Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

Lorsqu'Hachem voit une personne accomplir des mitsvot avec une messirat néfech (abnégation/don de soi) qui va au-delà de sa nature, Il accomplit pour cette personne des miracles qui vont au-delà de la nature.
[ Béer Mayim 'Haïm - parcha Béchala'h]

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-> b'h, voir aussi : La paresse & la nonchalance dans les mitsvot : un grand défaut : https://todahm.com/2021/09/10/la-paresse-la-nonchalance-un-grand-defaut

Tout ce qu'une personne rectifie contribue à la construction de la Jérusalem qui est au Ciel, une pierre à la fois.
C'est pourquoi nous disons [la bénédiction] "qui construit Jérusalem", parce que chaque jour, il se construit lentement.
[ rabbi Shmelke de Nikolsburg - Divré Shmouel - Bé'houkotaï - p.132 ]

Les personnes avisées savent que le corps humain n'est pas la personne elle-même. Le corps est appelé simple chair humaine .... La personne elle-même est en fait un être spirituel.
Le corps est un vêtement que l'âme intelligente, qui est la personne elle-même, porte pendant qu'elle est encore dans ce monde. Lorsqu'une personne meurt, ce vêtement est retiré à l'âme, qui sera alors enveloppée dans un vêtement spirituel pur et propre.
[rav 'Haïm Vital - Chaaré Kédoucha 1,1 ]

[chaque bonne action embellit davantage ce vêtement spirituel, tandis que chaque faute le salit (si aucune téchouva n'est faite). ]

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-> La vie temporaire sur cette terre n'est rien d'autre qu'un passage vers une vie plus abondante et plus lumineuse.
Nous n'en avons aucune idée lorsque nous sommes en vie et que nous sommes confinés dans un simple corps, avec une compréhension limitée.
[rabbi Yé'hiel Mikhel Tukachinsky - Guécher ha'Haïm 3,1 ]

Hachem fait preuve de bonté envers ceux qui suivent les voies de la Torah

+++ Hachem fait preuve de bonté envers ceux qui suivent les voies de la Torah :

"Yaakov poursuivit son chemin et un ange d'Hachem vint à sa rencontre (vayifguéhou)" (Vayétsé 32,2)

-> Le rabbi Ména'hem Mendel de Kotzk (séfer Ohel Torah) explique ce verset en disant que lorsqu'il est dit que Yaakov est allé "sur son chemin", cela signifie qu'il est allé dans les voies de la Torah, et le mot "vayifga" fait toujours référence à la prière (voir Béra'hot 26b).

=> Le verset dit donc que lorsque l'on suit les voies de la Torah, même les anges qui infligent habituellement des punitions aux gens prieront pour nous et demanderont la bonté Divine.

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-> Dans le même ordre d'idées, le rabbi de Ruzhin explique le verset : "Un cœur brisé et écrasé ne sera pas méprisé par Elokim" (Téhilim 51,19). Il dit que cela signifie que lorsqu'une personne fait la prière avec un cœur brisé, même Elokim, qui indique la midda d'Hachem de jugement strict, ne travaillera pas contre elle.
Même les anges Accusateurs seront d'accord pour affirmer que ses prières doivent être entendues.

Les mitsvot illumine notre âme

+++ Les mitsvot illumine notre âme :

"Et Its'hak fut saisi d'un très grand tremblement, et il dit" (Toldot 27,33)

-> Selon Rachi, Its'hak dit que le Guéhinam s'est ouvert sous Essav.

-> Le rav Méchoulim Zouchia de Tchernobyl (séfer Tsour Tsadik) demande pourquoi a-t-il spécifiquement vu le Guéhinam sous les pieds d'Essav à ce moment-là (où ce dernier vient recevoir les bénédictions de son père)?
Il répond à cette question en demandant comment se peut-il que Its'hak ait aimé Essav. N'a-t-il pas senti son impureté?

Il répond par une histoire (citée dans le séfer Emek haMélé'h - chap.33) qui s'est produite lorsque l'auteur du séfer midrach Shmouel (sur Massé'het Avos) était un jeune homme. Il entra un jour dans une pièce où le Arizal était assis, et ce dernier se leva en son honneur. L'élève du Arizal, le rav 'Haïm Vital était assis dans la même pièce et fut stupéfait de voir son professeur se lever pour un si jeune homme.
De plus, il avait vu le Midrach Shmouel entrer dans le beit midrach de nombreuses fois auparavant, et le Arizal ne s'était alors pas levé. Il se demanda pourquoi cette fois-ci était différente.

Le Arizal lui expliqua plus tard qu'il ne s'était pas levé pour le Midrach Shmouel. Il s'était plutôt levé en l'honneur du saint Tana, Rav Pin'has ben Yaïr, qui était entré dans la pièce en même temps que lui. Il déclara que le jeune homme avait dû faire une mitsva ce jour-là, ce qui avait amené l'âme (néchama) de Rav Pin'has ben Yaïr à l'accompagner.

