Aux délices de la Torah

Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

"La plupart des hommes s'inquiètent pour leurs ventres, et pour les âmes des autres, quand nous devrions tous être inquiets pour nos propres âmes, et les ventres des autres."

Rabbi Yisrael Salanter

Source (b"h) : Salomon Ouaknine via FB

-> "Toutes les coutumes se rapportant au 'Hatan et à la Kalla sont issues/dérivées du don de la Torah, où D. s'est révélé Lui-même, comme le 'Hatan à sa Kalla : le klal Israël."

Rabbi Samson ben Tzadok (élève du Maharam de Rotenbourg) dans son séfer Tashbatz Katan 464;5

 

-> "La raison pour laquelle nous apprenons de nombreuses choses sur les coutumes de la 'Houpa d'un 'Hatan et d'une Kalla tient à ce que Hachem s'est montré, pour ainsi dire, comme un 'Hatan sous la 'Houpa devant la Kalla"

[Yalkout Chimoni - paracha Yitro - 183]

Un homme fit preuve, en s'adressant au 'Hafets 'Haïm, d'une humilité si exagérée qu'il finit par lui dire : « Pourquoi te fais-tu si petit alors que tu n'es pas si grand? »

Source (b"h) : Samuel Elie Mimoun via FB

+ "Entre Moi et les enfants d'Israël, c'est un signe éternel (ot hi léolam) ..." (Ki Tissa 31;17)

Selon le 'Hafets 'Haïm, le chabbath est le signe caractéristique du Juif.
De même qu'une plaque fixée à une porte indique le nom de l'occupant, le chabbath indique l'adresse du Juif.

Ainsi, un magasin fermé le chabbath porte l'enseigne d'un commerce juif ; s'il est ouvert le chabbath, l'enseigne indique le contraire.

 

Source (b"h) : Rav Alexander Zoucha Friedman (dans son "mayana chel Torah")

"Celui qui prie pour son prochain tout en ayant besoin de la même chose que lui, est exaucé en premier"

(Guémara Baba Kama 85a)

" Un homme voulait apprendre l'art du tir à l'arc. Il s'entraîna avec ardeur, et cherchait un maître capable de le faire évoluer. Un jour, il passa à côté d'un jardin ; il avait dans ce jardin une multitude de cibles avec des flèches plantées en leurs centres. Il demanda alors au propriétaire de lui enseigner son art. L'homme lui répondit : j'ai une technique secrète, au lieu de dessiner une cible et de viser après, moi je tire d'abord et je dessine la cible autour après "

C'est pareil pour nous, cherchons nous la vérité ou notre vérité ?

Si nous avons la réponse, avant d'analyser le problème, c'est que nous ne cherchons pas "la" solution, mais "notre" solution. "

 

(Le Sabbah de Novardok)

Source (b"h) : Yisraël Holubenny via FB

"L’Homme n’est qu’un potentiel qui ne demande qu’à s’accomplir."

(Maharal de Prague)

Le saviez-vous? – Méguilat Esther

+++ Le saviez-vous? - Méguilat Esther :

+ 1°/ L'âge d'Esther lors de son accession au trône est de ... 75 ans!

"Avraham était âgé de 75 ans à sa sortie de 'Haran" (Béréchit 12;4)
Le Midrach = "D. dit à Avraham : "Toi, tu avais 75 ans lorsque tu as quitté la maison de ton père. Par ta vie! Je susciterai dans ta descendance un sauveur qui sera âgé lui aussi de 75 ans, selon la valeur du nom Hadassa (הדסה = valeur de 75, en comptant +1 pour le nom global)".

