Aux délices de la Torah

Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

Juger autrui favorablement

+ Juger autrui favorablement :

-> Le Pélé Yoets (Sanégoriya) dit que lorsque nous jugeons les autres favorablement, nous diminuons la quantité de jugements stricts dans le monde et engendrons plus de miséricorde à la place.

-> Le Maharal Diskin (Kédochim 19,15) dit que les effets négatifs d'un jugement défavorable sont tout aussi néfastes pour la personne qui juge.
Puisqu'il y a un principe que nous sommes affectés par notre entourage, celui qui juge négativement ceux qui l'entourent se considère comme étant dans un environnement négatif, ce qui le rapproche de la faute.
En jugeant une personne favorablement, nous empêchons que cela se produise et créons ainsi un environnement positif pour nous-mêmes.

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-> Nos Sages (guémara Shabbath 127b) nous enseigne qu'un individu qui juge les autres favorablement sera à son tour jugé favorablement par Hachem.

-> Nos Sages (guémara Shabbath 97aa) nous disent que la personne qui soupçonne injustement une autre personne reçoit de la tsaraat ou d'autres souffrances corporelles en guise de punition.

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-> Rabbi Na'hman de Breslev (Likouté Moharan 282) enseigne :
Sachez qu'il faut juger tout le monde favorablement. Même si quelqu'un est complètement racha, il est nécessaire de chercher et de trouver en lui une petite parcelle de bonté dans laquelle il n'est pas racha.
En trouvant la Nékoudah Tova et en la jugeant favorablement, nous l'élevons littéralement du côté du mérite et nous sommes en mesure de l'aider à revenir à la téchouva.

[ b'h, issu du dvar Torah : Voir la Nékouda Tova en chaque juif : https://todahm.com/2023/05/30/voir-la-nekouda-tova-en-chaque-juif ]

Travailler ses midot pour déclencher la guéoula

+ Travailler ses midot pour déclencher la guéoula :

-> Selon le rav de Brisk, on doit travailler nos traits de caractère pour être méritants d'accueillir le machia'h.
De même, selon le rav 'Haïm Vital, l'objectif principal de notre vie dans ce monde est afin de surmonter nos mauvaises midot.
La Torah ne nous oblige pas explicitement d'avoir de bonnes midot ou de ne pas en avoir de mauvaises, car les midot sont les conditions préalables et les fondations d'un bâtiment ne sont pas visible extérieurement dans le bâtiment.

De même, le Gaon de Vilna (Michlé 4,13) dit : "l'objectif de l'existence d'une personne (dans ce monde) est de dépasser un trait de caractère (négatif) qu'elle n'a pas encore surmonté ... et si elle ne se renforce pas, quel est le but de sa vie?"
Le rav Israel Salanter dit qu'il est plus facile de terminer Shass (tout le Talmud) que de surmonter un trait de caractère négatif, et il n'exagérait pas, mais décrivait simplement la réalité.

Ainsi, lorsque nos Sages nous disent que le monde à Venir ne peut être acquis que par la souffrance (guémara Béra'hot 5a), ils font référence à la souffrance qu'impliquent les efforts considérables et l'autodiscipline nécessaires pour vaincre le mauvais penchant (Gaon de Vilna - Michlé 10,17), et que la souffrance émotionnelle est infiniment plus précieuse aux yeux d'Hachem que tout jeûne ou autre forme de souffrance physique (Iguéret haGra).

A la lumière de l'enseignement précédent du rav de Brisk, il est logique qu'il en aille de même pour nos préparatifs en vue d'accueillir machia'h : Hachem attend que nous voyions combien d'efforts nous faisons pour surmonter nos traits de caractère négatifs, de sorte que la souffrance émotionnelle occasionnée par ces efforts puisse servir de substitut à la souffrance physique qui pourrait autrement être impliquée par les 'hevlé machia'h, les rendant ainsi superflus.

