Aux délices de la Torah

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"Le mariage est à l'image de la création du monde : de même que le monde a été créé en 10 paroles, de même les Sages ont prescrit que les bénédictions soient récitées en présence de 10 hommes, en s'appuyant sur le verset : "Boaz prit 10 hommes" (Ruth 2,10), et ils ont institué dans la 7e bénédiction 10 expressions de joie.

De même que la création du monde a duré 7 jours en comptant le Shabbath, de même ils ont institué 7 bénédictions, l'une d'elles étant prononcée sur le vin en regard du Shabbat, qui doit être sanctifié avec du vin en son début (kidouch) et à sa fin (havdala)."

[Rabbénou Bé'hayé]

+ "Rien de ce que l'on donne à autrui n'est perdu ; c'est un prolongement de soi dans l'autre, et c'est cela qu'on appelle "l'amour".
[...]
Cet amour vient du fait que les époux se complètent l'un l'autre. L'homme seul n'est pas entier, parce qu'il ne peut mener à bien sa mission ; aussi chacun apportant à l'autre sa plénitude, mari et femme s'aiment puisque, nous venons de le voir, celui qui donne aime.
[...]
C'est ce que je dis toujours aux jeunes couples au moment de leur mariage : "Veuillez à toujours satisfaire les besoins de l'autre avec autant d'ardeur que maintenant, et sachez que lorsque vous commencerez à avoir des exigences l'un vis-à-vis de l'autre, cela marquera la fin de votre bonheur."
[...]
Le lien idéal entre un homme et son épouse pourra s'établir lorsqu'ils parviendront tous les 2 au niveau du don ; alors leur amour ne cessera jamais et leur vie sera pleine de bonheur et de satisfaction, tous les jours de leur existence."

[Rav Dessler - Mikhtav Mééliyahou]

-> "Si tu veux aimer ton prochain, cherche à lui faire du bien"
[Dérekh Erets Zouta - chap.2]

-> Une femme déclara au Rabbi de Loubavitch qu'elle avait la nostalgie de sa 1ere année de mariage : "A cette époque-là, nous nous aimions..."
Avec un sourire le Rabbi lui répondit : "A cette époque, ce que vous avez ressenti n'était qu'un transfert de ce que vous avez peut-être vu dans un film ou lu dans un livre. Pour forger un amour véritable, de nombreuses années d'efforts sont nécessaires."

"La confiance en D. a pour caractéristique d'amener des bienfaits gratuits à ceux qui le possèdent, même s'ils n'en sont pas dignes"

[Séfer Haïkarim - maamar 4, chap.26]

Commentaire sur le Téhilim (32,10) : "Celui qui a confiance en D. sera entouré de bonté"

-> "Sache que la qualité de confiance en D. ne dépend pas du mérite.
Même si c'est un homme qui n'est pas honnête, mais qui renforce sa confiance en D., la force de la confiance le protège et D. lui prodigue Sa bonté, comme l'écrit le Gaon de Vilna"
['Hafets 'Haïm - Chem Olam]

-> "Plus l'homme intériorise l'amour et le lien de D. envers lui, plus D. conforte cette foi et l'abreuve de Sa bonté"
[Baal Chem Tov]

-> "Il ne fait aucun doute que si nous étions convaincus dans notre foi et si nous étions des serviteurs de D. dans notre vie, notre prière serait toujours exaucée et elle amènerait la guérison et la bénédiction sur le monde"
[Rav Wolbe - Alé Chour]

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+ "La confiance en D. n'est pas la certitude que "tout ira bien" ; il s'agit en fait d'une synthèse et d'une extériorisation de l'amour et de la crainte de D., avec la conviction que le seul véritable malheur qui puisse arriver, c'est de plonger d'un monde serein, parce que régi par la providence divine, vers les abîmes d'un monde livré au hasard"
[...]
"Celui qui perçoit la main de D. dans sa vie est serein et paisible!"