Rabbi Chaoul d'Amsterdam (le Binyan Ariel) nous démontre concrètement la logique de cet âge.
Esther fait partie des 7 prophétesses du peuple d'Israël (guémara Méguila 15a).
L'esprit prophétique ne règne pas en dehors de la terre d'Israël.
La guémara Moéd katan 25a, nous explique que le prophète Yé'hézkel a continué à avoir l'esprit prophétique en dehors d'Israël, du fait que cet esprit régnait déjà sur lui lorsqu'il était en Israël.
De même, Esther était déjà dotée de l'esprit prophétique lorsqu'elle était en Israël, avant d'être exilée dans le royaume de perse.

Le texte affirme au sujet de Mordé'haï qu'il "avait été exilé de Jérusalem avec l'exil qui avait exilé Yéhoyakim, roi de Yéhouda."
La guémara (Méguila 11b) précise que lors de la 3e année du règne d'A'hachvéroch, les 70 ans d'exil étaient arrivés à leur terme.
Esther fut conduite au palais royal dans la 7e année du règne d'A'hachvéroch (Méguilat Esther 2;16).

Calcul = 70 (exil jusqu'à la 3e année de règne) + 4 ans (7-3 = entre la 7e et 3e année de règne) = 74 ans + l'année lors de sa naissance en Israël.

Étant née quand elle est partie en exil avec Mordé'haï, on arrive ainsi à 75 ans!!

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+ 2°/ Vasti s'est mariée à 12 ans et demi avec A'hachvéroch et a été tuée à 20 ans ...

Nos Sages affirment (Midrach Yalkout Chimoni 1049) : "lorsque son père, le roi Balthazar, fut assassiné, [Vasti] était une néara et épousa A'hachvéroch".
Or, le Talmud affirme que "le terme de néara désigne une jeune fille n'ayant pas plus de 12 ans et demi."

La guémara (Méguila 11a) nous apprend que 7 années s'étaient écoulées entre la mort de Balthazar et le début de la 3e année du règne d'A'hachvéroch.

Ainsi, l'âge de Vasti lors de sa mise à mort = 12 ans et 6 mois (âge lors de son mariage) + 7 ans (jusqu'à la 3e année de règne d'A'hachvéroch) + 6 mois (les 180 jours de festin débutant au début de la 3e année de règne) = 20 ans.

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+3°/ Mordé'haï a allaité Esther lorsqu'elle était bébé ...

Le midrach (Béréchit Rabba 30;8) nous apprend que : quand Hadassa (=Esther) était encore un bébé, afin de lui procurer du lait, Mordé'haï se mit en quête d'une nourrice pour elle, mais il n'en trouva pas, et c'est lui, alors qui la nourrit.

Rabbi Bérakhya et Rav Abahou enseignent au nom de Rabbi El'azar : Il eut du lait, et l'allaita.
Quand Rav Abahou livra cet enseignement en public, il provoqua l'hilarité de ses auditeurs, auquel il déclara alors : "N'est-ce pas en accord avec l'enseignement de la Michna (Makhchirin 6;7) : "Rabbi Chim'on ben El'azar affirme : Le lait issu du mâle est pur." "

Le Rokéa'h fait remarquer que le mot dodo (דדו) = son oncle ("vayéhi omen ét Hadassa, hi Esther bat dodo" = Il [Mordé'haï] avait élevé Hadassa, qui est Esther, la fille de son oncle - Méguilat Esther 2;7), est écrit sans le vav, et peut être lu : dado = son sein.

Cela sous-entend que les "seins" de Mordé'haï se sont ouverts et ont miraculeusement produit du lait, ce "parce qu'elle n'avait ni père, ni mère" (=la suite du verset 2;7).

 

Source (b"h) : compilation de dvar Torah du Rav Yissa’har Dov Rubin (dans son livre : "Talélei Orot")

“La seule pauvreté qui existe est celle qui consiste à ne pas se rendre compte [de ce que nous possédons réellement].”

(Traité Nédarim 41)

"Tu aimeras ton prochain comme toi-même" (Vayikra - Kédochim 19;18).
C'est le principe supérieur du judaïsme.
Et toute la littérature morale universelle n'a pu dire mieux."

(David Ben Gourion - 1886-1973)