Chaque fois qu'une personne surmonte la colère, la luxure, l'orgueil, la jalousie, la paresse, la tristesse, ... , elle contribue non seulement à son propre bien-être dans ce monde et à son salut dans le monde à Venir et aux jours du machia'h, mais également elle permet le salut national, puisqu'elle accélère ainsi la venue de machia'h et évite la nécessité de souffrir physiquement pendant la période de 'hevlé machia'h.
[rav Moché Sternbuch]

L’unité

+ L'unité :

-> Lorsque la nation juive est unie, le Satan n'a aucune emprise sur elle ...
Le manque d'unité de la nation juive est dû à la situation d'exil, et en devenant unie, la nation se sort elle-même de l'exil.
[ Maharal - Nétsa'h Israël - chap.25]

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-> Nos Sages (midrach Tan'houma Nitsavim - section 4) nous disent que "les juifs ne seront délivrés (de l'exil) que lorsqu'ils seront devenus un groupe uni".
De même, selon le midrach (Béréchit rabba 98,2) : "si les juifs sont devenus un groupe uni, alors préparez-vous à la guéoula".

Le Satan en est conscient et s'efforce donc de créer la discorde. En particulier à la toute fin du l'exil, les disputes retarderont la venue du machia'h.
Les nations ont également des différends, mais Hachem n'insiste pas pour qu'elles vivent en harmonie.
En revanche, la nation juive est censée vivre dans l'unité, et s'il y a des différends, il en résulte de terribles malheurs pour la nation.

La guémara (Baba Batra 99a) dit que lorsque les juifs accomplissaient la volonté d'Hachem, les kérouvim se faisaient face, mais que lorsqu'ils n'accomplissaient pas la volonté d'Hachem, un miracle se produisait et les visages se détournaient l'un de l'autre.
Lorsque chacun est plongé dans ses propres affaires et ne se préoccupe pas des besoins de son concitoyen juif, ou seulement des besoins de son cercle d'amis, de son groupe ou de sa communauté, et non de la nation tout entière, cet état de fait est reflété par les kérouvim se détournant l'un l'autre, comme pour dire que seuls les besoins de chaque individu les intéressent. Dans une telle situation, la Chékhina ne réside pas au sein de la nation.

Cependant, lorsque les juifs accomplissent la volonté d'Hachem, lorsqu'il existe une unité entre eux et que chacun prend soin des besoins physiques et spirituels de chacun de ses concitoyens, cet état de choses favorable se reflète dans l'état des kérouvim avec leurs visages tournés l'un vers l'autre, symbolisant l'amour entre mari et femme, qui est lui-même un symbole et une preuve de l'amour d'Hachem pour sa nation.
Dans un tel état de choses, Hachem fait reposer Sa Chékhina sur nous, nous couvre d'abondantes bénédictions et nous délivre.

Les kétoret, qui comprenaient la 'helbéna, une épice à l'odeur désagréable, nous enseignent que nous ne devrions pas regarder de travers le fait d'inclure même les fauteurs juifs avec nous lorsque nous nous rassemblons pour le jeûne ou la prière (Rachi - Ki Tissa 30,34).
L'unité en période de difficulté/malheur est une recette merveilleuse pour nous sauver des souffrances et des mauvais décrets, car lorsque la nation est unie, elle est invincible (Taam vaDaat - Kora'h 17,11).

Cependant, lorsque nous incluons des fauteurs dans nos prières, cela doit être fait de manière à ce que les fauteurs soient influencés par le parfum agréable de la judaïcité, plutôt que les juifs honnêtes soient influencés par eux au détriment de tous, tout comme l'ajout de la 'helbéna aux ingrédients des kétoret est bénéfique, puisque son odeur désagréable est contrebalancée par l'odeur agréable des autres épices, plutôt que la 'helbéna ait un effet négatif sur les autres épices (Taam vaDaat - Ki Tissa 30,34).
[rav Moché Sternbuch]

