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"Hachem nous a ordonné de prendre soin de notre corps et d'être joyeux.
C'est un grand remède : être heureux/joyeux pour le nom d'Hachem. Cela nous protège de trop nous éloigner du droit chemin."
[Séfer ha'Hinoukh - mitsva 488]

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-> Etre joyeux est un remède, car si nous sommes heureux pour le nom d'Hachem, nous n'aurons pas besoin de chercher la joie ailleurs, ce qui peut détourner les gens du droit chemin.

Les femmes n'ont pas fauté avec le Veau d'or, seulement les hommes l'ont fait.
Rabbi Yissas'har Dov de Belz explique que cela est dû au fait que les femmes ont chanté et dansé 2 mois plus tôt, lors de l'ouverture de la mer Rouge, comme il est dit : "toutes les femmes sont sorties avec elle (Myriam) avec des tambours et des danses" (Béchala'h 15,20).

Les hommes ont chanté le "Az Yachir", mais il n'est pas dit qu'ils ont dansé ou utilisé des instruments de musique en même temps qu'ils chantaient.
Par conséquent, lors du Veau d'or, les hommes ont dansé, comme il est dit : "lorsqu'il s'approcha du camp et qu'il vit le Veau et les danses, la colère de Moshé s'enflamma et il jeta les tablettes de ses mains, les brisant au pied de la montagne" (Ki Tissa 32,19).
Cela s'est produit le jour de 17 tamouz.
Les femmes ne dansaient pas avec le Veau d'or parce qu'elles avaient satisfait leur besoin de joie pendant l'ouverture de la mer Rouge

=> Une personne a besoin de joie, c'est un besoin naturel indispensable, et heureux sont ceux qui font en sorte de trouver leur joie dans la Torah et les mitsvot ; ils n'ont alors pas besoin de la chercher pas ailleurs.

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+ La stratégie de notre yétser ara :

-> Le yétser ara s'adresse à une personne et la réprimande.
Cette personne pense que c'est son yétser tov qui lui parle, lui disant : "Pourquoi n'es-tu pas arrivé à l'heure à la prière? Tu as perdu beaucoup en arrivant en retard".
C'est une revendication valable, et cela ressemble vraiment au yétser tov. Mais en réalité, c'est souvent le yétser ara qui veut faire en sorte que la personne se sente en situation d'échec, car elle perdra alors espoir et abandonnera.
En effet, ne reconnaissant pas qu'il s'agit du yétser ara. Elle est convaincue que ses pensées viennent du yétser tov, et elle les répète dans son esprit, espérant que cela l'aidera à s'améliorer.

Le lendemain, cette personne se réveille à l'heure pour la prière, mais il commet un autre faute.
Elle rentre chez elle après Cha'harit et se met en colère sur quelque chose. Maintenant, ses pensées le réprimandent durement pour cette faute. Une fois de plus, il est certain qu'il s'agit de pensées présentées par son yétser tov (après tout c'est pour m'améliorer), et elle y prête donc une grande attention.
Le résultat est le même. Après ces pensées négatives, il se sent brisé et contrarié par son état spirituel. "Qu'adviendra-t-il de moi si je ne peux pas maîtriser ma colère ? si je ne peux pas contrôler ma colère ?"

Le lendemain, cette personne fait un autre faute. Elle perd du temps qu'elle aurait dû consacrer à l'étude de la Torah. Ses pensées vertueuses reviennent. Elles lui crient dans le cerveau à quel point elle est terrible et un fauteur.
L'homme intelligent répond à ces pensées : "Lorsque vous êtes venu me voir la première fois pour me dire que j'étais mauvais parce que j'étais arrivé en retard à la prière, j'ai cru que vous me vouliez du bien et j'ai prêté attention à votre amère réprimande. Le lendemain, lorsque vous êtes venu vous plaindre de ma colère, j'ai encore une fois pensé que vous étiez le yétser tov, et j'ai accepté votre réprimande. Mais maintenant, je vois que votre but est de me faire sentir mal. Ce n'est pas le fait d'arriver en retard à la prière, la colère ou l'absence de Torah qui vous dérange. Votre réprimande n'a pas pour but de m'aider à m'améliorer. Maintenant, je sais que votre but est simplement de briser mon esprit (me faire sentir triste de moi-même, de désespérer un peu plus). Cette fois-ci, je serai plus sage et je ne prêterai pas attention à vos reproches"
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=> Un juif sage apprend à ignorer les folies du yétser ara et à servir Hachem avec joie.

