorsque nous éprouvons de la peine pour la destruction du Temple que nous avons causée par nos fautes, nous ne devons pas déplorer notre situation dramatique, mais considérer la peine du Créateur qui est immense ...
Ceci peut être comparé à un fils qui a tant irrité son père qu’il se voit contraint de le quitter. Si le fils aime réellement son père et lui est fidèle, il ne s’apitoiera pas sur son propre sort, mais plutôt sur la peine qu’il a suscitée à son père.
[Pélé Yoets]
"Quand un juif prie, Hachem embrasse chaque mot qui sort de ses lèvres"
[Baal Chem Tov]
"Je vais te renseigner sur ce que fera ce peuple à ton peuple à la fin des temps" (Balak 24,14)
-> ''A la fin des temps'', juste avant la venue du machia'h, on essaiera par tous les moyens de tout faire pour que le peuple d'Israël s'assimile et devienne comme les autres nations, sans lien privilégié avec Hachem.
Cela est en allusion dans ce verset.
Bil'am vient ici renseigner Balak en lui prédisant qu'à "la fin des temps", "on fera de ce peuple (d'Israël)" [ce qu'il faut pour le rendre similaire] "à ton peuple", assimilé parmi les nations, sans leurs particularités et leur sainteté.
[rabbi Bounim de Pschisha]