Aux délices de la Torah

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Notre émouna transforme la rigueur en bonté

+ Notre émouna transforme la rigueur en bonté :

-> Une personne doit croire et être persuadée que tout ce qui se produit est sous-tendu par une grande bonté [d'Hachem], car le mal n'émane pas de D.
Comme le disait le sage Na'houm Ich Gamzou (Taanit 21a), qui avait une confiance et une foi inébranlables en D., il disait toujours, à propos de ce qui arrivait, même le mauvais : "Cela aussi est pour le bien". Du mal, il fait du bien ...

La force et la vigueur du [difficile] jugement/rigueur qui nous frappe, en fin de compte, sont transformées en bien par nos pensées pures et notre foi (émouna) en D., en croyant que tout ce qu'Il fait est pour le bien.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Vayéchev 37,1]

L’importance de servir D. de façon désintéressée

+ L'importance de servir D. de façon désintéressée :

-> Certaines personnes servent Hachem en étant motivées par une récompense.
D'autres servent Hachem pour une raison plus noble, simplement parce que D. est leur Maître, sans penser aux bénéfices qui en résulteraient.
Ce deuxième type de service est appelé servir D. "face à face", car la personne sert D. uniquement parce qu'Il est son Maître et son Dirigeant, et donc Hachem se tourne vers la personne, pour ainsi dire, et la regarde face à face.
Le premier type de service est appelé servir D. "face à dos", car bien que D. tourne son visage vers la personne, cette dernière sert Hachem pour les avantages qui en résultent.
Son "visage", c'est-à-dire son intérêt, est donc dirigé vers ces avantages, et non vers D. lui-même. Au sens figuré, il tourne le dos à D. afin de faire face à la récompense du service divin.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Vayichla'h 32,31]

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=> Servir Hachem de manière désintéressée, c'est avoir une relation directe avec lui (en face à face), tandis que le servir pour obtenir une récompense, c'est avoir une relation indirecte avec lui (face à dos).

Lorsqu’une nation fait une bonté aux juifs, alors son ange chante à Hachem

+ Lorsqu'une nation fait une bonté aux juifs, alors son ange chante à Hachem :

Et il dit : "Laisse-moi partir, car l'aube se lève" (Vayichla'h 32,27)

-> Rachi explique que l'ange a demandé à être libéré parce que le moment était venu pour lui de chanter les louanges d'Hachem. Jusqu'à ce moment, dit le midrach (Béréchit rabba 78:1), cet ange n'avait jamais chanté les louanges de D. et voilà que le moment est venu pour lui d'en chanter.

=> Nous devons donc nous demander pourquoi le moment pour l'ange de chanter est arrivé à ce moment précis.

La réponse semble être la suivante. Chaque nation a un ange protecteur/titulaire.
Chaque fois qu'une nation accomplit un acte de bonté envers le peuple juif, l'ange protecteur de la nation est stimulé et chante un chant de louange à D.

Dans notre verset, l'ange dont il est question est l'ange protecteur d'Essav. Lorsque Essav a accompli un acte de bonté envers Yaakov, l'ange d'Essav a été habilité à chanter un chant de louange à D.
C'est pourquoi le midrach dit que cet ange n'avait jamais auparavant chanté les louanges de D. et que son heure était arrivée, car Essav n'avait jamais agi avec bonté envers Yaakov, et maintenant il l'a fait.
Le moment était donc enfin venu pour l'ange de chanter les louanges de D.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi ]

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=> Lorsque les nations non juives sont bienveillantes à l'égard du peuple juif, leurs anges chantent à D.

Réflexions sur la prière (par le rabbi de Berditchev)

+ Réflexions sur la prière (par le rabbi de Berditchev) :

-> Lorsqu'une personne se tient debout pour prier avec une abnégation totale, elle abandonne sa vitalité physique et s'attache à la Source infinie de la vie.
En conséquence, Hachem lui accorde Sa lumière infinie, dans un acte d'éveil d'en haut, afin que la personne puisse élever sa prière à la place qui lui revient sur sa "montagne sainte", chaque personne selon son niveau.
Lorsqu'une personne est excitée de tout son cœur et de toute son âme pendant ses prières, son âme en elle reçoit un immense plaisir du fait qu'elle se dépouille de sa corporalité et qu'il ne reste plus que son âme, l'âme que D. a émanée de Lui-même. Il est alors possible pour une personne de s'approcher de l'endroit d'où l'âme a émané.

-> Lorsque nous prions avec ardeur, nous en retirons un plaisir immense. [de par ce retour à notre Source Divine - Hachem]
Mais nous devons nous efforcer, tout au long de notre vie, d'atteindre un niveau plus élevé, auquel nous accomplissons notre service d'Hachem ... Nous ne devrions pas être motivés par la raison la moins importante, mais par la raison la plus élevée : apporter du plaisir à D.
Comme le dit le Zohar (3:13a) en se référant à ce que l'âme collective du peuple juif dit à D. lorsqu'un juif se lève à minuit pour apprendre la Torah : "Vois quel fils je T'ai amené!".