[ainsi, sous l'apparence du yétser tov, de vouloir notre amélioration/bien, en réalité le yétser ara nous empêche d'être pleinement joyeux, et associant aux mitsvot de la tristesse, du désespoir (ex: regarde ce que tu fais de mal, c'est jamais assez bien).
Par cela, non seulement il nous pousse à moins agir (je suis un nul spirituel, alors pourquoi viser des hauteurs spirituelles), mais en plus en n'obtenant pas notre dose de joie et de plaisirs dans la sainteté, alors on sera tenté de l'obtenir ailleurs. ]

[nous ne sommes pas des anges, c'est normal de ne pas être parfaits, ils nous arrivent de tomber, de ne pas toujours être au top, ... on prend quelques minutes pour faire le point et faire téchouva, et ensuite on part de l'avant dans la joie! ]

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-> Le Yessod véChorech haAvoda enseigne que le principal yétser ara est d’amener quelqu’un à désespérer après la faute. En fait, le mot עבירה (avéra - faute) est de la racine עבר (avar - le passé), car après avoir fauté, le mauvais penchant amène quelqu’un à penser à ses fautes passées pour le désespérer.
A cette lumière, nous pouvons saisir que : les pensées de faute sont pires que le péché lui-même (Yoma 29a), car penser à son péché peut amener au désespoir.

-> Le rav Its’hak Isaac Sher (1875-1952) dit à plusieurs reprises qu’il ne faut pas penser à ses fautes. Hachem nous a créés avec un yétser ara, c’est naturel. Tout le monde a un yétser ara.

-> Le rav Shlomo Wolbe (Iguéret ouktavim 1,24) écrit à celui qui n’a pas réussi à se protéger du péché connu (lié à la brit) :
"Mon cher ami! Cessez de chercher ce que les Séfarim disent de ce péché. Les sources que vous avez déjà trouvées et copiées pour vous-même, éliminez-les.
Le yétser ara qui amène quelqu’un à ce péché particulier est si insidieux que toute pensée sur le sujet peut stimuler quelqu’un à chuter de nouveau. Cela inclut même des pensées de remords, de contrition et de téchouva.
La seule solution est donc de prendre le chemin inverse : oublier le péché, ne pas y penser, même après avoir trébuché. Vous devez cesser de penser à ce péché!

Comment?
En vous investissant complètement et en étudiant, avec une tentative d’être mé'hadech Torah, de développer des pensées originales dans le limoud, en particulier avec joie ...
Cette affaire implique une grande bataille. Souvent, vous serez victorieux. Il est possible, cependant, que parfois vous soyez vaincu par le yétser ara. Si cela arrive malheureusement, n’y pensez pas et n’y prêtez pas attention! Bannissez toute pensée sur ce qui s’est passé et méfiez-vous particulièrement des sentiments d’impuissance!

C’est l’objectif principal du yétser hara : renverser une personne et la rendre se sentir désespéré, et désespéré. Ne lui permettez pas cette victoire!
Continuez à étudier, et avec joie, comme si de rien n’était! La seule solution pour faire face à ce problème est de s’impliquer dans l’étude et de s’habituer à y penser ; dans la rue, après s’être couché, ..., autant que possible, mais aussi pour socialiser et interagir avec des amis ...
De plus, oubliez ce que vous avez vu dans les Séfarim sur les punitions et la difficulté de faire la téchouva résultant de ce péché. Il suffit de regarder le Sidour haGra (133). Ce que vous y trouverez devrait vous orienter dans ce domaine.

