Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

"La décoration de ma Soucca?
Ce sont mes convives, des juifs simples."

[le Baal Chem Tov]

A notre sortie de la Soucca …

"Dans les grandes villes, les immeubles bien hauts cachent le ciel ... (ternissent la foi)."

[Rabbi Menachem Mendel de Kotsk]

==> Après une semaine dans une soucca, où l'on est entouré de D., notre sortie dans la civilisation environnante, nous fait voir d'impressionnantes constructions/réussites humaines (b"h) qui risquent de cacher notre émouna en D., pourtant si visible/palpable durant les fêtes ...

b"h, N'oublions pas de voir le Ciel derrière chaque immeuble, de voir D. derrière toute chose ...

 

[PS : D. permet à l'homme de réaliser de belles constructions/choses, et l'homme risque de penser qu'il en est totalement l'auteur, oubliant que c'est D. qui lui en a donné la possibilité ...
Dans la vie, on a trop souvent tendance à oublier de remercier D. , préférant s'attribuer toute réussite ...
N'oublions pas que le 1er mot de la journée d'un juif est : "Je te suis reconnaissant(e) D. " ...  ]

Sim’ha Torah …

"Nous devons chérir les heures de Chémini Atsérét et Sim'ha Torah.
En  effet, à chaque instant, on peut remplir des sceaux et des barils de trésors ( =de bénédictions), matériellement et spirituellement, tout cela en dansant."

[Rabbi Yossef Its'hak Schneerson]

Danser et se réjouir à Sim'ha Torah, nous donne la force d'être heureux toute l'année.
Or, le fait d'être véritablement joyeux a un pouvoir énorme, et peut forcer à briser les portails fermés bloquant le déversement de bienfaits, à briser les mauvais décrets.

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-> "Sim'ha Torah signifie 2 choses : que nous faisons la fête (sim'ha) avec la Torah, et que la Torah fait la fête avec nous."
[Rabbi Chnéour Zalman de Lyadi - le Baal haTanya]

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Dans un mariage tout le monde sait qui est la Kala et on la reconnait,
Elle est vêtue d'une belle robe blanche et tout le monde danse autour d'elle.
Seulement qui est le 'hatan?
Il n'a rien de special, il est vêtu d'une chemise et d'un pantalon comme tout le monde.
Alors comment savoir qui est le Hatan?

La réponse est simple:
Il faut attendre la fin de la soirée quand tout le monde rentre chez soi, et la personne qui prend avec lui la Kala, c'est le Hatan!!

A Simha Torah on voit clairement la Torah. Tout le monde est joyeux et danse autour d'elle.
Cependant on se demande qui est le 'hatan? Qui est- ce qui est vraiment attaché a elle?
Qui?
= C'est celui qui après Sim'ha Torah va prendre la Torah avec lui et il va en prendre soin, il va la pratiquer!
C'est celui qui fera rentrer la Torah dans sa maison durant toute la suite de l'année!

Source : FB - Ruben Rosh

Souccot, la fête de la véritable joie …

+ Souccot, la fête de la véritable joie ...

"Tu célébreras la fête de Souccot ... quand tu rassembleras tes récoltes de ta grange et de ton pressoir.
Tu te réjouiras pendant la fête avec tes fils et tes filles ... et avec l'étranger, l'orphelin et la veuve qui sont dans tes murs."  (Dévarim - Ré'é - 16;13-14)

Rassembler les produits abondants de la terre est vraiment un moment de bonheur (b"h : satisfaction personnelle de voir les fruits de beaucoup d'efforts/sacrifices, satisfaction de sécurité d'avoir de quoi vivre dans le futur, ...).

A ce moment de récolte de nos bénéfices, la Torah nous rappelle que la joie véritable ne peut être atteinte que lorsque nous partageons nos bienfaits avec les autres, et en particulier lorsque nous nous sommes assurés que ceux qui ont moins de chance que nous, ont tout ce qu'il leur faut pour pouvoir, eux aussi, se réjouir.