[Rav Wolbe - Alé Chour]

-> "La foi est si puissante et si élémentaire en l'homme que même l'incroyant ne parvient pas à l'arracher de son cœur"
[Rav Wolbe]

Le mot de passe du wifi

Une fois, un homme a demandé à Hachem : Si tu te trouves dans chaque endroit pourquoi ne réponds-tu pas à toutes mes demandes?

Hachem lui a répondu : Mon cher fils, je suis comme le wifi et j'ai du réseau partout dans le monde, mais seulement il faut un mot de passe pour se connecter avec moi, et ce mot de passe c'est : la EMOUNA.

Source : Torat 'Haïm - Rav David Touitou

"En honorant ses parents qui l'ont mis au monde, l'ont entretenu et élevé, l'homme apprend à éprouver de la reconnaissance à l'égard de D. pour Ses multiples bienfaits."
[Ramban]

-> 3 partenaires participent à la formation d'un être humain : un père, sa mère et Hachem.
Le père fournit les os, les nerfs, le cerveau, les ongles et le blanc des yeux de l'enfant.
La mère lui fournit la peau, la chair, le sang, les cheveux et la pupille de l’œil.
Quant à Hachem, Il lui fournit l'esprit, l'âme, la vue, l'ouïe, le toucher, la parole, la marche, l'intuition, la compréhension et la raison.
[Zohar 93a]

-> D. désire que ces 3 partenaires soient honorés.
Cependant, si un parent dit à son fils de commettre une faute, il doit ignorer cet ordre, et obéir à Hachem.

-> La récompense promise est la longévité (Mékhilta), d'éviter de commettre la moindre faute, et en particulier la profanation du Shabbath, ainsi que l'honneur et la richesse dans ce monde et une part plus importante dans le monde futur (Eliyahou rabba 26).

-> La longévité est la conséquence naturelle de la mitsva de respect ses parents.
Hachem n'a pas besoin d'y interférer, les jours [de sa vie] s'allongeant d'eux-mêmes.
[le Or ha'Haïm]

-> Rachel voulait anéantir tout objet d’idolâtrie de la maison de son père, en volant ses idoles (térafim).
Le Zohar (1,8) rapporte qu'elle a, quand même, été puni pour avoir porté atteinte à son père (même si l'intention est bonne), en mourant durant sa grossesse, sans pouvoir profiter d'un moment avec son bébé Binyamin.

[Certes, au regard de sa grandeur, D. l'a jugé très sévèrement, mais cela nous apprend à quel point il faut être vigilant à l'honneur et au respect de nos parents]

-> La guémara (Kiddouchin 31a) nous rapporte l'épisode du remplacement d'une des pierres du pectoral du Cohen Gadol, appelée le "Yachfé", et qui lui empêchait de réaliser son service sacrificiel dans le Temple.
Nos Sages sont allés voir un non-juif s'appelant : Dama Ben Nétina, qui possédait une telle pierre très précieuse.
Il était prêt à la leur céder, en échange de 60 bourses remplies de dinars d’or.

Dama alla chercher la pierre quand il vit que son père était allongé, ses jambes étendues et ses pieds posés sur le coffre dans laquelle elle se trouvait. Il retourna auprès des Sages et les informa que, pour l’instant, il ne pouvait la leur donner.
Ils pensèrent que peut-être il en voulait davantage et doublèrent la somme proposée ! Cependant, Dama s’en tint à son refus. Les Sages essayèrent d’augmenter leur offre encore et encore ! Mais il campa sur sa position. Quand ils se rendirent compte qu’il resterait inflexible, ils s’en allèrent.

Quand son père se réveilla, Dama rappela les Sages et leur dit : "Voici, je suis prêt maintenant à vous vendre la pierre".
Les Sages voulurent lui payer la dernière somme proposée. Dama leur dit : "Vais-je vous vendre l’honneur que j’ai rendu à mon père pour de l’argent ? Je n’en tirerai aucun profit !"

Quelle récompense Hachem lui réserva-t-il ?
L’année suivante naquit dans son troupeau une vache rousse et le peuple d’Israël la lui acheta pour l’équivalent de son poids en or !

