Aux délices de la Torah

Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

Rabbi Chimon dit : "Si 3 personnes ont mangé à une même table et n’y ont pas prononcé de paroles de Torah, c’est comme si elles avaient consommé un abattage de morts (mizbé'hé métim)" (Pirké Avot 3,4)

-> S'appuyant sur un enseignement du Baal Chem Tov, le Maggid de Mézéritch a dit un jour :
[Les âmes des] défunts se réincarnent parfois dans la nourriture et la boisson, afin qu'une personne prononce des paroles de Torah et leur donne vie.
Toutefois, si l'on ne prononce pas de paroles de Torah, on "abat les morts" qui ont été ainsi réincarnés et on les rejette dans le monde inanimé.
[sans des mots de Torah, on empêche l'élévation spirituelle des étincelles d'âmes contenues dans notre nourriture, leur refusant d'effectuer leur réparation dans ce monde. ]
[Béer Mayim - Haggada Shel Pessa'h]

-> Les paroles de Torah prononcées à table constituent l'âme des choses physiques servies.
[selon le Baal Chem Tov - Ner Mitsva 8,2]

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-> Lorsque Adam haRichon a fauté en mangeant du fruit de la Connaissance (ets hadaat), des étincelles de saintetés ont été absorbées par d'autres parties de la Création : dans les objets inanimés, les plantes, et les créatures vivantes.
Chacun de ces segments de la création possède des étincelles de sainteté qui doivent en être extrait ...

"Hou notèn lé'hem lé'hol bassar" = Il donne la nourriture à toute chair.
"ki léolam 'hasdo" = car Ta bonté est pour le monde entier.
Hachem souhaite donner à tous les composants de la création l'opportunité d'être délivrés (élevés).
Lorsque nous mangeons [ou buvons] (symbolisé par le : lé'hem), et que nous faisons la bénédiction appropriée, alors nous réparons ce qui a été cassé.
Et si l'homme ne mange pas, le restant de la création n'aurait aucun moyen d'obtenir sa réparation.
En ce sens, lorsqu'un homme mange du pain (lé'hem), il peut rectifier le monde. [car Ta bonté (Hachem) est pour le monde entier]
[d'après le 'Hida - Sim'hat haRegel - birkat hamazon]

-> On doit manger et boire avec l'intention d'extraire les étincelles de sainteté de la nourriture, et les élever à leur source et racine [sainte].
Ce n'est qu'après une telle intention qu'on doit réciter la bénédiction.
[Yessod véChorach haAvoda - Chaar haBéra'hot - chap.10]

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-> Mon grand-père, le Baal Chem Tov, m'a appris :
Pourquoi la plupart des médicaments sont-ils très amers?
Parce que le monde physique contient des choses inanimées (domem), la vie végétale (tsoméa'h), les animaux ('haï) et l'humanité (médaber).
Chacun élève [ce qui lui est inférieur]. Les animaux sont censés élever les étincelles sacrées qui existent dans les plantes amères.
Cependant, s'ils s'en abstiennent parce que les plantes sont trop amères, il est décrété que les gens doivent tomber malades. Ensuite, à cause de leur maladie, ils doivent manger ou boire des remèdes amers [à base de plantes] afin d'élever [ces étincelles sacrées] à leur source.
[Sharshérét Zahav 27]

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[suite du Pirké Avot (3,4) : mais si 3 personnes ont mangé à une table et y ont prononcé des paroles de Torah, c’est comme si elles avaient mangé à la table d'Hachem. ]

Ne plus avoir d’aspiration à grandir = faut prier!

+ Ne plus avoir d'aspiration à grandir = faut prier!

-> Il y a des moments où une personne peut se sentir tellement brisée par les circonstances de la vie qu'elle ne peut même pas se résoudre à vouloir grandir (spirituellement).
Elle peut se sentir ainsi dans un domaine particulier de la croissance, ou peut-être même dans tous les domaines. Dans de telles circonstances, y a-t-il un espoir de croissance?