Les plaisirs matériels que nous goûtons sont très fugitifs et bien vite oubliés.
Savoir que nous avons aidé les autres à apprécier la vie est un plaisir qui dure bien plus longtemps.

En effet, pensez à l'une des choses agréables que vous avez vécues la semaine dernière. Quelle satisfaction vous procure-t-elle aujourd'hui?

A présent, pensez à quelque chose que vous avez fait, il y a des années, pour venir en aide à quelqu'un.
Le sentiment agréable que vous avez ressenti alors, persiste encore ...

==> Une joie égoïste, n'est pas une joie véritable.

Source (b"h) : dvar Torah du rav Avraham Twerski

Sim’ha Torah

++ Sim'ha Torah :

--> Selon le Rabbi de Kotzk :
La joie de la Torah ne porte pas sur la Torah étudiée par le passé (car qui peut affirmer qu'il a convenablement étudié?), mais porte sur la joie sur la Torah que l'on étudiera à l'avenir.
[Il disait : "La cause de la joie est de savoir que nous avons terminé la Torah et que nous n'avons même pas encore commencé. Réaliser cela et en être pleinement conscient, c'est cela la source de notre joie".]

--> Selon le rabbi de Sokhatchov (le Chèm miChémouel) :
- Lors des tours autour de la bina pendant les jours de Souccot et d'Hochana Rabba, à l'instar des murailles de Yéricho qui se sont effondrées après que les bnei Israël en eurent effectué le tour, une fois par jour, pendant 6 jours, et 7 fois le 7e jour (Yéhochoua 6), vont briser les murailles de fer, composées des déficiences morales et des actes défendus, qui séparent l'homme de D.
- A Sim'ha Torah, par nos tours, on va alors édifier de nouvelles murailles pour éviter toute incursion d'éléments néfastes ou moralement discutables dans le coeur et l'esprit.

--> Selon le 'Hidouché haRim :
Porter la Torah durant les hakafot (les tours), revient à prêter serment, à jurer fidélité à cette Torah et à ses commandements (à l'image d'une personne prenant en main une Torah pour jurer devant un tribunal rabbinique).

-> Selon le rav Jacky Milewski :
"Quand on tient la Torah en main, c'est toute la destinée d'Israël que l'on porte en soi!"

Source (b"h) : compilation personnelle issue d'un dvar Torah du rav Jacky Milewski, paru dans AJ.

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-> Une erreur courante est qu'à Sim'hat Torah nous fêtons l'achèvement de la Torah.
Non! En réalité, nous célébrons le fait de tout recommencer!
['Hidouché haRim]

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-> Que signifie la célébration de la fête de Sim'hat Torah? Quelqu'un peut-il donc se réjouir de ce qu'il a appris? Qui pourrait avoir une telle arrogance?
En vérité, il s'agit de la joie de savoir que bien que l'on soit arrivé à la fin de la Torah, on n'en connaît pas même le début!
[rabbi Mendel de Kotzk]

[pour une science normale plus le temps passe, plus on avance vers une connaissance/maîtrise totale de cette science. En ce qui concerne la Torah, c'est l'inverse, plus on avance plus on prend conscience de nouvelles choses à acquérir, plus on réalise notre ignorance, notre petitesse, plus cela nous conforte dans Son caractère exceptionnel Divin. Quelle chance et quelle joie nous avons!! ]

-> Rabbi Ména'hem de Tchernobyl, lui, considère que la joie dont il est question ici est celle que la Torah éprouve en voyant les juifs heureux de l'étudier!

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-> Si une personne lisait attentivement tous les écrits du Arizal, elle trouverait des commentaires, des explications et des secrets cachés sur toutes les mitsvot (de la Torah et de nos Sages), sur chacune des prières instituées par les Sages de la Grande Assemblée (Anché knesset aguédola), et même sur les coutumes connues et peu connues.
L'exception à cela concerne : la mitsva des hakafot de Sim'ha Torah. Aucun écrit du Arizal n'est sur ce sujet!
Comment comprendre cette exception notoire?