Je suis conscient que ces instructions sont complètement différentes de ce que vous avez vu, mais cette façon a l’approbation du ‘Hazon Ich.
Cependant, il est difficile de s’acclimater à ne pas prêter attention et à ne pas réfléchir. Des pensées de remords, d’angoisse et de désespoir surgissent constamment. Pour cette raison, je vous demande de relire cette lettre de temps en temps.
Hachem devrait vous aider à monter sur les hauteurs de la Torah et de crainte du Ciel jusqu’à ce que vous oubliiez complètement ce péché. Et avec l’aide d’Hachem, vous établirez une maison de Torah et engendrerez des enfants dans la sainteté et la pureté.
Il n’y a aucune raison de s’inquiéter du fait que ce que vous avez fait dans le passé aura effet sur votre capacité à le faire. Fortifiez-vous seulement dans l’apprentissage de la Torah avec des ‘hidouchim."

[le plus important pour le yétser ara n'est pas de nous faire tomber dans la faute, mais c'est l'état de désespoir, de tristesse, qu'il pourra nous provoquer à la suite de cette chute (tout en se revêtant des habits du yétser tov, comme vu précédemment).
D'où l'importance d'accepter que nous ne sommes que des hommes (non des anges), et qu'après avoir un temps limité pour faire téchouva sincèrement sur une faute, on ne doit plus y penser! Nous sommes une nouvelle personne!]

Le véritable bonheur réside dans l'acceptation de ce que D. nous envoie.
[Tséma'h Tsédek]

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-> Certains ont la sagesse, d'autres la force, d'autres la richesse et d'autres la pauvreté.
Tout cela parce qu'Hachem voit ce dont chacun a besoin, et chaque personne a besoin spécifiquement de sa situation pour se rapprocher de Lui.
[Méor Enayim]

Quelques bénéfices de la joie

+++ Quelques bénéfices de la joie :

+ La joie nous protège du yétser ara :

-> "Et si, près de lui, un homme meurt subitement et par surprise, et qu’il se rend ainsi impur pendant son naziréat ... Le Cohen en offrira un, en sacrifice expiatoire, et un, en holocauste" (Nasso 6,9-11)

=> A priori, ce verset nécessite d’être expliqué : quelle est la faute de ce Nazir [pour devoir apporter un sacrifice expiatoire ('hatat)]?
Le fait d’avoir été rendu impur de manière complètement involontaire lui serait-il imputé comme une faute?

-> Le Kli Yakar répond à ce sujet :
"Il nécessite une expiation pour s’être mortifié et pour avoir servi Hachem dans l’affliction et non dans la joie, car la joie traduit la perfection de celui qui agit, comme il est dit : "Vois, si toutefois j’ai été dans le sentier de la tristesse" (Téhilim 139,24).
Car s’il avait été joyeux d’être Nazir, il aurait veillé scrupuleusement à tout risque d’impureté.
Mais comme il n’y prit pas suffisamment garde, cela révèle l’inverse, et à cause de cela, le yétser ara trouva une brèche lui permettant de mettre en œuvre tout ce qu’il avait prémédité d’accomplir."

-> Une fois, le ‘Hozé de Lublin était allé réjouir un jeune marié le jour de ses noces.
L’un des convives l’aborda alors et lui demanda : "Est-ce bien une priorité que de réjouir un ‘hatan? Pourtant, il est déjà joyeux puisque le bonheur lui a souri. Ne vaut-il pas mieux aller réjouir les gens démoralisés et ceux qui sont dans l’affliction?

Le 'Hozé de Lublin lui répondit : "Vois-tu, nos Sages enseignent que "toutes les fautes d’un ‘hatan sont pardonnées" (Yérouchalmi Bikourim 3,3). Dès lors, il est plus que probable qu’en ces instants, ce dernier craigne énormément de retourner à sa situation antérieure.
C’est pourquoi il est nécessaire de lui rappeler que grâce à cette vertu qu’est la joie, il méritera de continuer dans la même voie. Car la joie constitue une muraille fortifiée empêchant de fauter."