Cependant, il est essentiel de comprendre que même si l'on ne pense pas vouloir grandir (spirituellement), [en réalité, en nous,] on le veut vraiment. Chaque juif veut grandir. C'est inhérent à la nature même de l'âme juive.
La raison pour laquelle une personne peut avoir l'impression de ne pas vouloir grandir est que son désir est enfoui au plus profond d'elle-même. Par conséquent, elle ne le ressent pas. Il est pourtant là.

La preuve qu'elle est là, même si elle n'est pas ressentie, est que malgré le fait qu'on ne veuille pas grandir, on admettra probablement qu'on a envie de grandir.
Et même s'on ne veut pas vouloir grandir, on voudra probablement vouloir grandir. Et même si on ne veut pas vouloir grandir, il est probable qu'on veuille vouloir grandir, et ainsi de suite.
Cela peut être enfoui profondément, mais c'est là parce qu'un juif veut toujours grandir (spirituellement).

L'objectif est donc de permettre à ce "désir" de remonter à la surface. Pour ce faire, il faut d'abord le localiser, c'est-à-dire déterminer à quelle profondeur il est enfoui et à combien de "désirs" il se trouve.

Ensuite, il faut en parler à Hachem : dites-lui que vous n'avez pas d'envie de grandir. Dites-lui à quelle distance se trouve votre "désir". Dites-lui pourquoi vous pensez que vous n'avez pas envie de grandir et ce qui vous en empêche. Demandez-lui de l'aide.

Il faut se fixer un moment régulier pour avoir cette conversation avec Hachem. Ce peut être une fois par jour, une fois par semaine ou même une fois par mois. Si, au bout d'un certain temps, la conversation devient robotique, parlez-lui moins souvent, il est important que la conversation reste significative.

Si, au bout d'un certain temps, on ne sent pas de changement dans son désir et qu'on ne veut pas encore croître plus intensément (même un peu), il faut essayer d'avoir une conversation plus fréquente avec Hachem.
Si cela ne suffit pas, il faut essayer de parler à Hachem du fait qu'on essaie, que cela ne nous aide pas et que c'est frustrant.

Plus on parle à Hachem de ce qu'on veut, plus on s'attaque à ce qui bloque notre "désir", et plus on s'approche de le faire remonter à la surface. Ce faisant ... on grandit.
[rav Kalonymus Shapira - Aish kodech ]

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-> Le rav Kalonymus Shapira révèle que, tout comme la émouna et l'amour pour Hachem, le désir de se rapprocher d'Hachem est naturel pour un juif, et provient de son âme. Toute déconnexion d'avec elle est un sentiment, et non la réalité, et parce que quelque chose s'y oppose.

"Chaque personne doit se demander : 'Quand mes actes atteindront-ils ceux d'Avraham, d'Its'hak et de Yaakov, qui ont acquis ce monde et l'autre grâce à leurs bonnes actions et à l'étude de la Torah?' " (Tana déBé Eliyahou - chap.23)

-> Le Yalkout Chimoni (Vaét'hanan 830) cite cet enseignement d'une manière quelque peu différente : "Une personne est obligée de se demander : 'Quand mes actes atteindront-ils ceux d'Avraham, d'Its'hak et de Yaakov' ".

Cette formulation suggère une obligation réelle, pas moins que toute autre obligation trouvée dans les enseignements de nos Sages, que nous devons nous efforcer d'accomplir avec messirout néfech (abnégation, don de soi).
Dans toutes les situations où l'on peut se trouver au cours de notre vie, nous devons essayer de suivre les traces des Patriarches (Avot), et leur mérite nous aidera à le faire.
Dans la mesure où l'on s'efforce d'atteindre cet objectif avec la messirout néfech (agissant au mieux de nos capacités personnelles), nous méritons la lumière et l'assistance du Ciel.
[rabbi David Abou'hatséra]

En servant Hachem, une personne éprouve un grand plaisir, car elle sait que son service réjouit Hachem, comme le dit le verset : "Un fils sage réjouit son père" (Michlé 10,1).
À son tour, une personne sait (au moins inconsciemment) que cette joie et ce plaisir Divins descendent dans tous les mondes, où il est annoncé : "Honorez ceux qui accomplissent la volonté du Maître" (Zohar 3:52a, 265a).
Il ne peut y avoir de bonheur et de joie plus grands que ceux-là.