Le rav Shimshon Pinkous enseigne que lorsque :
- une personne a une demande urgent, elle va dire : "ochia na" (Sauve-moi!) ;
- une personne ressent le besoin de remercier Hachem, elle dira : "Hallélouya" (Louons D.) ;
- une personne n'a pas les mots avec lesquels exprimer ses pensées internes, ses sentiments de crainte, de gratitude, d'amour, de sainteté envers D., alors il ne lui reste plus qu'un unique moyen d'exprimer ce qu'elle ressent : c'est de se laisser éclater en chants et en danses.

A Sim'ha Torah, en pleine étreinte amoureuse avec notre Torah, les mots nous manquent, ils sont vides pour exprimer la réalité.
Plus ou moins consciemment, notre unique recours est de chanter et de danser, et c'est cela la mitsva des hakafot.

Le rav Pinkous conclut en disant que peut être le Arizal au moment d'écrire sur les hakafot a réalisé qu'il n'existait absolument aucun mot à dire, cela ne pouvant s'exprimer que par la joie dans les chants et les danses.

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-> "La joie de vivre qu'apporte le fait de se consacrer à l'étude de la Torah, ne peut pas être transmise par de simples mots. Elle se doit d'être vécue!"
[Rav Eliyahou Lopian]

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-> Dans la prière que le 'Hida a composé pour être dite avant les hakafot (le léchem yi'houd), nous demandons à Hachem : "Que par la force de ces hakafot tombe la muraille de fer ('homat barzél) qui sépare entre nous et Toi (Hachem) ..."
Selon le rav Gamliel Rabinovitch nous pouvons voir de là que ce que le mois de Elloul, Roch Hachana, les 10 jours de Téchouva, Souccot, n'ont pas pu accomplir, les hakafot de Sim'ha Tora peuvent le faire.
Cela nous montre à quel point elles sont importantes!!

Selon nos Sages, l'apogée de tout notre parcours depuis le mois de Elloul jusqu'à Sim'ha Torah est uniquement afin que nous puissions proclamer pleinement : Et maintenant tu sais que Hachem est LE D., qu'à part Lui il n'y a rien!" (véata haréta ladaat, ki Hachem ou haElokim, én od milvado!).

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-> Un ministre demande à Zalman de Liady (le 1er rabbi de Loubavitch) qui se trouvait en prison : "Pourquoi vous, les juifs, vous réjouissez-vous ainsi à chaque fois que vous achevez la lecture de la Torah alors qu'il y est dit, à la fin de Dévarim, que Moché mourut? Vous devriez plutôt, me semble-t-il, verser des larmes!
- En vérité, nous nous réjouissons justement parce que la Torah nous annonce que Moché est mort. Car s'il avait vécu éternellement, certains auraient imaginé qu'il était lui-même D. et que c'est la raison pour laquelle il avait fait pour nous tant de miracles. Nous savons désormais qu'il n'était que l'envoyé de D.!

[ issu du dvar Torah : http://todahm.com/2021/09/10/33226 ]

Souccot & la tolérance …

+ Souccot & la tolérance ...

Il est écrit dans le Téhilim 90 : "Les jours de nos années en elles sont de 70 ans, et si (la nature) est forte 80 ans"

Les 7 jours de Souccot renvoient à ces 70 ans d'espérance de vie d'un homme.

La Soucca, lieu d'habitation temporaire, contrastant avec la solidité de notre logement permanent, est le symbole de notre existence terrestre qui n'est que transitoire, et c'est ainsi que notre existence doit être consacrée à une préparation pour le monde éternel.