Dans la génération qui précède la guéoula, lorsqu'il y a un hester panim (Hachem cachant Sa face, pour ainsi dire), comme à notre époque, Hachem n'exige pas un niveau élevé de téchouva (repentir), et Il accepte des niveaux inférieurs à ceux qu'Il aurait accepté dans les générations précédentes.
[rav Moché Sternbuch - voir Taam vaDaat - Chémot 6,5]

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=> ainsi nous ne devons pas hésiter à faire téchouva, même si cela n'est pas parfait, pas foufou, car ce qui est très peu/faible par rapport à nos ancêtres, en réalité cela a actuellement énormément de valeur aux yeux d'Hachem.

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-> Notre yétser ara sait cela (que même une téchouva de 'basse qualité' a actuellement énormément de valeur), et nous fait croire l'inverse (ex: à quoi bon que je fasse téchouva, moi qui suis un si grand fauteur, qu'est-ce que ça peut faire à Hachem, ...).
A ce sujet : l'incroyable grandeur de chaque juif à notre génération : https://todahm.com/2022/02/08/la-grandeur-de-chaque-juif-a-notre-generation

La récitation du pitoum hakétoret

+ La récitation du pitoum hakétoret :

-> Le pitoum hakétoret est composé de versets et baïtot sur les ingrédients de l'offrande d'encens (kétoret) et les instructions pour la préparer.

Lorsque le Temple était encore debout, l'offrande d'encens avait pour effet d'annuler tous les types de jugements et de décrets qui pesaient collectivement et individuellement, comme il est dit : "Ils offriront de l'encens devant Toi" (yachimou kétorét béapé'ha - Vézot haBéra'ha 33,10 -> "béapé'ha" = littéralement : "dans Ton nez"), ce qui signifie que l'encens annule la colère d'Hachem (le terme 'af' signifie à la fois 'nez' et 'colère').
Les sacrifices/offrandes corrigent les dégâts causés par les fautes qui protent atteinte au corps de l'homme et à son âme animale, tandis que l'encens expie l'âme humaine, l'élevant à sa source divine. (voir le Kli Yakar - Tétsavé 30,1)

L'encens fait référence à l'essence intérieure de l'âme qui se soumet à son Créateur et s'annule au profit d'Hachem ; il fait également référence à l'abnégation dans la pratique pour la gloire d'Hachem, à la foi et à la confiance en Hachem, ainsi qu'à l'attachement et à la dévotion au Créateur. (voir rav Yossef Bloch - Iguéret al haBita'hon 5770 ; ainsi que rav Moché Yé'hiel Epstein - Ech Dat vol.10)

De nos jours, alors qu'en raison de nos nombreuses fautes, nous n'avons ni autel ni encens (le Temple étant détruit), la récitation de la section traitant de l'encens constitue un substitut efficace à l'offrande de l'encens sur l'autel d'or.

Le Zohar écrit ce qui suit :
"Rabbi Shimon a dit que si les gens savaient à quel point la procédure des kétoret est élevée/appréciée aux yeux d'Hachem, ils en prendraient chaque mot et l'élèveraient pour qu'il devienne une couronne sur leur tête, comme une couronne d'or.
Et celui qui s'efforce de s'y engager doit regarder l'écrit décrivant les ketores et lire cette section, et s'il le contemple et s'y concentre chaque jour, il aura une part dans ce monde et dans le monde à Venir, et la mort s'éloignera de lui et du monde, et il sera sauvé de tous les jugements de ce monde ... parce que partout où la procédure des kétoret est récitée avec concentration et émotion, la mort ne domine pas cet endroit, il ne lui sera pas fait de mal, et les autres nations ne domineront pas cet endroit."

Ce qui précède semble indiquer que celui qui récite les passages du pitoum hakétoret après s'être purifié par le repentir et s'être soumis au Créateur par l'annulation de soi, méritera de s'attacher à hachem et de se transformer en un être nouveau-né.
Pour cette raison, il est sauvé de tous les jugements qui auraient pu peser sur lui, et les nations n'auront aucune domination sur lui, puisqu'il n'est plus la même personne que celle qui a été condamnée à ces jugements ou à ces calamités.