Nos Sages enseignent que cela met en avant le comportement des juifs, qui n'agissent pas uniquement en suivant la logique (comme Dama et les non-juifs), mais parce que : "comme t'a ordonné Hachem, ton D." (ils sont prêts à dépenser un somme énorme pour acheter une vache rousse, l'exemple type des mitsvot ['hok] dont nous ne comprenons pas le sens).

Le Meshech Chochma demande, pourquoi est-ce qu'il s'agit particulièrement de la pierre précieuse appelée : "Yachfé", et qui est liée à la tribu de Binyamin.
La raison est que c'est le seul qui n'a pas été lié à la vente de Yossef, qui a causé à leur père Yaakov une peine infinie.
Puisqu'il a honoré son père à la perfection, il a mérité que se soit sa pierre qui soit liée à l'exemplarité du respect des parents.

-> Le Séder haDorot rapporte que Rabbi Yéhochoua ben Elem va partager le même Gan Eden que le boucher de sa ville : Nanas, ce-dernier accomplissant tous les jours la mitsva de respect de ses parents âgés, de son mieux.
Rabbi Yéhochoua s'est même exclamé : "Quelle chance j'ai d'être ton voisin dans le monde à venir!"

"Quand un juif accepte avec joie la conduite du Créateur envers lui, mesure pour mesure, D. accepte en retour avec amour sa conduite à lui, même si elle est loin d'être parfaite"

[Torat Avot]

"Pour moi, il n'existe qu'un seul moyen contre tous les malheurs : priez!"

['Hazon Ich]

-> "Dans une lettre, il écrit :
"Quand un incident quelconque se produit, je me suis habitué à renforcer en moi-même la foi que rien n'arrive par hasard.
Tout vient uniquement de la providence divine. Et je m'efforce, par ma prière, d'annuler le décret divin."

D'ailleurs, le 'Hazon Ich raconta à ses disciples que l'effort qu'il investissait dans sa prière était supérieur à l'effort qu'il fournissait dans l'étude des passages les plus difficiles du Talmud.

-> Chaque fois qu'on parlait au 'Hazon Ich d'un mauvais décret, d'un malheur, d'une maladie ou autre, il répondait spontanément : "Eh bien, Hachem veut qu'il prie ..."

-> Le Rav Chlomo Zalman Auerbach dit :
"Je n'ai jamais raconté mes malheurs à un être humain. Quand quelque chose me faisait mal, quand quelque chose me dérangeait, je me levais et priais D. d'être bon envers moi ..."

-> Le Steïpler écrit (Birkat Pérets - paracha Chémot) :
"Tous les actes et manoeuvres humaines ne serviront absolument à rien pour ajouter ou retirer à ce qui a été décrété pour l'homme à Roch Hachana.
C'est seulement par la prière, les mérites et le repentir que le décret divin peut changer"

-> Le 'Hafets 'Haïm enseigne :
"Tous les malheurs qui nous arrivent et dont nous ne sommes pas délivrés persistent parce que nous n'abondons pas en prière.
Si nous priions et déversions nos paroles devant D., nos prières et nos requêtes seraient certainement exaucées. [...]
Si un homme épanche son cœur devant D. ; sa prière sera sincère et viendra d'un cœur brisé et humble.
Une telle prière sera certainement exaucée"

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-> "Il faut nous rappeler que nous n'avons aucune force d'agir.
Simplement, par nos actes, nous éveillons les Portes de la miséricorde afin d'atteindre le but que nous recherchons.

Celui qui prie et abonde en supplications pour être délivré accomplit davantage que celui qui fait des efforts sur le plan matériel"

['Hazon Ich - Kovets Igrot - lettre 62]

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-> Le Baal haTanya explique pourquoi il priait si longtemps :
"Imaginez-vous convoqué à une entrevue avec un ministre important. Ne vous serait-il pas agréable d'être assis en sa compagnie?
Vous voudriez certainement rester parler aussi longtemps que possible car vous regretteriez de le quitter.
C'est ce que je ressens quand je prie : je ne parle ni à un ministre, ni à un roi humain, mais avec le Tout Puissant, le Roi des Rois!
Pourquoi raccourcir ma conversation avec Lui alors que je suis autorisé à la prolonger et qu'elle m'est agréable?

