- "Le jour de sa purification, le lépreux sera amené au cohen" (Metsora 14,2)
Les lettres du mot "véouva" (= il sera amené) sont les mêmes que "véaouv" (= il sera aimé).
C'est une allusion à ce que dit le Rambam, que le pénitent, avant sa téchouva, était haï de D. et lui était en horreur, et après, il est aimé, proche et ami.
- "On égorgera un des oiseaux dans un récipient d'argile sur de l'eau vive" (Metsora 14,5)
Pourquoi faut-il ici de l’eau vive ("mayim hayim") ?
Parce que le lépreux est bas et humilié à ses propres yeux, on pourrait craindre qu’il n’en vienne à la mélancolie et à la paresse. Il est donc nécessaire de l’encourager et de le ranimer avec les eaux de la connaissance de la Torah, qui s’appelle «un puit d’eau vive». (Maayana shel Torah)