De plus, le Zohar cité plus haut implique que non seulement une telle personne mérite d'être protégée de tout mal pour elle-même et les membres de sa famille, mais que ses actions protègent également les autres juifs situés au même endroit.
Ainsi, une personne qui récite les kétoret "avec concentration et émotion", selon les termes du Zohar, accomplit un immense acte de bonté non seulement pour sa propre âme et pour le bien-être de sa famille, mais aussi pour les autres, puisqu'elle profite également aux juifs de son entourage, en les sauvant des malheurs.
[rav Moché Sternbuch]

Dire 100 bénédictions quotidiennement

+ Dire 100 bénédictions quotidiennement :

-> Le rav Moché Schneider (roch yéchiva du rav Moché Sternbuch) conseille aux gens de réciter 100 bénédictions tous les jours, y compris le Shabbath, car c'est une excellente méthode pour être sauvé de tout malheur.

-> Le rav Eliyahou Dessler dit qu'étant donné qu'Hachem nous a avertis : "Et si, malgré cela, vous ne m'écoutez toujours pas, si vous conduisez avec désinvolture, Je me conduirai avec vous dass une fureur de désinvolture" (Bé'houkotaï 26,27-28), nous devons faire très attention à réciter les bénédictions correctement et non avec "désinvolture", car cela nous expose au danger qu'Hachem nous traite d'une manière "désinvolture".

-> Réciter les 100 bénédictions quotidiennes est une recette pour obtenir de la crainte du Ciel (yirat chamayim). Il est dit : "Qu'est-ce que Hachem, ton D., exige de toi?" et nos Sages (Ména'hot 43b) disent : "Ne lisez pas 'ma' (qu'est-ce que) mais plutôt 'méa' (100)", et ceci est suivi (dans le verset) par "sauf pour Le craindre" (Ekev 10,12).
Ainsi, la récitation des 100 bénédictions [chaque jour] génère de la crainte du Ciel.

Le roi David, à l'époque où 100 personnes mouraient chaque jour, a institué la récitation de 100 bénédictions par jour, à la suite de quoi la peste, qui avait fait des ravages jusqu'alors, s'est arrêtée.
De la même manière, une personne qui s'habitue à remplir correctement cette obligation connaîtra certainement des merveilles (personnelles et collectives).

La raison en est que le but de cette pratique est de nous permettre de dire 100 fois au cours de chaque journée : "Béni sois-tu Hachem notre D." (barou'h ata Hachem, Elokénou) : afin de se rappeler constamment qu'Hachem veille sur nous et sur toutes nos actions et que nous dépendons de Lui, et que celui qui est étroitement lié à Hachem et s'attache à Lui, en attribuant tout ce qui se passe à Lui, mérite un salut surnaturel.
Il va sans dire que plus la concentration avec laquelle chaque bénédiction est récitée est grande, plus l'effet de la ségoula d'être sauvé de mauvaises choses est important.
[rav Moché Sternbuch]

Répondre Yéhé chémé rabba

+ Répondre Yéhé chémé rabba :

-> En répondant à Yéhé chémé rabba "de toutes ses forces" (Rachi explique cela avec une concentration intense), on peut renverser les mauvais décrets (guémara Shabbos 119b), et en particulier être sauvé des souffrances liées à la naissance du machia'h (Gaon de Vilna - introduction au Tikouné Zohar).
Le but de ces douleurs liées à la naissance du machia'h est de nous pousser à crier vers Hachem. Par conséquent, quelqu'un qui crie (littéralement, ou de tout son cœur et de toute son âme) pour que l'honneur d'Hachem et Son royaume soient révélés, ce serviteur d'Hachem n'a pas besoin de réveils "externes" pour l'amener à crier vers Hachem, puisqu'il le fait déjà.