Néanmoins, cela ne constitue pas la manière idéale de servir D., car cela implique une attente de récompense, à savoir le plaisir que l'on ressent à donner de la joie à D.
Dans son Hilkhot Téchouva (10,4-5), le Rambam qualifie une telle approche de "pas complètement pour le Ciel" (lechem chamayim). Idéalement, une personne devrait servir Dieu simplement parce qu'Il est le Maître et le Dirigeant qui insuffle la vie dans tous les mondes et dans toutes les âmes.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - A'haré Mot 16,1 ]

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[pour la majorité des gens, il faut reconnaître la nécessité de passer par un service Divin avec un part d'intérêt (même élevée comme le faire pour apporter du plaisir à D.), pour plus tard pouvoir le faire 100% lechem chamayim. En ce sens, il est important d'avoir cette phase où l'on vit pour apporter de la joie, du plaisir, à Hachem. ]

La joie principale qu'une personne éprouve provient de l'élévation des étincelles Divines par son service Divin.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Métsora 14,34 ]

[ même la chose la plus éloignée de la sainteté doit avoir une étincelle de Divinité en elle afin de lui permettre d'exister. Ces étincelles ont une source élevée, mais elles sont "tombées" et doivent être récupérées, affinées et élevées jusqu'à leur source de sainteté, un processus connu sous le nom de "beirour hanitsotsot" (l'affinage des étincelles). ]

"Tu supprimeras le mal de ton sein" (17,7)

Ce verset a été dit concernant la peine de mort imposée à l'idolâtre.
Le verset qui vient juste après est : "Si une chose t'échappe au sujet d'une loi", qui a été dit à propos du fait d'écouter les Sages quand ils tranchent une question dont on ignorait la façon de procéder.

On peut expliquer le lien entre ces deux versets ainsi :
Quand une personne est éloignée de la Torah et vit dans l'impureté, alors il est clair qu'elle ne se posera même pas la question de savoir si ce qu'elle fait est convenable ou pas.
Quand on baigne dans la faute, on ne se rend même plus compte que ce que l'on fait est mal. C'est seulement quand on décide de se purifier et que l'on se repent de ses fautes que commencent à se poser ce genres de questions.
Seul celui qui veut éradiquer le mal en lui commencera à envisager que peut-être son comportement n'est pas correct et se demandera si ce qu'il fait est bien.

Ainsi tout d'abord, "tu supprimeras le mal en toi" (v.7), et seulement alors : "Si une chose t'échappe au sujet d'une loi" (v.8), tu commenceras à t'interroger sur ta conformité à la loi.
Mais tant que tu vis dans le mal, tout ce que tu fais te paraîtra bien et tu n'auras pas ces questions.
[Tiféret Avot]

"Car si vous garderez bien toute cette loi que Je vous ordonne, pour l'accomplir, pour aimer Hachem votre D., pour aller dans toutes Ses voies et vous attacher à Lui" (Ekev 11,22)

-> Rachi : Comment peut-on s'attacher à D.?
Selon nos Sages, on y parvient en s'attachant aux érudits.

-> Le Ramban interprète "s'attacher à D." comme le devoir de combattre la tentation de l'idolâtrie en se souvenant en permanence de Hachem et en exaltant notre amour pour Lui.