Le rav 'Haïm Vital se rendit visite au Midrach Shmouel et lui demanda s'il avait fait quelque chose d'inhabituel ce jour-là. Le jeune homme répondit : "Ce matin, je passais devant une maison et j'ai entendu des cris à l'intérieur. Je suis entré et j'ai vu que la famille avait été dévalisée par un groupe de bandits qui leur avaient pris tout ce qu'ils possédaient, même les vêtements qu'ils avaient sur le dos. Je me suis empressé de faire en sorte qu'on leur donne tout ce dont ils ont besoin, y compris de nouveaux vêtements".

Le rav Vital comprit alors. Rav Pin'has ben Yaïr était très impliqué dans la libération des captifs et dans la guémilout 'hassadim (guémara 'Houlin 7a). C'est pourquoi son âme accompagnait le Midrach Shmouel, puisque lorsqu'une personne réalise une mitsva (du mieux qu'il peut), elle mérite d'être accompagnée par la néchama du tsadik qui était particulièrement lié à cette mitsva (de son vivant).

Essav excellait dans la mitsva du kiboud av (respect de son père). Il avait même des vêtements spéciaux qu'il portait lorsqu'il servait son père (midrach Béréchit rabba 65,58).
Par conséquent, chaque fois qu'il était avec son père, il avait le mérite de cette mitsva avec lui et était accompagné par les saintes âmes (néchamot) liées à cette mitsva.
C'est pourquoi Its'hak l'aimait. Chaque fois qu'il le voyait, il rayonnait de sainteté, car il était entouré de saintes néchamot.

Cependant, cette fois-ci, les intentions d'Essav étaient uniquement pour son propre avantage. Il apporta la nourriture à son père pour qu'il puisse recevoir les bénédictions, et non pour accomplir la mitsva de kiboud av.
Le Targoum Yonathan ben Ouziel (27,31) ajoute qu'il n'a pas trouvé de gibier à attraper, alors il a abattu un chien et l'a apporté à Its'hak. Par conséquent, aucune âme n'était avec lui à ce moment-là, et c'est pourquoi Its'hak a pu voir pour la première fois qu'il empestait l'impureté et qu'il a pu voir les Guéhinam s'ouvrir sous lui.

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-> Le rav Méchoulim Zoushia explique que selon nos saints livres, lorsqu'une personne réalise une mitsva, elle est revêtue de la sainteté de cette mitsva et son âme brille.

Dans le même ordre d'idées, on raconte qu'il a été dit un jour au 'Hozé de Lublin qu'il y avait en ville un juif délateur qui causait beaucoup de problèmes à la communauté. Cela s'est produit à Hanoucca et lorsque le nom de l'informateur a été communiqué au 'Hozé de Lublin, il a dit : "Il est illuminé dans tous les mondes!".

Le lendemain, le nom de l'homme a été à nouveau transmis au 'Hozé, et il peut voir tout ce que la personne a fait. Il dit : "Hier, lorsque vous m'avez dit le nom de cet homme, il était en train d'allumer la ménora (de 'Hanoucca) et grâce à cette mitsva, sa néchama brillait!".

De même, lorsqu'Essav était avec son père et accomplissait la mitsva de kiboud av, sa néchama était brillante, c'est pourquoi Its'hak l'aimait. Cette fois-ci, cependant, il ne faisait pas la mitsva de kiboud av, car il ne pensait qu'à lui-même, et sa néchama n'était donc pas illuminée. Ainsi, Its'hak a pu voir qui il était vraiment.

Les mitsvot de la Torah vs. les mitsvot rabbinique

+ Les mitsvot de la Torah vs. les mitsvot rabbinique :

"Parce qu'Avraham a obéi à Ma voix et gardé Mon observance, Mes commandements, Mes décrets et Mes enseignements" (Toldot 26,5)

-> Rachi commente que le terme michmarti (Mon observance - מִשְׁמַרְתִּי), tel qu'il apparaît dans ce verset, fait référence aux décrets rabbiniques qui ont été établis comme barrière pour nous empêcher de transgresser des interdictions de la Torah.