Celui qui dit Yéhé chémé rabba avec une grande concentration provoque à la fois une sanctification du nom divin dans ce monde et dans les mondes supérieurs, et démontre en même temps que le cœur de son âme aspire véritablement à cette sanctification.
Une telle personne mérite que les mauvais décrets qui pourraient peser sur elle en raison de certains méfaits personnels soient annulés, car son âme ayant déjà atteint un niveau si élevé, elle n'a plus besoin de punitions ou de purifications de son âme. [voir rav Yossef Yéhouda Leib Bloch - Shiouré Daat - vol.2]
De plus, son aspiration même à la sanctification du nom divin est le témoignage le plus clair de son désir ardent d'être témoin du royaume glorieux d'Hachem à l'arrivée du machia'h.
Une telle personne n'a certainement pas besoin d'être réveillée pendant la période des 'hevlé machia'h pour sortir de son sommeil : elle est déjà très éveillée.

Le 'Hafets 'Haïm déplorait le fait que les gens dépensent de l'argent et du temps pour toutes sortes de ségoulot, mais négligent la meilleure ségoula de toutes : dire Yéhé chémé rabba.
Dans une lettre publiée au début de la 1ere guerre mondiale (Mikhtav haRav 'Hafets 'Haïm - section 167), qu'il considérait comme faisant partie des douleurs de la naissance du machia'h, il exhortait les gens à se rassembler en grand nombre dans chaque ville pour les 3 prières et à répondre à Yéhé chémé rabba.
De cette façon, écrivait-il, des milliers de personnes seraient certainement sauvées de la mort, et ce serait un grand mérite pour ceux qui pourraient organiser cela, puisqu'ils apporteraient leur propre salut privé ainsi que celui de la nation juive tout entière.
[rav Moché Sternbuch]

La lecture du Shéma

+ La kriat Shéma :

-> La lecture du Shéma Israël est une mitsva de la Torah (déOraïta) qui revêt une importance particulière en temps de guerre, puisque la guémara (Sota 42a) dit : "Même si vous n'avez fait que la mitsva de réciter le Shéma le matin et le soir, vous ne serez pas livrés aux mains de vos ennemis".

L'une des raisons en est qu'en récitant la kriat Shéma, nous intériorisons l'unité et l'omnipotence d'Hachem, et nous renforçons notre conviction qu'il n'y a pas d'autre pouvoir ou force dans le monde.
Lorsque les juifs ressentent vraiment cela, la nation est effectivement invincible.
[le Maharal (Gour Aryé - Choftim 20,3) enseigne de même. ]

C'est en raison de l'importance particulière de la mitsva de la kriat Shéma que le Shass (les traités du talmud/michna) commence par elle. En récitant le Shéma dans le temps halakhiquement fixé et avec une grande concentration, ce qui nous permet d'intérioriser les messages transmis par le premier verset de la kriat Shéma, nous pouvons écarter tout danger (au niveau personnel comme collectif).
[rav Moché Sternbuch]

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-> "Le mérite de réciter la Kriyat Shéma le matin et le soir nous sauve de l'ayin ara".
[rav 'Haïm Palagi - séfer Néfech 'Haïm ]

La profanation du Shabbat est plus grave que la profanation de Yom Kippour.
[rav Moché Sternbuch]

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-> En période de guerre où l'on a besoin de davantage de protection d'Hachem, le 'Hazon Ich disait : "Ils ont peur des bombes, mais moi j'ai surtout peur de la profanation du Shabbath, qui est à l'origine des bombes".

Quiconque place [directement] sa confiance dans une personne, une force ou une création d'Hachem, plutôt que dans Hachem lui-même (autrui n'étant qu'un intermédiaire), pour sa sécurité personnelle ou pour tout autre aspect de sa vie, est coupable d'un certain degré d'avoda zara (idolâtrie).
[rav Moché Sternbuch]