Normalement, lorsqu'il prie, un juif reçoit également du plaisir, ce qui signifie qu'il n'est pas au niveau d'un tsadik, et il est donc possible qu'il accomplisse son service Divin pour son plaisir ... [on prend plaisir de notre grande proximité avec D., plutôt que du fait que notre prière apporte du plaisir au Boss absolu, Hachem. ]
Mais Hachem, dans sa grande compassion et sa miséricorde, lui retire la lumière (ex: lui retirant de l'envie, du plaisir à Le servir/prier), pour ainsi dire pour un moment, afin de l'encourager à aller plus loin. Ainsi, D. est momentanément dissimulé, cachant Sa lumière. C'est le sens du verset : "Qu'elle est grande la bonté que Tu as cachée pour ceux qui Te craignent" (Téhilim 31,20). En d'autres termes, la grandeur de D. réside dans le fait qu'Il nous cache Sa lumière pendant un moment.

[Hachem nous empêche parfois de ressentir du plaisir à Le servir afin que nous puissions recevoir une récompense pour l'avoir servi pour Lui-même (et non pour notre propre plaisir), et ainsi nous élever à des niveaux encore plus élevés de service divin. ]

Par cette dissimulation de Sa lumière, il en résulte un énorme flux de bonté pour tous les mondes, les âmes saintes et les esprits saints, tant dans les mondes supérieurs que dans les mondes inférieurs. C'est également Sa volonté, "car plus que le veau ne souhaite allaiter, la vache souhaite nourrir" (guémara Pessa'him 112a).

[ Hachem désire nous combler du meilleur, mais pour cela nous devons Lui donner la possibilité de le faire par notre prière.
Ainsi, lorsque nous prions, nous devons avoir l'intention principale de le faire dans un but de faire plaisir à Hachem, qui pourra alors nous donner de belles choses, ce qui est Son plaisir ultime! (de plus, ce qu'Il nous donnera viendra permettre de Le servir dans les meilleures conditions, et donc d'encore plus Lui faire plaisir!)
A l'inverse, imaginons la souffrance d'Hachem qui à chaque instant voudrait tellement nous donner, mais n'en a pas la possibilité car nous ne prions pas de tout cœur vers Lui! ]

[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Vayétsé 31,19]

L’importance de désirer faire les mitsvot

+ L'importance de désirer faire les mitsvot :

-> Le sentiment de sainteté engendré par l'observance des mitsvot a besoin d'une "maison", d'un lieu où résider. Cette maison est créée par les préparatifs de l'homme, en préparant son cœur et en orientant ses intentions vers l'accomplissement de la mitsva avant qu'il ne la réalise réellement.
Cette préparation sert de foyer dans lequel la sainteté des mitsvot peut résider.
La quantité [de sainteté] reçue est proportionnelle à la taille du récipient fabriqué.
[ ainsi, le plus nous avons de l'aspiration, du désir, de la joie, de la fierté, ... dans la réalisation de nos mitsvot, le plus grand sera la quantité de sainteté que nous pouvons garder suite à leur accomplissement. ]

C'est ce que le roi David a voulu dire lorsqu'il a déclaré : "Mon âme aspire et se languit des parvis de D. Mon cœur et ma chair se réjouissent du D. vivant." (Téhilim 84,3). Le sens profond est que les parvis sont construits à partir des aspirations et des languissement de son âme pour Hachem. Ces émotions construisent la maison de D.
Le verset continue en disant : "Mon cœur et ma chair se réjouissent dans le D. vivant", ce qui signifie qu'ils se réjouissent parce que D. est effectivement venu habiter là, parce que je lui ai fait des parvis à partir de mon désir/aspiration pour lui.

Or, le désir de D. a une autre qualité. Lorsqu'une personne se contente de l'acte, elle se limite à l'acte lui-même. Par exemple, si une personne met des téfillin, seule sa main bénéficie du fait d'avoir mis des téfillin.
Mais lorsqu'une personne désire ardemment une mitsva, afin de faire plaisir à D., l'accomplissement de cette mitsva particulière inclut toutes les mitsvot, et c'est comme si elle avait accompli toutes les mitsvot.
Comme le disent nos Sages : "Lorsqu'une personne qui avait l'intention d'accomplir une mitsva a été accidentellement empêchée de le faire ... on considère qu'elle a accompli la mitzva" (guémara Kidouchin 40a).
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Vayétsé 31,13]