A chaque instant, je ressens ce privilège que D. accepte d'écouter les paroles d'un serviteur humain"

-> "Si seulement l'homme pouvait prier toute la journée!"
[guémara Béra'hot 21a]

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-> "Au moment où vous priez, n'ayez pas 2 cœurs, l'un devant D. et l'autre pour d'autres choses"
[midrach Tan'houma - Ki Tavo]

-> "Que ta langue ne précède pas ton cœur, car dire peu avec concentration vaut mieux que beaucoup à la vitesse des mouvements de ta langue sans que ton cœur ne soit présent"
['Hovot haLévavot - Ahavat Hachem 6]

-> "Il peut arriver qu'un homme ne mérite pas que D. exauce sa prière, mais qu'à cause de ses supplications et de ses larmes fréquentes, bien qu'il n'ait pas de mérite ni de bonnes actions, D. accepte sa prière et fait ce qu'il demande"
[Séfer 'Hassidim 130]

La prière dépend du cœur, de la sincérité, ...

Un juif ne doit jamais désespérer, car il a toujours la possibilité de se tourner en prières vers son papa Hachem, qui peut tout, et qui l'aime d'un amour sans limite.

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-> "Tout homme, sans distinction, est capable de prier et ressent même le besoin intérieur de prier, car la prière est l'expression la plus forte du lien naturel de l'homme avec D."

[Rav Wolbe]

"Il prit Kora'h, fils de Ytsar, fils de Kéhat, fils de Levi et Datan et Aviram ... Ils se rassemblèrent contre Moché et Aharon" (Kora'h 16,1-3)

-> L'auteur du "Adéret Eliyahou" rapporte au nom du Arizal une explication sur le verset suivant : "Si Cain doit être vengé 7 fois" (ki chiv'atayim youkam (יֻקַּם) Caïn - Béréchit 4,24).
Sache que les lettres du mot יֻקַּם (youkam - vengé) forment les acronymes de : Yitro (יתרו), Kora'h (קרח) et Egyptien (מצרי).
En effet, ces 3 personnages proviennent de la racine de Cain et sont une réincarnation de son âme. Ces 3 réincarnations vont achever leur réparation par l'intermédiaire de Moché qui était la réincarnation d'Hével.

=> Comment est-il possible qu'une âme se réincarne dans trois personnes différentes durant la même génération?

-> L'âme de Cain se divisait en 3 parties : le néfech, le roua'h et la néchama, et chacune d'entre elles s'est réincarnée dans les 3 personnages cités ci-dessus.

Le néfech, qui est la partie la moins élevée de l'âme du fait de son emprise plus importante de la souillure du serpent originel, s'est réincarnée dans l'Égyptien qui était un non juif malveillant où le mal dominait le bien au niveau du néfech.
Moché en tant que réincarnation d'Hével voulut réparer le néfech de Caïn son frère et libérer le bien qui était mélangé au mal de cet Égyptien. Ainsi, il ne le tua pas par l'épée mais en prononçant le Nom divin de 42 lettres afin d'élever les étincelles de sainteté qu'il contenait.

Le roua'h de Caïn se réincarna dans Kora'h, qui était le chef de la tribu de Lévi, et il se rebella malgré tout et suscita la dispute contre Moché.

Enfin, la néchama de Cain se réincarna dans Yitro le beau-père de Moché.
C'est la raison pour laquelle Moché épousa Tsipora sa fille afin de compléter la réparation de Cain, comme cela est expliqué dans le Zohar (tikouné Zohar 69).

Ainsi, une âme peut se réincarner dans plusieurs individus vivant à une même époque, qui devront chacun réparer une partie différente de cette dernière.

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+ "Il prit Kora'h, fils de Ytsar, fils de Kéhat, fils de Levi et Datan et Aviram ... Ils se rassemblèrent contre Moché et Aharon" (Kora'h 16,1-3)

-> Nos Sages (guémara Sanhédrin 109b) demandent ce que signifie l'expression : "Il prit"?
Rech Lakich enseigne qu'il "fit une mauvaise prise".