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+ "Car si vous garderez bien" (chamor tichméroun - שָׁמֹר תִּשְׁמְרוּן)

-> La double expression de ce verset peut se lire ainsi : "Car si garder [les mitsvot]" (ki im chamor), alors "tichméroun" (vous serez gardez).
A chaque fois qu'une personne réalise une mitsva, elle va créer un ange qui va agir comme son Défenseur et Protecteur lors de son jugement au Ciel.
[Sifté Cohen]

-> L'âme et la Torah sont comparées à une lampe.
Hachem a dit à Adam : "Ma lampe est dans ta main, et ta lampe est dans Ma main.
"Ma lampe est dans ta main" = cela fait référence à la Torah, et "ta lampe est dans Ma main" = cela fait allusion à ton âme.
Si tu gardes Ma lampe, alors Je garderez la tienne. [d'où le double emploi dans le verset]
Si tu délaisse Ma lampe éteinte, alors J'éteindrai ta lampe."
[midrach Dévarim rabba 4,4]

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-> "Car si vous garderez bien"
La double expression enseigne que nous devons avoir une double protection pour la Torah.
De même que plusieurs protections sont nécessaires pour éviter de perdre notre argent, de même nous devons s'assurer de ne pas perdre notre Torah, qui a beaucoup plus de valeur que l'argent et l'or.
[Panéa'h Raza]

[au-delà de la nécessité de revenir sur notre Torah pour pas la perdre, nous devons établir des barrières personnelles (là où nous avons des faiblesses naturelles), pour ne pas en venir à franchir les barrières établies par la Torah.]

-> Si une personne étudie une michna et veille dessus pour s'assurer de ne pas l'oublier, alors on lui fournit l'occasion d'étudier davantage de Torah et de la retenir.
[רבנו מיוחס]

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"Gardez (ouchmartem) donc tous les commandements que je vous donne aujourd'hui ; alors vous serez forts, et vous obtiendrez la possession du pays où vous allez, pour le conquérir" (Ekev 11,8)

-> La guémara (Kidouchin 30b) commente que le mot : "Gardez" (ouchmartem - וּשְׁמַרְתֶּם) peut se lire : "sam tam" (un remède parfait - סם תם), en référence au fait que la Torah est comparée à un remède/élixir qui donne la vie.
Rachi (dans cette guémara) commente que la Torah est parfaite, que c'est le "médicament" dont il ne manque rien.
Tandis qu'accomplir différentes mitsvot peut être une source d'aide pour certaines situations, la Torah est la seule chose qui est complètement parfaite : elle élimine le yétser ara et rend une personne compète avec Hachem.
['Hen Tov]

[en employant à plusieurs reprises le terme de garder/écouter, Hachem nous fait comprendre l'importance de ne pas considérer la Torah à la légère, mais de lui donner beaucoup de valeur à nos yeux (on garde ce qui est précieux).
Elle nous protège du mal, et nous rapproche de Hachem (si tu fais le 1er pas : (chamor), alors tichméroun, alors D. vient ensuite à ton aide). Seule elle peut nous assurer un monde à Venir sublime!]

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-> "Ce sera, si vous écoutez (chamoa tichméou) Mes commandements que Je vous ordonne aujourd'hui, d'aimer Hachem votre D. et de Le servir de tout votre cœur et de toute votre âme" (Ekev 11,13)

-> Rachi enseigne :
Ce sera, si écouter, vous écoutez = Si tu écoutes [ce qui t’a déjà été enseigné] autrefois, tu comprendras le neuf (guémara Soucca 46b). De même : "Ce sera, si oublier, tu oublies" (Ekev 8,19) : si tu commences d’oublier, un jour viendra où tu oublieras tout. C’est ainsi qu’il est écrit dans une meguila : "Si tu m’abandonnes un jour, deux jours t’abandonnerai-je".

Je vous ordonne aujourd'hui = [Que mes mitsvot] vous soient aussi neuves que si vous les aviez entendues aujourd'hui même.

Pour aimer Hachem = Que tu ne dises pas : "Je vais étudier pour devenir riche, pour que l’on m’appelle : “Maître”, pour percevoir un salaire." Mais tout ce que vous faites, faites-le par amour, et les honneurs finiront par venir (guémara Nedarim 62a).

Et pour le servir de tout votre cœur = Un service qui est dans le cœur, à savoir la prière.