Les mitsvot qui affinent et purifient notre corps, le rendant semblable à l’âme

+ Les mitsvot qui affinent et purifient notre corps, le rendant semblable à l'âme :

-> Hachem a donné au peuple juif la Torah et les mitsvot, et les mitsvot se divisent en 2 catégories.
La première catégorie comprend les mitsvot qui n'impliquent aucune jouissance physique/matérielle, puisqu'elles sont dirigées uniquement vers D., et qui sont totalement spirituelles, comme par exemple les tsitsit et les tefillin. Nous n'en tirons aucun plaisir physique ; ces mitzvos sont accomplies strictement pour D.
Cependant, il existe une autre catégorie de mitsvot, par exemple la mitsva de manger à Shabbath et à Yom Tov, ou la mitsva de la procréation, qui impliquent un plaisir physique.
Néanmoins, lorsqu'elle accomplit ces mitsvot, une personne doit être motivée non par le plaisir, mais par le désir d'accomplir les commandements d'Hachem.

Pourquoi Hachem nous a-t-il donné de telles mitsvot qui peuvent être accomplies pour notre propre satisfaction physique et non pas simplement pour accomplir la volonté de D.?
La réponse est que l'âme éprouve du plaisir lorsqu'elle accomplit une mitsva pour l'amour de D., et ce faisant, elle est purifiée, ce qui permet à la personne de voir le bien caché pour les justes et de contempler l'agrément de D. dans l'avenir, dans le Gan Eden, et de mériter l'entrée dans le monde à Venir.

Or, l'homme est composé d'une matière et d'une forme ; la forme est son âme, qui se manifeste d'abord dans l'intellect. Comment l'homme peut-il affiner sa matière afin de pouvoir participer aux biens cachés pour les justes et aux autres biens spirituels?
À cette fin, D. a donné les mitsvot dont le corps jouit également, de sorte que lorsqu'une personne soumet son plaisir et accomplit ces mitsvot avec la seule intention d'accomplir la volonté de D., et non pour son propre plaisir, elle purifie et raffine le corps afin qu'il puisse atteindre le même niveau que l'âme.

Nous pouvons maintenant comprendre la michna qui dit : "D. a voulu augmenter le mérite du peuple juif, c'est pourquoi Il a augmenté la Torah et les mitsvot pour eux" (ratsa Hachem lézakot ét Israël léfi'hakh irba lahém Torah oumisvot - Makot 23b).
Le mot pour "augmenter le mérite" (lézakot) est lié au mot pour "purification" et "raffinement" (izdak'hout - הזדככות).
Hachem a voulu raffiner le corps du juif, qui est un membre de Sa sainte nation, afin qu'il puisse lui aussi s'élever vers un lieu dont la bonté est telle qu'elle ne peut être comprise par l'homme mortel.
C'est pour cette raison que la michna dit : "Il a augmenté pour eux" (irba lahém) = Il leur a donné, c'est-à-dire aux corps physiques, de nombreuses mitsvot, en particulier des mitsvot qui leur procurent un plaisir physique, à nos corps physiques.
Une personne qui soumet ses plaisirs physiques/matériels tout en observant ces mitsvot qui impliquent un plaisir corporel, en les accomplissant uniquement pour le Ciel, en raffinant son corps, est rendue "méritante". C'est pourquoi la Michna dit "à eux".
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Vayétsé 30,14-18]

Il y a certains types de bontés que D. accomplit pour nous aujourd'hui. Mais il y a d'autres bontés, plus grandes, que nous attendons et auxquelles nous anticipons.
En ce qui concerne ces dernières, nos Sages (Zohar 3:30b) ont appliqué le verset : "Aucun œil ne l'a vu" (Téhilim 52,3).
Il s'ensuit que les bontés que D. nous témoigne aujourd'hui ne sont qu'un "habit" (lévouch) pour les bontés plus grandes qu'Il nous accordera à l'avenir.

[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Vayétsé 31,13]

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=> La bonté que Hachem nous manifeste aujourd'hui n'est qu'un avant-goût de la bonté Divine qui nous attend dans l'avenir messianique.

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+ Le but principal de l'exil est d'élever les étincelles [de sainteté] qui sont tombées dans la klipa (force d'impureté) à cause de la faute d'Adam. Le peuple juif doit souffrir pendant l'exil jusqu'à ce que vienne le temps où toute la méchanceté (racha) prendra fin et où toutes les étincelles seront élevées. Lorsque cela se produira, il est certain que la guéoula viendra immédiatement et que tout le monde saura que la terre et tout ce qu'elle contient appartiennent à Hachem. Le grand nom de D. sera alors sanctifié, comme l'explique le Livre de Yéchayahou (42,10 : voir aussi Yé'hezkel 31,23).