=> Quel est le secret de cet enseignement?

-> Rabbi 'Haïm Vital (chaar hapessoukim Kora'h) écrit au nom de son maître le Arizal :
Tu dois savoir que Moché contenait en lui la partie pure du néfech d'Hével, comme nous l'avons déjà expliqué.
Toute la génération du désert est comparable aux branches issues du tronc qu'incarnait Moché d'après le secret du verset : "Ce peuple parmi lequel je suis" (Béaaloté'ha 11,21) = tu dois également savoir que c'est la partie impure du roua'h de Caïn qui se réincarna dans Kora'h.

À présent, nous allons expliquer la dispute de Korah avec Moché sous un nouvel angle.
Sache que le néfech d'Hével incluait une multitude d'étincelles d'âme bonnes et mauvaises qui se sont mélangées. Les étincelles impures étaient au nombre de 308, tandis que les étincelles pures d'Hével étaient au nombre de 37, comme la valeur numérique de son nom.
En effet, il fut nommé Hével (הבל) au nom des étincelles d'âmes pures qu'il contenait.
Hével (הבל) ne répara que 37 étincelles de son âme sur les 345 qu'elle contenait car il contempla la Présence divine et sa vie fut écourtée.

Ainsi, lorsque tu soustrais la valeur numérique du nom de Hével (הבל) soit 37 à celle de Moché (משה) soit 345, tu obtiens le nom de Kora'h (קרח) soit 308.
Les 308 étincelles d'âme impures d'Hével se sont retrouvées essentiellement réincarnées dans le néfech de Kora'h, dont la valeur numérique de son nom est de 308.
Par contre Moché, qui était la réincarnation d'Hével, était parfaitement bon et sa réparation était complète, comme il est écrit : "La femme conçut et donna naissance à un fils. Elle le vit, il était bon" (Chémot 2,2). Ainsi, Moché avait la capacité de réparer les étincelles de l'âme de Kora'h.

Cependant, après s'être rebellé contre Moché, même la partie impure du roua'h de Caïn s'est attaché au roua'h de Kora'h. Il ajouta du mal au mal qu'il avait déjà en lui et ne put y faire face. Et c'est la raison pour laquelle il fut intégralement effacé du monde, corps et âme.

C'est le secret du début de notre verset : "Il fit une mauvaise prise". Qu'a-t-il pris?
Il prit le mauvais côté du roua'h de Caïn.

Ainsi, lorsque Kora'h vit que la partie négative du roua'h de Cain s'attacha à lui, il ne put se soumettre à Moché et s'insurgea contre lui.
Ainsi cette dispute (ma'hloket) prit racine de la toute première ma'hloket de l'humanité qui amena
le meurtre dans le monde.

-> Nous pouvons également ajouter un autre enseignement :
le nom de Kora'h (קרח) a la même valeur numérique que les termes צד רוח (tsad roua'h - le côté du roua'h) car il hérita seulement d'un seul côté de cette partie de l'âme qui est la partie impure de Cain, tandis que la partie pure se réincarna dans le prophète Chmouel, comme le rapporte le Ari Zal. (chaar haguilgoulim - hakdama 8).
[Tsor ha'Haïm - Kora'h]

"Dans le judaïsme, le mariage n'est pas le couronnement, mais la racine de l'amour"

[Rabbi Shimshon Raphaël Hirsch - Béréchit 24,67]

A l'image de Its'hak avec Rivka, qui plus ils vivaient ensemble, plus son amour pour elle grandissait!
"La plus grande douleur de l'âme, c'est de voir après la mort ce que l'homme aurait pu atteindre et n'a pas atteint lorsqu'il était en vie"
[Gaon de Vilna]
Le yétser ara est là pour nous faire perdre notre temps, avec des occupations futiles/vaines.
Dans le monde de vérité, nous ferons face à ce que l'on aurait pu être.
Résisterons-nous à la comparaison?