Il arrive souvent que de luxueux manoirs soient habités par des gens qui sont malheureux.
=> le message de la Soucca est que quels que soient nos biens matériels, une joie ultime/éternelle nous est réservée, pour autant que nous suivons la volonté de D. (à l'image de la Soucca, où l'on se trouve totalement entouré par la mitsva de D.).

La Soucca, nous met face au fait que notre vie est éphémère (il ne reste aucune personne dans l'histoire de l'humanité quelqu'elle soit pour dire le contraire! - arriver à avoir plus de 100 ans, c'est rentrer dans les records de longévité!!).

=> face à ce constat, qu'on doit toujours avoir en tête, on arrive à être plus tolérant, on se prend moins la tête avec autrui, car tout devient alors futile, éphémère (mon égo n'étant plus éternel, seul D., l'Eternel, l'étant ...).

=> Profitons de notre courte vie, ensemble, plutôt que de se disputer!

Comme le rav Israël de Sarcelles disait : "Pour se disputer, il faut 2 personnes, et je ne veux pas être cette 2e personne."

Source (b"h) : compilation personnelle de dvar Torah du rav Avraham Twerski et du rav Daniel Abdelhak

Souccot & la reconnaissance …

+ Souccot & la reconnaissance ...

"Rabbi Akiva dit : 'La soucca commémore les cabanes dans lesquelles les juifs ont résidé durant leurs errances dans le désert à la suite de la sortie d'Egypte.' "
( = guémara Soucca 11b
Rabbi Eliézer y pense que c'est en souvenir du miracle des 7 colonnes de nuées, [qui nous guidaient la nuit, nous protégeiant du soleil du désert le jour, des animaux sauvages, qui nous lavaient et repassaient nos vêtements sur nous-mêmes, ...] ).

Le rav Avraham Twerski tire un bel enseignement de l'avis de rabbi Akiva.

En effet, qu'y a-t-il de si merveilleux à vivre dans des cabanes (souccot) au point de justifier une commémoration de 8 jours de fête?

Nous célébrons Pessa'h en souvenir des miracles extraordinaires accomplis par D. pour nous libérer de l'esclavage d'Egypte.
Nous célébrons Shavouot par respect pour ce qui nous a été révélé au Sinaï et pour le don de la Torah.
Comparé à ces évenements qui font date dans l'histoire, quelle est l'importance de ces cabanes?

C'est de cela qu'il s'agit justement.
= Nous devons apprendre à être reconnaissant pour les petites choses de la vie, comme pour les immenses cadeaux que nous recevons.

D. aurait très bien pu créer de luxueux palais dans le désert.
Toutefois, Il voulait que nous apprenions à apprécier tout ce qui nous est donné, peu importe que ce soit petit ou grand.

Souccot est également appelé la "fête des récoltes" et le "temps de notre réjouissance".
=> Que nos récoltes soient abondantes ou maigres, nous devons apprécier ce qui nous est donné et en être reconnaissants.

"Tous les juifs forment une entité unique que seule la matière divise."

[Rabbi Chmouel de Sokhatchov]

[principe de réunir les 4 espèces à Souccot ... :)]

Le loulav du Steïpler …

+ Histoire vraie : le loulav du Steïpler ...

Le Steïpler (le rav Yaakov Kanievsky) entra un jour dans la boutique d'un vendeur de loulavim.
Il passa en revue toute la marchandise présente, mais ne trouva pas de loulav convenable.

S'apprêtant à sortir du magasin, il fit soudain demi-tour, prit au hasard un loulav, et le paya avant de continuer son chemin.
Dans la rue, il expliqua à l'un de ses proches : "Sais-tu ce qui se serait passé si j'étais sorti de cette boutique sans loulav?
Une rumeur aurait commencé à courir : 'le Rav Kanievsky a cherché un loulav dans tel magasin et n'en a trouvé aucun casher!'
Plus personne n'aurait voulu s'adresser à ce commerçant, et j'aurais donc été à l'origine d'un grand tort financier ..."