Aujourd'hui, même pendant cet exil amer, Hachem accomplit en permanence pour nous des miracles et des merveilles. Comme nous le disons, "nous te rendrons grâce ... pour Tes miracles qui nous accompagnent chaque jour" (modim de la Amida).
Combien plus la grandeur de D. sera-t-elle reconnue lors de notre guéoula ; et combien plus encore, après notre retour en terre Sainte (avec le machia'h et le Temple), la grandeur d'Hachem sera 100 000 fois plus reconnaissable qu'aucune créature ne pourrait [actuellement] le concevoir.
Mais pendant l'exil [actuel], il y a beaucoup de réchaïm dans le cœur desquels est entré l'esprit de folie.
Comme ils voient que nous souffrons de toutes sortes d'épreuves, ils peuvent se tromper sur la bonté et la providence de D.

[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Vayé'hi 49,9]

L’importance de servir Hachem dans la joie

+ L'importance de servir Hachem dans la joie :

Hachem aspire continuellement à répandre Sa bonté sur la nation juive. Cependant, les forces du mal (sitra a'hara) s'efforcent d'empêcher le flux de Sa générosité.
Mais lorsque le peuple juif s'éveille pour servir D. avec joie, cette joie expulse les forces extérieures [du mal] et les retient d'empêcher le flux de se diffuser.
C'est alors que D., dans Sa grande compassion, accorde Sa bonté et Ses bénédictions au peuple juif.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Vayétsé 29,2-10]

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=> Les forces du mal tentent toujours d'empêcher la bienveillance de D. d'atteindre le peuple juif. Mais lorsque le peuple juif sert Hachem avec joie, alors cette joie contrecarre les efforts des forces du mal, permettant à la bienfaisance/bonté Divine de pleinement nous atteindre.

Hachem a créé tous les mondes pour le peuple juif, alors que les autres nations, [relativement parlant], sont comme des animaux (véa'oumot én kmo béémot), comme il est dit : "Toutes les nations sont comme rien devant Lui" (Yéchayahou 40,17).
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Toldot 27,38]

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-> L'intention originelle de D. en créant le monde ... le fondement de tous les mondes est Knesset Israël, c'est-à-dire l'âme collective du peuple juif.

"Le peuple juif est apparu en premier dans Sa pensée" (midrach Béréchit rabba 1:4).
La Torah commence par "Au commencement, D. créa", ce qui implique que D. a créé le monde pour le peuple juif, qui est ailleurs, appelé "le commencement" (réchit) .
[le mot pour "au commencement" (béréchit) peut être interprété comme signifiant "à cause de [ce qui est appelé] 'le commencement' (les juifs ... D. créa ...)". ]

[Les juifs] sont également appelés "le rocher de fondation" (Zé'haria 4,7) à partir duquel le monde a été fondé, car ils sont le fondement de tous les mondes supérieurs et inférieurs.
[selon la guémara (Yoma 54b), la pierre située dans le Kodech HaKodachim du Temple était le rocher primordial à partir duquel le reste du monde a été créé. Allégoriquement, ce rocher est synonyme du peuple juif, qui est le fondement du monde au sens spirituel. ]
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Vayétsé 28,10-22]

En général, la soumission à une autre personne conduit à la tristesse, car la personne qui se soumet à quelqu'un d'autre est empêchée de réaliser sa propre volonté et ses propres désirs en raison de la soumission qu'elle manifeste à l'égard de son associé.

Cela n'est vrai qu'en ce qui concerne la soumission devant un autre être humain.
Cependant, lorsqu'une personne sert D. et se soumet donc à D., elle est ainsi attachée à la source du bonheur, elle est donc par conséquent remplie de joie et de bonheur.

Ainsi, lorsque nous nous soumettons à ce qui est saint, le résultat est la joie et le bonheur.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - 'Hayé Sarah 24,63]

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-> A chaque moment où l'âme est dans le corps, elle désire ardemment le quitter et retourner vers la présence de Hachem.
Si une personne transforme son corps en un lieu où la présence divine peut résider, alors l'âme est heureuse au sein du corps.
Cependant, ce niveau de sérénité n'est pas atteint par la majorité des personnes, et c'est pour cela que le corps et l'âme sont généralement en conflit.
[le Noa'h Tsadikim]

-> "La joie réelle, c’est ce qu’on éprouve quand on fait ce qu’on doit faire ...
Le visage peut refléter les larmes ou la tension ; mais si le voyage est entamé, si on est conscient que nous construisons ce que nous devons construire, notre cœur chantera en nous malgré la peine de notre corps et les larmes sur notre visage."
[rav Akiva Tatz]

=> La joie est la réponse de la néchama (l'âme) lorsque l'on fait ce qui doit être fait.
C'est l'expression d'une paix intérieure lorsque chacun est à sa place (âme & corps).