"On ne dresse pas un monument à la mémoire des justes ; leurs propos constituent leur mémoire."
(Talmud de Jérusalem - Chékalim 2)
"En araméen, le partenaire d'étude se nomme 'Havrouta, dérivé de l'hébreu : 'Haver, ami.
L'étude implique l'amitié.
Elle en est même peut être la meilleure définition".
(Eli Schonfeld - professeur de philosophie juive moderne à l'université de Jérusalem)
+ En quelle année de la création Avraham est-il né?
Il est né en 1948 (!) et vécu 175 années (comme la guématria du mot Marpéla - son lieu de sépulture).
(magnifique clin d’œil de D. (année de l'indépendance d'Israël), comme venant en réponse à un proverbe yiddish disant : "D. sait tout, mais un juif sait tout mieux." :-)!! )
"Les voies de D. sont impénétrables, dit-on.
Assurément.
Je n'aurais jamais accepté, en aucune façon, de servir un D. dont les voies auraient été à la portée de la compréhension de l'homme."
(Ména'hem Mendel de Kotzk - 1787-1859)
" Est appelé "mal" uniquement ce qui est mauvais aux yeux de D. alors qu'à nos yeux, le mal n'est qu'une illusion. "
(Rav David Chaoul Greenfeld)
La 1ere mitsva de la Torah selon le Rav Israël Salanter
+ "Noa'h était un homme juste, intègre dans ses générations" (Noa'h 6;9)
Que signifie le mot "homme"? N'est-il pas de trop?
Rav Moché Feinstein = cela souligne que Noa'h était un homme, pas un enfant, et donc un être mature et stable.
Pour être juste/vertueux (tsadik), il faut d'abord être un homme.
Rav Israël Salanter avait l'habitude de dire que la 1ere mitsva de la Torah est de ne pas être un imbécile ...
Source : issu du livre "Talelei Oroth" du Rav Yssakhar Dov Rubin
Nos Sages enseignent : "Le Shabbath nous garde (nous protège) bien plus que nous ne le gardons nous-mêmes!"
« Je lui ferai une aide face à lui »
+ "Je lui ferai une aide face à lui" - (Béréshit 2;18)
Guémara Yévamot 62b : "Quiconque demeure sans femme est privé de joie, de bénédiction, de bonté".
Dans Ma'arava, on ajoute : "il est sans protection, sans Torah, sans paix".
Que lui reste-t-il en fait?
C'est la femme qui apporte tout le bonheur à son mari et à sa famille.
Guémara Yévamot 62 : "Quiconque aime sa femme comme sa propre personne (son propre corps) et la respecte plus que sa propre personne ... le verset dit de lui : "tu connaîtras l'harmonie dans ton foyer". "
+ Béréshit (2;18) : "D. dit : il n'est pas bon que l'homme soit seul, Je vais lui faire une aide face à lui."
Nos Sages dans la guémara Yévamot expliquent : qu'est ce qui n'est pas bon?
Rabbi 'Hanoulaï dit : "Quiconque demeure sans femme est privé de bonheur car il est écrit : lo tov/ce n'est pas bon..."
La Torah nous enseigne que la femme est la source du Bien.
Les femmes sont appelées "akéret abayit", la base essentielle du foyer et leur récompense est plus grande que celle de l'étude de la Torah du mari et des enfants.
En effet, la femme est plus qu'une simple aide, c'est le véritable "moteur" de la progression spirituelle du mari.
Nos Sages ont dit : "Qui est une Icha kéchéra, une femme digne? Celle qui fait la volonté de son mari."
Rabbi 'Haïm Sonnenfeld explique : celle qui "fait", c'est-à-dire qui forme, qui façonne sa volonté.
Elle se soumet, certes, à sa volonté mais, en réalité, c'est elle qui doit en être l'artisan.
Par son intelligence, sa compréhension et sont tact, elle sait orienter les désirs de son conjoint vers des buts positifs afin qu'il aspire à faire le bien.
D. a doté la femme d'une finesse psychologique supérieur à l'homme pour éviter de rendre la femme autoritaire, impérative (tout est dans la finesse, la pudeur).
N'hésitez pas à témoigner votre amour, respect aux femmes, sources du Bien ...
Source : adaptation personnelle des réflexions du Rav David Chaoul Greenfeld dans son livre "Binéoth Déché" - Paracha Béréshit
"La chose importante à garder en tête est qu'il ne faut jamais attendre une minute pour commencer à changer le monde."
(Anne Franck - 1929-1945)
Béréshit = conclusion de tout le discours de Kohélet
+ "Au commencement (= Béréshit), D. créa le ciel et la terre" (Béréchit ch.1 ; v.1) :
Les lettres du mot בראשית permettent de former : ביראת ש = béyir'at shamayim = avec la crainte de D.
Le Roi Salomon clôt son livre Kohélet en disant : "la conclusion de tout le discours, écoutons-la : "Crains D. et observe tous Ses commandements ; car c'est là tout l'homme" (Kohélet ch.12;v.13).
Source : issu du livre "Pardess Ména'hem" du Rav Ména'hem Berros