Les mitsvot rabbiniques auxquels il est fait allusion par "michmarti" sont mentionnés dans le verset précédant mitzvosai et chukosai (Mes commandements et Mes statuts), qui font allusion aux mitzvos de la Torah.
=> Pourquoi les mitsvot rabbiniques sont-elles mentionnées dans le verset avant les mitsvot de la Torah (Mes décrets [mitsvotaï] et Mes enseignements ['Houkotaï] )?
En effet, les décrets rabbiniques ont été promulgués en raison de notre statut d'êtres physiques faillibles, faisant qu'on transgresse les mitsvot de la Torah. Nous avons besoin d'ordonnances spéciales (des barrières) pour nous protéger de la faute.
En revanche, les mitsvot de la Torah nous concernent en tant qu'êtres spirituels exaltés, avec une néchama (âme) sainte en nous. En les accomplissant, nous avons la possibilité d'atteindre des niveaux spirituels de plus en plus élevés.
Parce que nous nous identifions avant tout comme des êtres physiques/matériels, les mitsvot rabbiniques ont été mentionnées en premier.

Ces deux catégories de mitsvot sont analogues aux deux forces qu'Hachem a placées dans le monde : la force naturelle et la force surnaturelle.
Les mitsvot de la Torah s'apparentent à une force surnaturelle, tandis que les mitsvot rabbiniques sont analogues aux forces routinières de la nature. Nous sommes plus familiers et plus à l'aise avec les phénomènes naturels qu'avec le surnaturel, et de la même manière, nous sommes plus à l'écoute des mitsvot rabbiniques que des mitsvot de la Torah.

En considérant cela, nous pouvons maintenant comprendre pourquoi celui qui transgresse une mitsva rabbinique est puni immédiatement, comme l'a déclaré le roi Shlomo : "Celui qui enfreint la barrière (les lois de nos Sages) sera mordu par un serpent" (Kohelet 10,8).
Les mitsvot rabbiniques ressemblent à une loi naturelle, et les répercussions de la violation d'une loi naturelle sont immédiates. Par exemple, une personne qui s'approche trop près d'un feu est immédiatement brûlée.
En revanche, la punition pour la transgression d'une mitsva de la Torah n'est pas une conséquence naturelle de l'action d'une personne, mais plutôt un châtiment spirituel qui est infligé à l'âme, ressenti plus vivement dans l'autre monde, un monde plus spirituel.
Bien que la punition pour la transgression d'une mitsva de la Torah soit sans aucun doute plus sévère que celle d'une transgression rabbinique, elle est moins immédiate.
[Maharal - Gour Aryé]

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=> Les mitsvot rabbiniques s'adressent à nous en tant qu'êtres physiques, mais les mitsvot de la Torah s'adressent à nous en tant qu'êtres spirituels.
Parce que nous nous identifions davantage en tant qu'êtres physiques/matériels, les mitsvot rabbiniques sont mentionnées en premier dans ce verset (Toldot 26,5).

Chaque mitsva est une brique du Temple à venir

+ Chaque mitsva est une brique du Temple à venir :

-> Nous disons dans la Amida : "oubné ota békarov béyaménou", ce qui signifie que nous demandons que le Temple soit construit [rapidement] de nos jours.
Lorsque l'on sert Hachem, en accomplissant les mitsvot et en étudiant la Torah, on construit le Temple.
Certaines personnes participent à la construction de quelques briques pour la construction du Temple en un jour, tandis que d'autres en construisent beaucoup. Tout dépend des actions de chacun.
Lorsque nous aurons accompli suffisamment de mitsvot et étudié la Torah, nous aurons assez de briques pour achever le Temple et être méritants pour le recevoir une fois de plus.

Cependant, il arrive souvent que nous réalisons les mitsvot et étudions la Torah d'une manière qui n'est pas optimale. Pour cela, nous demandons une bonté d'Hachem, du Nom d'Hashem : אל, afin qu'Il accepte même nos mitsvot et notre Torah de qualité inférieure et qu'Il les utilise pour la construction du Temple afin que nous puissions être méritants pour finalement recevoir le Temple final et éternel.
[Zéra Kodech]

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-> Selon le Béra'h Moché :
Le 3e Temple descendra du Ciel (comme) un bâtiment de feu ; ce sera un bâtiment construit à partir d'élements spirituels, c'est-à-dire la Torah et les mitsvot que le peuple juif a pu accomplir (Zohar, Pin'has 221).
Tout comme pour un bâtiment physique, on place rangée après rangée de briques pour le construire ; de même, la Torah et les mitsvot créent les briques de feu spirituel, et elles sont placées l'une au-dessus de l'autre pour construire le bâtiment.

Les tsadikim n'étaient pas encore méritants pour construire le Temple, car lorsqu'on faute, une partie de l'édifice est enlevée.
C'est la raison pour laquelle il existe une mitsva de donner une réprimande à un autre juif, car les fautes d'une personne ont un effet direct sur le reste du peuple juif.
Ces fautes enlèvent les briques placées là par la Torah et les mitsvot.

Étant donné que la nuit de Pessa'h, il y a tant de mitsvot et que tant de membres du peuple juif construisent ensemble le Temple, il est logique que Pessa'h soit le moment où le Temple sera enfin achevé et où nous serons en mesure de le voir.
C'est pour cette raison que nous disons notre prière (ex: adir ou) après le Séder, que nous devrions maintenant être méritants pour voir le Temple éternel.