"Ils (les anges) lui dirent : Où est Sarah ta femme?" (Vayéra 18,9)

On peut expliquer cette question de la façon suivante.
Les anges savaient qu’Avraham était un grand homme. En effet, dans le Ciel, on parlait beaucoup de ses mérites et de ses actions extraordinaires. Ainsi, quand ces 3 anges descendirent sur terre pour se rendre chez Avraham, ils tentèrent d’analyser ses actes pour se rendre compte de par eux-mêmes de sa grandeur.
Mais Avraham, qui était humble, dissimulait ses bonnes actions et ne les exposait pas. De la sorte, les anges ne se rendirent pas tellement compte de sa grandeur.

C’est ainsi qu’ils lui demandèrent où est Sarah. En effet, puisque Avraham ne laissait rien apparaître, ils voulaient voir si tout au moins, ils pourraient discerner chez Sarah des attitudes élevées qui expliqueraient la grandeur de ce couple.
Et là Avraham leur répondit : "Elle est dans la tente", que Rachi explique comme voulant dire : "Elle est discrète". Ainsi, Avraham répondit que même de Sarah, ils allaient rien discerner de grand, car elle aussi, elle est discrète et ne montre pas sa véritable valeur.

[rabbi Yé'hiel Mi'hal de Zlotchov]

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-> Selon certains commentateurs, les anges sont incapables de lire dans les pensées de l'homme, à moins que D. ne les leur révèle.
C'est la raison pour laquelle l'ange a demandé : "Où est Sarah ta femme?"
L'ange ignorait où elle se trouvait.
[Méam Loez - Vayéra 22,11-12]

Moments difficiles = témoignages que Hachem nous aime!

+ Nos moments difficiles = témoignages que Hachem nous aime!

- Le rabbi Mendel de Kotsk a demandé à un de ses 'hassid, qui se plaignait que chaque fois qu'il se sentait se rapprocher de Hachem, une épreuve survenait et l'en détournait : "Comment as-tu appris à ton fils à marcher?

- Le 'hassid de répondre : "Je me suis mis un peu devant lui et j'ai ouvert les bras. Quand il s'approchait de moi, je reculais d'un pas."
- Le rabbi de Kotsk de lui dire : "Tu vois bien que quand ton fils voulait se rapprocher, tu t'éloignais. C'était par amour pour lui, pour qu'il puisse apprendre à marcher.
De même, Hachem s'éloigne parfois de nous quand nous nous rapprochons, et c'est aussi une marque d'amour, pour que nous continuions d'avancer."

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-> C'est quand son père le laisse se débrouiller qu'un enfant apprend à marcher.
L'instant où son père lâche sa main est porteur d'un amour bien plus grand que lorsqu'il la tient et l'accompagne.
[rav Akiva Tatz]

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-> Le rav Eliyahou Dessler (Mikhtav méEliyahou vol.3) explique que les instants où les difficultés submergent une personne, où Hachem paraît s'éloigner, n'ont d'autre but que d'obliger la personne à exercer son libre arbitre.
Quand, alors qu'elle se trouve en situation difficile, une personne effectue les bons choix, elle accède à des niveaux spirituels supérieurs, réalise pleinement son potentiel spirituel et se rapproche ainsi de Hachem.

[=> on voit bien que si D. s'éloigne de nous, c'est pour qu'au final nous puissions nous retrouver davantage proches de Lui.
Les épreuves sont un passage temporaire indispensable pour pouvoir resserrer éternellement nos liens d'union avec papa Hachem. Ainsi, lorsque D. nous en envoie, ce n'est pas un signe de rejet, mais au contraire c'est un signe d'amour : Il désire que nous soyons encore plus en proximité avec Lui!]

+ "Si nous retrouvions une confiance sans faille en D., Il nous protégerait Lui-même et nous sauverait des mains de tous nos ennemis"

[Rabbénou Yéhouda (fils du Roch) - responsa Zikhrone Yéhouda 91]

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-> "Il incombe à tout juif de nourrir une foi parfaite et d'investir toute sa confiance en Hachem. Une telle foi a le pouvoir de modifier le cours de la nature et d'apporter la délivrance."
[rav 'Haïm Pin'has Scheinberg]