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+ La joie nous préserve des difficultés :

-> Le "Saraf" de Magalintsa enseigne :
Le Créateur désire que les juifs soient dans la joie. Si l’homme manque de joie, que fait Hachem?
Il lui envoie des épreuves et des souffrances, et les lui enlève ensuite ; le mieux-être qui s’ensuit est alors une raison en soi de le réjouir.

C’est ce que le roi David exprime dans le Téhilim (32,7) :
- "ata sétèr li" (אַתָּה סֵתֶר לִי) = "Maître du monde, sois mon abri et protège-moi" ;
- de tout "mitsar" (מצר) = de toute adversité : "Tu n’as pas besoin de m’infliger des épreuves et des souffrances et de me les enlever ensuite pour que je sois dans la joie"
- car "roné falét téssovévéni" (תסובבני פלט רני) = "je réside constamment dans la joie".

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+ La joie amène la guéoula :

-> "Pour ne pas avoir servi Hachem ton D. dans la joie" (Ki Tavo 28,47)

Le Sfat Emet (Ki Tavo - 5643) commente :
"On peut apprendre de là, a fortiori dans le bien, que lorsque les Bné Israël servent, même en exil, Hachem dans la joie, alors qu’ils sont démunis de tout, que c’est précisément de cela que germera la délivrance.
C’est pourquoi cette raison de l’exil a été dévoilée dans la Torah, afin que nous puissions la corriger en nous conduisant à l’inverse, à savoir en nous efforçant de servir Hachem dans la joie même au milieu des épreuves."

+ En célébrant [dans la difficulté] le fait que Hachem viendra [avec certitude] à notre secours, nous avons déjà fourni le remède.
[Baal Shem Tov - Kéter Chem Tov - Appendix 234]

+ Imaginez que le Créateur, dont la gloire remplit la terre, Lui et Sa présence sont continuellement avec vous. C'est la plus délicate de toutes les expériences.

Dites-vous : "Il est le Maître de tout ce qui se passe dans le monde. Il peut faire tout ce que je désire. Il n'y a donc aucun sens à ce que je mette ma confiance en autre chose qu'en Lui, qu'Il soit béni."

Réjouissez-vous constamment. Réfléchissez et croyez avec une foi totale que la Présence divine est [constamment] avec vous et vous protège ; que vous êtes lié au Créateur et que le Créateur est lié à vous, à chacun de vos membres et à chacune de vos facultés ; que votre attention est fixée sur le Créateur et que l'attention du Créateur est fixée sur vous.

Le Créateur peut faire ce qu'il veut. S'il le souhaitait, Il pourrait anéantir tous les mondes en un seul instant et les recréer tous en un seul instant. C'est en Lui que s'enracinent toute la bonté et tous les jugements sévères du monde. Car le courant de son énergie traverse chaque chose.

Et dites-vous : "Quant à moi, je ne m'appuie pas, ni je ne crains, quelqu'un ou quelque chose d'autre que Lui, béni soit-Il".
[Baal Chem Tov - Tsavaat haRivach 137]

Privilégier le fait d’être joyeux, à vouloir être trop stricte avec soi-même

+ Privilégier le fait d'être joyeux, à vouloir être trop stricte avec soi-même :

-> Ne vous laissez pas emporter par l'excès de détails dans tout ce que vous faites. C'est votre mauvaise impulsion qui travaille contre vous. Elle a l'intention de vous faire souffrir en insistant sur le fait que vous n'avez pas rempli vos obligations, juste pour vous rendre dépressif.
La dépression est une attitude répréhensible, le plus grand obstacle au service du Créateur, béni soit-Il.

Même si vous trébuchez dans la faute, ne vous complaisez pas dans la misère [morale]. Cela détruirait tout ce que vous avez accompli jusqu'à présent et ferait de vous une proie facile pour les mauvaises pulsions, puisque vous avez le sentiment d'être une cause perdue de toute façon. Votre service divin s'effondrerait.

