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Dans la mesure où la guémara (Baba Batra 16 et Kidouchin 30b) dit : "J'ai créé le yétser ara, et J'ai créé la Torah comme antidote", cela signifie qu'il n'y a pas une lettre, un verset, un enseignement, une étude de la Torah qui n'a pas pour but de nous immuniser contre une certaine facette de notre yétser ara.
Chaque sujet d'étude (souguiya) qu'un homme va approfondir et percevoir ressemble à un antidote qui va guérir une facette bien précise qu'a entraînée le yétser ara.
Tout traité de guémara qui n'a pas encore été étudié, tout sujet qui n'a pas encore été approfondi, tout pilpoul qui n'a pas encore été fait constitue une porte ouverte pour le yétser ara qui pourra nous faire chuter dans certains domaines tant que nous ne posséderons pas la connaissance de la Torah et la connaissance d'Hachem en question.

[rav Yérou'ham de Mir]

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-> Si l'homme avait une connaissance d'Hachem et de la Torah suffisamment large, il n'en viendrait jamais à fauter, comme les anges.
[Ram'hal]

[le rav Yérou'ham de Mir explique que le meilleur choix, c'est celui qui choisit de ne plus en avoir.
En effet, plus un homme fait grandir ses perceptions de Hachem et de la Torah, plus il pourra emprunter avec force, volonté, intensité, les meilleurs chemins dans tous les domaines de sa vie de telle sorte qu'il ne puisse plus y avoir de marche arrière possible.
Certes il y a un libre arbitre, mais nous pouvons tendre à réduire autant que possible l'amplitude des choix possibles, pour être totalement consacrés à Hachem!]

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