"Plus une personne intensifie son étude de la Torah et sa pratique des mitsvot, plus elle est relié à Knesset Israël (le peuple juif, dans son intégrité physique et spirituelle, passée, présente et future), et plus elle ressent intérieurement l'âme du peuple juif dans son essence la plus élevée ; plus elle ressent dans tout son être la douleur de la disgrâce de la Knesset Israël et plus elle prend plaisir à la joie d'ordre cosmique qui l'attend à l'avenir".
[rav Avraham Kook - Orot - Orot Israël 3,7]

Lorsque Hachem donne à une personne une raison de se réjouir, cette personne doit s'assurer de verbaliser ce bonheur, de traduire sa joie en paroles de Torah, en prières, en chants et en louanges (à D.), afin de relier sa joie à ce qui est en-Haut, c'est-à-dire à Hachem.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Ki Tétsé 22,5]

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=> Lorsque nous éprouvons de la joie dans une affaire 'banale', nous devrions utiliser ce bonheur pour élargir notre conscience Divine en en faisant une occasion de prier Hachem ou de Le louer.

Ne pas attendre passivement la bonté d’Hachem

Pour recevoir la bonté d'Hachem, une personne doit contracter la bienveillance Divine en réalisant certaines actions, telles que la prière, l'étude de la Torah, l'accomplissement des commandements ou les bonnes actions en général.
... Hachem (qui est infini/illimité) se revêt d'un "vêtement", pour ainsi dire, afin de contracter Sa bienveillance sous une forme limitée que le monde peut recevoir.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Ki Tétsé 24,13]

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+ L'importance de ne pas attendre passivement la bonté d'Hachem, mais d'agir pour la provoquer :

-> Il y a 2 sortes d'éveils spirituels : un éveil d'en-Haut et un éveil d'en bas" (voir Zohar 1,235a ; 1,86b).
Une personne ne peut cependant pas compter sur le fait d'être réveillée d'en-Haut, mais elle doit essayer de se réveiller par elle-même. En conséquence à cela, l'esprit d'Hachem l'éveillera davantage, car Hachem "donne la sagesse à ceux qui sont sages" (Daniel 2,21).
Lorsqu'une personne agit avec sagesse en s'éveillant elle-même, Hachem lui donne une sagesse supplémentaire, en l'éveillant davantage d'en-Haut. En effet, pour allaiter son petit enfant, une mère se positionne de manière à pouvoir le faire. Cela "inspire" le nourrisson à éveiller la mère pour qu'elle l'allaite.
Il en va de même pour Hachem : si une personne n'est pas assez intelligente pour s'éveiller par elle-même, elle reçoit un éveil d'en-Haut.
[...]

Nos Sages (Zohar 3,7b) disent : "Le peuple juif soutient leur Père qui est au Ciel" (Israël méfarnessin laavihèm chébachamayim).
Le plaisir que nous procurons à Hachem s'appelle sa "subsistance". Par conséquent, lorsque nous prenons l'initiative (en s'éveillant par nous même, en faisant spontanément Sa volonté), Hachem se réjouit davantage, et plus Il se réjouit, plus nous en sommes récompensés.

Autre avantage : Lorsque par nos actions nous provoquons un éveil d'en-Haut, alors cet éveil d'en-Haut sera prolongé (son impact durera davantage), continuant à vous inspirer pendant longtemps.
En revanche, si l'éveil d'en-Haut se produit sans initiative préalable de votre part, nous ne "donnons" rien à Hachem (pas de réjouissance issues de nos actions) ; il n'y a aucune chance que cet éveil nous inspire pendant un certain temps.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Ki Tétsé 22,6]

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=> Même si l'on n'est qu'un débutant en termes de service spirituel et que l'on a besoin de l'excitation/éveil Divin, on ne doit pas s'en remettre seulement à cela, car Hachem a plus de plaisir à ce que l'homme agisse de sa propre initiative. En outre, cela garantit que l'éveil fourni sera durable (et donc plus impactant).

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-> C'est la façon d'agir d'Hachem que de faire du bien, en particulier au peuple juif ; Il veut conférer bonté et bénédiction au peuple juif.
Mais, à D. ne plaise, si le peuple juif n'est pas digne de recevoir la bonté, cela va à l'encontre du désir d'Hachem.
Hachem veut accorder Sa bienveillance/bonté au peuple juif et Il en tire du plaisir. Il veut que nous soyons dignes de recevoir toutes les bénédictions et les bienfaits.
Si, à Dieu ne plaise, c'est le contraire qui se produit, ce n'est pas la volonté de D.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Nitsavim 29,9]