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Soucca = étreinte d’amour de D.

-> Car la forme de la Soucca fait allusion à une étreinte d’amour que D.ieu nous fait [ce sont "deux cloisons entières et la troisième d’une mesure d’un téfa’h ...(8 cm)" (guémara Soucca - 4b), ce qui ressemble à un homme qui enlace son ami, le bras et l’avant-bras sont longs et le téfa’h supplémentaire représente la main].
Ainsi, en accomplissant la Mitsva de Soucca, chaque cœur juif pourra ressentir avec émerveillement cette proximité très particulière avec D.

Ensuite après cet enlacement entre Hachem et nous viendra le baiser pour clôturer le tout ce qui se symbolisera par Sim'hat Torah.

[Ari Zal  - Chaar Hakavanot - Drouché 'Hag HaSouccot, 4]   

Il se base sur le verset : "Son bras gauche soutient ma tête et sa droite me tient enlacée" (Chir haChirim 2,6) = cela fait référence à la Soucca.

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-> "Nous n’avons aucune Mitsva comme celle-ci dans laquelle l’homme rentre entièrement, même avec ses chaussures. Tout le corps de l’homme y pénètre et s’en trouve ainsi sanctifié. Par conséquent, l’âme ressent davantage la sainteté de la Soucca que celle des autres Mitsvot."

[le 'Hidouché Harim]

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+ Lorsqu'un père distribue à son fils ses besoins nécessaires, l'amour du père envers son fils n'est pas reconnaissable.
Par contre, si le père ajoute un don supplémentaire pour gâter son fils, qui ne relève pas du nécessaire mais du superflu, il manifeste ainsi son amour pour son fils.

Il en est de même dans la relation d'un homme avec épouse et dans la relation d'Hachem avec les juifs.
Ainsi, dans la traversée du désert durant 40 ans, c'est davantage les nuées Divines protectrices (un "luxe") qui ont montré l'amour d'Hachem pour Ses enfants que la manne et l'eau qui constituaient nos besoins nécessaires.

[rav Lumbroso]

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