Source (b"h) : dvar Torah du rav Moshé Pell

Etrog – les 4 choses à faire entièrement …

+ Etrog - les 4 choses à faire entièrement ...

Pour pouvoir utiliser un étrog (אתרג), il se doit d'être complet ( =chalèm), ne pas avoir de défaut.

Dans la tradition juive, il y a 4 choses qui se doivent d'être complètes/entières ( =chéléma) afin d'être efficaces :

1°/ la émouna = la confiance en D.
Maïmonide introduit chacun de ses 13 principles par : "ani maamin bé'émouna chéléma" ( =je crois d'une fois complète/totale).

2°/ la téchouva = le repentir
Il est écrit dans la amida : "a'hazirénou biTéchouva chéléma léfané'ha"

3°/ la réfoua = la guérison
Il est aussi écrit dans la amida : "véa'alé réfoua chéléma lé'hol makoténou"

4°/ la guéoula = la délivrance
Nous souhaitons une "guéoula chéléma" = une délivrance compléte et totale.

L'étrog (אתרג), symbole de la beauté et de l'intégrité est l'acronyme de :
--> א = émouna = אמונה

--> ת = téchouva = תשובה

--> ר = réfoua = רפואה

--> ג = guéoula = גאולה

 

Source (b"h) : traduction et adaptation personnelle issue d'un dvar torah du rabbi Benjamin Blech

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-> Pendant Souccot, nous nous tenons dehors, sous le voile céleste (kipat hachamayim), et nous nous asseyons dans la Soucca afin de démontrer notre émouna chéléma, notre croyance totale dans le fait qu'en permanence Hachem nous protège et prend soin de nous.
[Divré Shaoul]

-> Après les jours de jugement (yémé hadin), durant lesquels notre téchouva par crainte de la punition (ou bien d'obtenir trop peu de récompenses), nous accueillons alors le "temps de notre joie" (zman sim'haténou) à Souccot, un moment où nous saisissons avec joie les mitsvot d'Hachem, et où nous démontrons que maintenant notre téchouva prend pour origine la joie et le bonheur (téchouva par amour pour Hachem). C'est véritablemetn une téchouva parfaite, totale (téchouva chéléma).
[Torat Avot]

-> Nos Sages (guémara Soucca 25b) enseignent que : "celui qui souffre est dispensé de la Soucca".
Le Tiféret Shlomo (rav Shlomo haCohen de Radomsk) écrit qu'ainsi la Soucca n'est pas un lieu de douleur, de souffrance ou de tout type de maladie dans le monde.
La Nuée de Gloire Divine, que la Soucca représente, assure que toute personne malade y méritera sûrement une réfoua chéléma.

-> La mitsva de la Soucca provient du verset : "Vous demeurerez dans des tentes durant 7 jours" (בַּסֻּכֹּת תֵּשְׁבוּ שִׁבְעַת יָמִים - Emor 23,42).
L'acronyme de ces mots forme : תשבי (Tichbi - qui est le nom de Eliyahou haNavi, celui qui doit venir nous annoncer la venue du machia'h).
Le rabbi de Belz (le Sar Shalom) en déduit que si les juifs accomplissent la mitsva de la Soucca comme il le faut, alors Eliyahou haTichbi va annoncer notre guéoula totale (guéoula chéléma) de ce difficile exil.

=> L'abréviation de ces 4 éléments forment le mot : Etrog, qui est une des mitsvot dont les juifs s'investisse le plus (parfois au-delà de toute limite) afin de trouver celui qui sera le plus parfait (chalem).
Le Ohr Hatzvi dit qu'avec notre émouna chéléma (אמונה), viendra une téchouva absolue (תשובה), qui aura pour conséquence de nous guérir complétement (רפואה) et amènera la venue du machia'h (גאולה), rapidement de nos jours. [cela respecte l'ordre des lettres du mot Etrog - אתרג ]