Il suffit d'être attristé par la faute, d'avoir honte devant le Créateur et de l'implorer d'absoudre le mal que vous avez fait. Puis revenez à la joie du Créateur, puisque vous regrettez totalement ce que vous avez fait et que vous avez résolu dans votre esprit de ne plus jamais faire de bêtises de ce genre.

Même si vous savez avec certitude que vous n'avez pas rempli vos obligations dans certains domaines en raison de nombreux obstacles, ne vous laissez pas abattre. Considérez que le Créateur, examine tous les cœurs et toutes les entrailles. Il sait que vous avez voulu faire les choses le mieux possible, mais que vous n'avez pas pu.
Et puis, fortifie-toi dans la joie du Créateur, qu'Il soit béni.
[Baal Chem Tov - Tsavaat haRivach 46]

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-> Parfois, l'impulsion au mal (yétser ara) vous trompe, vous reprochant une transgression majeure alors qu'en réalité vous n'avez fait que négliger un détail supplémentaire, voire n'avez commis aucune transgression du tout. Son intention?
Vous rendre malheureux, et dans votre malheur, vous renoncerez à servir votre Créateur.

Méfiez-vous de cette ruse.
Répondez à cette impulsion et dites : "Je ne vais pas prêter attention à ce détail supplémentaire dont tu parles. Je connais ton intention : m'empêcher de servir mon Créateur, béni soit-Il. Je sais que tu dis des mensonges. Même s'il y a un peu de faute ici, mon Créateur a plus de plaisir si je ne fais pas attention à un détail technique (négatif que j'ai pu faire), par lequel tu essaies de me manipuler pour me faire servir dans la tristesse, et si je le sers au contraire avec joie."

"Après tout, je ne fais pas cela pour mon propre bénéfice, mais pour Lui apporter du plaisir. Ainsi, si j'ignore ce détail, mon Créateur n'y verra pas d'inconvénient, puisque je l'ignore uniquement pour pouvoir continuer à Le servir! Comment pourrais-je perdre ne serait-ce qu'un instant de Son service ?!"

Il s'agit là d'un premier principe pour servir le Créateur : se méfier le plus possible de la tristesse.
[Baal Chem Tov - Tsavaat haRivach 44]

+ Le monde inférieur est toujours prêt à recevoir, et on l'appelle une pierre précieuse. Le monde supérieur ne peut fournir au monde inférieur que l'état dans lequel il se trouve.
S'il brille d'en bas, il est éclairé d'en haut de la même manière (et inversement) ...

Il est écrit : "Servez D. avec joie", car la joie humaine (en bas dans ce monde) attire une autre joie d'en-Haut.
[Zohar - vol.3 , 56a]

+ Hachem nous a donné Sa sainte Torah [et Ses mitsvot]. C'est l'arme que nous devons utiliser contre le yétser ara dans notre guerre contre lui.
Les munitions sont fournies par notre passion (ex: joie, fierté à étudier/faire les mitsvot) et notre attachement à D. (dvékout).

Celui qui accomplit les mitsvot sans enthousiasme et sans passion est comme le serviteur qui n'a pas utilisé de vraies balles. Sans passion ardente ni d'enthousiasme, nos armes restent inutiles dans notre lutte contre le yétser ara.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi]

En période de détresse, on peut obtenir la délivrance du Ciel en restant joyeux [grâce à notre confiance en Hachem].
[Divré David de Tchortkov - cité dans Méir Einé Israel]

"Les pas d'un homme sont ordonnés par D." (Téhilim 37,23). C'est pourquoi une personne ne doit pas ... être déprimée si des difficultés surviennent, car elle doit savoir que son chemin [de vie] est dirigé par Hachem et que toutes les difficultés qu'elle est obligée d'affronter lui sont envoyées par D. dans l'intention qu'elle les surmonte.
[rabbi Tsvi Elimélé'h de Dinov - Agra déPirka]